Au large de Dugi Otok (Croatie), jeudi 29 octobre 2020. Nous avons quitté la veille la baie de Mali Losinj à 23h30. Sortis du long chenal qui donne accès à l'Adriatique, nous avons rejoint l'îlot Zabodaski et mis le cap plein sud. Un vent de nord-ouest d'une quinzaine de nœuds nous pousse au largue tribord amures. Le clair de lune éclaire des vagues d'une trentaine de centimètres de haut ; le Quint II fend l'eau à une vitesse de six nœuds. 

A 1h45, je laisse Mathilde, Christophe et Valentin qui sont de quart seuls dans le cockpit et je descends porter le point sur la carte étalée sur la table du carré. Nous sommes à la hauteur d'Otok Kamenjac, petit îlot à moins d'une encablure au nord de l'île Premuda, très proches sur la carte du trait qui matérialise notre route. Le moment est venu de prendre au sud-est, au cap 122°, pour longer côté Adriatique toute la série des îles qui prolongent la très longue île Dugi Otok, puis la côte ouest de celle-ci. 

A 4h, Pierre, Christine et Guilhem viennent prendre la relève de Mathilde, Christophe et Valentin. Ils ont monté un jeu de cartes et vont jouer jusqu'à sept heures dans le cockpit. Je profite de la relève pour descendre dans le carré, porter à nouveau un point sur la carte, et demander une rectification du cap de +3°, pour compenser la dérive liée au vent. Cela fait, je remonte dans le cockpit, m'engouffre dans mon sac de couchage, et m'allonge sur la banquette bâbord. Je pense que j'ai du m'endormir en cinq minutes. 

Le point sur la table du carré, jeudi 29 octobre 2020 (1)

Lever du soleil sur Dugi Otok, jeudi 29 octobre 2020

Le quart joue aux cartes au lever du soleil, à l'ouest de Dugi Otok, jeudi 29 octobre 2020

A 6h, nous avons commencé à longer la côte sud de Dugi Otok. Nous sommes au sud-ouest d'Otok Mezani, à trois milles et demi de ce petit îlot proche de la côte. Notre vitesse est tombée à cinq nœuds. C'est l'aube ; le soleil va se lever à 6h32, et on y voit déjà clair. Nous prenons au 120° pour nous rapprocher de la côte, qui, avec le retour de la visibilité, ne représente plus une menace pour nous. Le vent a légèrement tourné et nous sommes désormais au vent arrière, les voiles établies en ciseaux. Je repars pour un petit somme d'un peu moins d'une heure.

A 7h, changement de quart. Rosalie, Emma et moi sommes de quart jusqu'à dix heures. A 9h30 le vent, qui a continué à faiblir, ne nous procure plus que trois nœuds de vitesse. Nous relançons le moteur, réglé à 1800 trs/mn pour venir en appui des voiles et retrouver six nœuds de vitesse fond. 

Dugi Otok, Mathilde à la barre, jeudi 29 octobre 2020

Dugi Otok, baie aux cairns, jeudi 29 octobre 2020

Dugi Otok, on longe la côte ouest, jeudi 29 octobre 2020

A 10h15 nous sommes très près des falaises, que nous allons suivre vers le sud. Mathilde est à la barre, en compagnie de Valentin. Je fais passer la grand-voile à tribord, du même côté que le génois. A 11h30, moteur coupé, nous passons le passage du Prolaz Mala Proversa à la voile, au largue bâbord amures, à trois nœuds de vitesse fond. Nous avons juste assez de vent pour nous permettre de remonter le passage, contre un léger courant.

Prolaz Mala Proversa, petit déjeuner avec le pain fait à bord par Christophe, jeudi 29 octobre 2020

Prolaz Mala Proversa, on approche des chenaux d'accès au passage, jeudi 29 octobre 2020

Prolaz Mala Proversa, l'entrée du passage, jeudi 29 octobre 2020

Valentin, à la barre dans le passage du Prolaz Mala Proversa, la rend ensuite à Mathilde. Celle-ci va nous emmener dans la crique voisine d'Uvala Cuscica, où nous allons mouiller aux alentours de midi. Dans cette manœuvre, Valentin s'occupera de la chaîne et de l'orin. Je demande à Mathilde de mouiller dans 7 m de fond, et à Valentin d'envoyer 35 m de chaîne au moment où Mathilde lui en donnera le signal. Nous passerons un peu moins de deux heures dans cette crique propice à la baignade. Un petit port minuscule a été aménagé au fond de la crique, désert, seulement desservi par un sentier. J'ai réparé une voile dans cette crique il y a quelques années, et je propose à Christophe de profiter de la halte pour monter s'il le souhaite en haut du mât. Nous disposons d'une chaise de calfat bleue, rangée sous les banquettes du carré. D'autres volontaires se proposant de prendre la suite de Christophe, je crois que pratiquement tout l'équipage est monté en haut du mât ce jour-là, alternant baignades dans la crique et passages dans la chaise de calfat.

Uvala Cuscica, Christophe entame l'ascension, jeudi 29 octobre 2020 (1)Uvala Cuscica, Pierre hissé dans le mât par Philippe et Christophe, jeudi 29 octobre 2020 Uvala Cuscica, baignade, jeudi 29 octobre 2020 (1)

A 13h, nous sommes survolés à plusieurs reprises à basse altitude par un bombardier d'eau qui va remplir ses réservoirs d'eau derrière les îles toutes proches. Nous le voyons passer en rase-mottes entre celles-ci, disparaître derrière elles, puis revenir quelques minutes plus tard, une fois son largage effectué. Peut-être des incendies sont-ils en cours dans les pinèdes voisines, à moins qu'il ne s'agisse que de simples exercices d'entraînement.

Uvala Cuscica, nous sommes survolés par un bombardier d'eau, jeudi 29 octobre 2020

Uvala Cuscica, Christine se prépare à monter dans la mâture, jeudi 29 octobre 2020

Uvala Cuscica, baignade, jeudi 29 octobre 2020 (2)

Uvala Cuscica, Christophe entame l'ascension, jeudi 29 octobre 2020 (2)

Uvala Cuscica, Mathilde descend du mât, jeudi 29 octobre 2020

Uvala Cuscica, L'équipage vu du mât, jeudi 29 octobre 2020

A 13h45 nous remontons l'ancre. Pierre est à la barre. Valentin et Guilhem ont en charge de l'orin et du guindeau, aidés par Christophe. Nous sortons de la crique, enroulons à bâbord la pointe sud-est de Dugi Otok, et remontons sa côte est jusqu'à Sali, où nous allons faire escale jusqu'à 17h. L'accostage sur bâbord le long du quai des ferries est entièrement réalisé par l'équipage ; nous sommes non loin du Café Maritimo. Je descends dans le carré et je m'installe à la table à cartes, en face de mon ordinateur. J'ai une interview en vidéoconférence sur Zoom avec Mlle Lebreton et un groupe d'élèves d'une classe au Brésil. Quand je remonterai dans le cockpit, j'aurai la surprise de découvrir que le quai n'est plus le même : un employé de la ville a demandé à ce qu'on change de quai, et l'équipage a déménagé le bateau sans mon aide, traversant le port pour aller se mettre sur le côté interne du môle.

A 17h l'équipage n'est pas au complet à bord ; à 17h15 je passe quelques coups de fil. Les absents sont rassemblés en face au café Maritimo et vont être là rapidement. A 17h30 nous quittons Sali. Le départ s'effectue contre une garde avant ; c'est Rosalie qui effectue la manœuvre. Depuis Sali, nous descendons le Lavdarski Kanal, puis le Zutski Kanal qui sépare les îles Zut et Kornati. Nous naviguons au sud-est, sous génois, grand-voile et moteur, à 6,8 nœuds. Le vent est remonté à 10 kt, toujours de nord-ouest. Le baromètre a continué à remonter lui aussi : 1019 hpa contre 1014 hpa la veille, nous promettant des journées agréables. 

La lune sur l'archipel des Kornati, jeudi 29 octobre 2020

A 21h nous sommes à mi-chemin entre Otok Tetovisnja et Rt Zirje, la pointe qui marque l'extrémité nord de l'île du même nom. Le quart est composé de Valentin, Mathilde, et Christophe. Ce dernier en même temps prépare du pain et nous explique comment faire celui-ci. Vous trouverez l'ensemble de ces explications en allant voir la vidéo ci-dessous. La majeure partie de l'équipage a été enthousiasmée par le pain obtenu et les explications, et, une fois la croisière terminée, la plupart on réalisé des pains chez eux.

En route pour Rogoznica, la fin du dîner, 0,8 M au nord de la pointe Rasohe, jeudi 29 octobre 2020

A 22h03 nous finissons de dîner. Nous sommes à 0,8 M au nord de la pointe Rasohe, qui marque l'extrémité est de Zirje. Quelques minutes plus tôt nous avons laissé à tribord l'îlot Gusteranski, et à bâbord l'écueil Hrid Bosnjak et son feu rouge à éclats. 

A 22h55 nous sommes à 3,29 M dans le 144° de Hrid Bosnjak ; nous continuons en ligne droite vers les baies de Rogoznica. 0H59, Christine est à la barre, son quart étant complété par Pierre et Guilhem. Elle mène à vue le bateau dans l'anse d'Uvala Saline (Uvala Sibenska), au nord de la seconde des deux baies de Rogoznika. Christine mouille dans 5 mètres de fond devant le quai d'Uvala Saline, en demandant à Pierre et Guilhem d'envoyer 30 mètres de chaîne avec orin ; c'est la fin de l'étape.

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Philippe enlève son chèche, jeudi 29 octobre 2020

Off Dugi Otok (Croatia), Thursday October 29, 2020. We left the bay of Mali Losinj the day before at 11:30 pm. Coming out of the long channel that gives access to the Adriatic, we reached the Zabodaski islet and headed south. A northwesterly wind of about fifteen knots pushes us to the starboard tack. The moonlight illuminates waves about thirty centimeters high; the Quint II cuts through the water at a speed of six knots. At 1:45 am, I leave Mathilde, Christophe and Valentin who are on watch alone in the cockpit and I go down to bring the point on the map spread out on the saloon table. We are near Otok Kamenjac, a small islet less than a cable's length north of Premuda Island, very close on the map of the line that materializes our route. The time has come to head south-east, on course 122 °, to skirt the Adriatic side of the whole series of islands which extend the very long Dugi Otok island, then the west coast of the latter. At 4 am, Pierre, Christine and Guilhem come to take over from Mathilde, Christophe and Valentin. They've put together a deck of cards and will play for up to seven hours in the cockpit. I take advantage of the relief to go down into the square, again bring a point on the map, and request a correction of the heading of + 3 °, to compensate for the drift linked to the wind. That done, I go back into the cockpit, stuff myself into my sleeping bag, and lie down on the port bench. I think I must have fallen asleep in five minutes. At 6 a.m., we started along the south coast of Dugi Otok. We are southwest of Otok Mezani, three and a half miles from this small islet near the coast. Our speed dropped to five knots. It is dawn; the sun will rise at 6:32 am, and we can already see clearly. We take 120 ° to get closer to the coast, which, with the return of visibility, no longer represents a threat. The wind has turned slightly and we are now downwind, the sails set in scissors. I'm leaving for a nap of just under an hour. At 7am, shift change. Rosalie, Emma and I are on shift until ten o'clock. At 9:30 am, the wind, which continued to weaken, only gave us three knots of speed. We restart the engine, set to 1800 rpm to support the sails and regain six knots of bottom speed. At 10:15 am we are very close to the cliffs, which we will follow towards the south. Mathilde is at the helm, along with Valentin. I put the mainsail to starboard, on the same side as the genoa. 

Prolaz Mala Proversa à la voile, jeudi 29 octobre 2020 (3)

Prolaz Mala Proversa à la voile, jeudi 29 octobre 2020 (2)

Prolaz Mala Proversa à la voile, jeudi 29 octobre 2020 (1)

At 11:30 am, engine off, we passed the passage of the Prolaz Mala Proversa under sail, on the port tack, at three knots bottom speed. We have just enough wind to allow us to go up the passage, against a light current. Valentin, at the helm in the passage of the Prolaz Mala Proversa, then returns it to Mathilde who will take us to the nearby cove of Uvala Cuscica, where we will anchor around noon. In this maneuver, Valentin will take care of the chain and the rope. I ask Mathilde to anchor in 7m deep, and Valentin to send 35m of chain when Mathilde gives him the signal. We will spend a little less than two hours in this cove suitable for swimming.

Uvala Cuscica, le nœud de chaise, jeudi 29 octobre 2020

Uvala Cuscica, Christine en haut du mât, jeudi 29 octobre 2020

Uvala Cuscica, jeudi 29 octobre 2020

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Uvala Cuscica, début d'ascension pour Christine, jeudi 29 octobre 2020

A tiny little port has been built at the end of the cove, deserted, only served by a path. I repaired a sail in this cove a few years ago, and I suggest that Christophe take advantage of the stopover to climb up to the top of the mast if he wishes. We have a blue caulk chair, stored under the seats in the saloon. Other volunteers offering to take over from Christophe, I believe that practically all the crew climbed up the mast that day, alternating swimming in the creek and passing in the caulking chair.

Uvala Cuscica, baignade, jeudi 29 octobre 2020 (3)Uvala Cuscica, nous sommes survolés par un bombardier d'eau, jeudi 29 octobre 2020 (2)

Uvala Cuscica, baignade, jeudi 29 octobre 2020

At 1.45 p.m. we go back to anchor. Pierre is at the helm Valentin and Guilhem are in charge of the orin and the windlass, helped by Christophe. We leave the cove, wind the south-eastern tip of Dugi Otok to port, and go up its east coast to Sali, where we will stopover until 5 p.m. The docking on the port side along the ferry quay is entirely carried out by the crew; we are not far from Café Maritimo. I go down to the saloon and sit down at the chart table, in front of my computer. I have a videoconference interview on Zoom with Miss Lebreton and a group of students from a class in Brazil. When I get back into the cockpit, I will be surprised to discover that the dock is no longer the same: a city employee asked that we change the dock, and the crew moved the boat without my help, crossing the harbor to get to the inner side of the pier. At 5 pm the crew is not complete; at 5.15 p.m. I make a few phone calls. They are gathered in front of the Maritimo cafe and will be there quickly. At 5.30 p.m. we leave Sali. The departure takes place against a front guard; Rosalie performs the maneuver. From Sali, we descend the Lavdarski Kanal, then the Zutski Kanal which separates the Zut and Kornati islands. We are sailing south-east, under genoa, mainsail and motor, at 6.8 knots. The wind rose to 10 kt, still from the north-west. The barometer also continued to rise: 1019 hpa against 1014 hpa the day before, promising us pleasant days. At 9 p.m. we are halfway between Otok Tetovisnja and Rt Zirje, the point which marks the northern end of the island of the same name. The quarter is composed of Valentin, Mathilde, and Christophe. The latter at the same time prepares bread and explains how to make it. You will find all of these explanations by going to see the video below. Most of the crew were thrilled with the bread they got and the explanations, and when the cruise was over, most baked bread at home. 

Préparation du dîner, jeudi 29 octobre 2020

At 10:03 pm we finish dinner. We are 0.8M north of Rasohe Point, which marks the eastern end of Zirje. A few minutes earlier we had left the Gusteranski islet to starboard, and the Hrid Bosnjak rock and its flashing red light to port. At 10:55 pm we are at 3.29 M in the 144 ° of Hrid Bosnjak; we continue in a straight line towards the bays of Rogoznica. 12:59 am, Christine is at the helm, her shift being completed by Pierre and Guilhem. It leads the boat to sight in the cove of Uvala Saline (Sibenska Luka), north of the second of the two bays of Rogoznica. Christine anchors in 5 meters deep in front of the quay of Uvala Saline, asking Pierre and Guilhem to send 30 meters of chain; this is the end of the stage. 

Prolaz Mala Proversa, Mathilde à la barre, jeudi 29 octobre 2020

Uvala Cuscica, nous sommes survolés par un bombardier d'eau, jeudi 29 octobre 2020 (1)

 

Vidéos : De Mali Losinj à Sali, jeudi 29 octobre 2020 : Réalisation : © Philippe Bensimon ; Préparation du pain à bord, jeudi 29 octobre 2020 : Réalisation : © Philippe Bensimon/Christophe Delaunay. Photos : Philippe reporte la position du bateau sur la carte étalée dans le carré, jeudi 29 octobre 2020 ; Lever du soleil sur Dugi Otok, jeudi 29 octobre 2020 ; L'équipage de quart de 4h à 7h joue aux cartes au lever du soleil, jeudi 29 octobre 2020 ; Mathilde à la barre le long de la côte ouest de Dugi Otok, jeudi 29 octobre 2020 ; Dugi Otok, l'anse des cairns, jeudi 29 octobre 2020 ; Dugi Otok, côte ouest, jeudi 29 octobre 2020 ; Petit déjeuner avec du pain frais "maison", jeudi 29 octobre 2020 ; L'approche du Prolaz Mala Proversa, jeudi 29 octobre 2020 (1) ;  L'approche du Prolaz Mala Proversa, jeudi 29 octobre 2020 (2) ; Uvala Cuscica, exercices dans la mâture, jeudi 29 octobre 2020 (1 et 2) ; Uvala Cuscica, baignade, jeudi 29 octobre 2020 (1) ; Uvala Cuscica, un bombardier d'eau nous survole, jeudi 29 octobre 2020 (1) ; Uvala Cuscica, exercices dans la mâture, jeudi 29 octobre 2020 (3) ; Uvala Cuscica, baignade, jeudi 29 octobre 2020 (2) ; Uvala Cuscica, exercices dans la mâture, jeudi 29 octobre 2020 (4 et 5) ; Uvala Cuscica, le Sun Odyssey 509 Rock Point vu du haut du mât, jeudi 29 octobre 2020 (1) ; La lune brille devant nous, jeudi 29 octobre 2020 ; Fin du diner dans le carré du Rock Point, jeudi 29 octobre 2020 ; Philippe enlève son chèche, jeudi 29 octobre 2020 ; Le Prolaz Mala Proversa (1 à 3), jeudi 29 octobre 2020 ; Uvala Cuscica, nœud de chaise avant de monter dans le mât, jeudi 29 octobre 2020 ; Uvala Cuscica, au sommet du mât, jeudi 29 octobre 2020 ; Uvala Cuscica, l'équipage photographie le bombardier d'eau, jeudi 29 octobre 2020 ; Uvala Cuscica, baignade, jeudi 29 octobre 2020 (3) ; Uvala Cuscica, exercices dans la mâture, jeudi 29 octobre 2020 (6) ; Uvala Cuscica, le Sun Odyssey 509 Rock Point vu du mât, jeudi 29 octobre 2020 (1) ; Uvala Cuscica, un bombardier d'eau nous survole, jeudi 29 octobre 2020 (2) ; Uvala Cuscica, le Sun Odyssey 509 Rock Point vu du mât, jeudi 29 octobre 2020 (2) ; Entre Zilje et Kakan, préparation du repas, jeudi 29 octobre 2020 ; Mathilde à la barre, jeudi 29 octobre 2020 ; Uvala Cuscica, un bombardier d'eau nous survole, jeudi 29 octobre 2020 (3) ; Uvala Cuscica, exercices dans la mâture, jeudi 29 octobre 2020 (7) ; L'approche du Prolaz Mala Proversa, jeudi 29 octobre 2020 (3). Auteurs/authors : Philippe enlève son chèche, jeudi 29 octobre 2020 ; Philippe reporte la position du bateau sur la carte étalée dans le carré, jeudi 29 octobre 2020 ; L'approche du Prolaz Mala Proversa, jeudi 29 octobre 2020 (3) ; Le Prolaz Mala Proversa (1 à 3), jeudi 29 octobre 2020 ; Uvala Cuscica, un bombardier d'eau nous survole, jeudi 29 octobre 2020 (3) ; Uvala Cuscica, le Sun Odyssey 509 Rock Point vu du mât, jeudi 29 octobre 2020 (1, 2 et 3) ;  Uvala Cuscica, exercices dans la mâture, jeudi 29 octobre 2020 (2) ; La lune brille devant nous, jeudi 29 octobre 2020 ; Entre Zilje et Kakan, préparation du repas, jeudi 29 octobre 2020 : Christine Marpot. Autres photos : Philippe Bensimon.

Uvala Cuscica, Christophe au sommet du mât, jeudi 29 octobre 2020

Les abords du passage du Prolaz Mala Proversa, jeudi 29 octobre 2020