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Tour des deux Amériques sur un voilier
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14 mars 2022

Le climat et l'environnement, victimes de la guerre en Ukraine - The climate, a victim of the war in Ukraine

Ukraine_map_(disputed_territory, author CIA)

Le second volet du 6e rapport du Giec, promettant pourtant bien plus de victimes et bien plus de personnes déplacées que la guerre déclarée par Vladimir Poutine aux Ukrainiens, est passé complètement à la trappe, écarté par les médias obnubilés par la visibilité, la proximité et l'immédiateté des victimes ukrainiennes.

Alors que le rapport insiste dans son titre (« Impact, Adaptation and Vulnerability »)sur la nécessité de l'adaptation, et donc de l'information, rien que cela suffirait à dire que la guerre en Ukraine fera des victimes bien au delà des frontières de ce pays. 

Sur le terrain, on compte plus d'un million de personnes déplacées, ce chiffre pouvant aller jusqu'à cinq millions si la guerre se poursuit. En France, les personnes qui ont profité des vacances de février pour partir en famille et en voiture au ski n'ont que peu conscience de l'influence désastreuse de leurs vacances sur le climat : véhicules, remontrées mécaniques, etc. ont créé en février un pic de consommation des énergies fossiles, et rejeté dans l'atmosphère des tonnes de CO2 dont la planète se serait bien passé. Les millions d'Ukrainiens déplacés par la guerre au péril de leur vie sont beaucoup plus polluants encore, même si eux ont l'excuse de ne pas polluer pour leur seul plaisir. Toujours en Ukraine, les colonnes des chars russes et leur aviation représentent là encore une énorme consommation d'énergies fossiles – à tel point que certaines colonnes se sont trouvées ralenties par le manque de carburant. Les convois humanitaires, les militaires français partis en Roumanie ont eux aussi un bilan carbone désastreux. Enfin, la reconstruction de tout ce qui est aujourd'hui détruit va avoir un impact environnemental non négligeable.

Croyez-vous au déterminisme historique ? 

Si tout cela s'arrêtait aujourd'hui, cela ne serait rien par rapport à ce qui va devenir inévitable par la faute de l'Europe : l'Europe est en train de mettre en place les conditions d'un conflit généralisé entre la Russie et les forces de l'Otan (moins les Etats-Unis qui laisseront tomber l'Europe tant que leurs bases ne seront pas attaquées). 

Il est intéressant de mettre en parallèle la situation des années 30 et la situation actuelle.

 

  1. La situation géopolitique en Europe dans les années 1930 et de nos jours : 

En 1930, on a un dictateur qui prend petit à petit les pleins pouvoirs en Allemagne en éliminant son opposition. Il a depuis longtemps affiché son rêve de reconstituer un grand empire allemand unifiant l'Europe, en commençant par les secteurs germanophones. Dès 1920, le programme du parti nazi exige la fusion de tous les Allemands dans une grande Allemagne, ce qui préfigure implicitement l'Anschluss. En 1925, Adolf Hitler est encore plus explicite :

« L'Autriche allemande doit revenir à la grande patrie allemande et ceci, non pas en vertu de quelconques raisons économiques. Non, non : même si cette fusion, économiquement parlant, est indifférente ou même nuisible, elle doit avoir lieu quand même. Un seul sang exige un seul Reich. »

La population allemande, humiliée par le traité de Versailles et économiquement appauvrie par le versement des dommages de guerre, est toute prête à écouter le message extraordinaire d'un leader charismatique qui lui promet qu'elle est le peuple élu, qu'elle va avoir un empire, et (cerise sur le gâteau) qu'elle n'aura pas grand chose à faire, puisqu'un chef va s'en charger : « Ein Volk, ein Reich, ein Führer ».

En Russie, on a aujourd'hui un dictateur (Poutine, qui aujourd'hui gouverne seul, avec un parlement qui vit sous la menace, et s'est arrangé pour rester en poste jusqu'en 1936, après avoir contourné l'interdiction de se représenter aux élections en s'abritant derrière Medvedev, qui contrôle l'information et emprisonne les manifestants correspond bien à la définition d'un dictateur). Ce dictateur a depuis longtemps affiché son rêve de reconstituer la grande Russie, englobant à minimal tous les pays de l'ancien bloc de l'Est. Depuis longtemps aussi il se base – comme Hitler avant lui – sur la pratique de la langue Russe pour justifier ses visées sur certains territoires (Domblass, etc.).

Le parallèle avec la situation de la société russe telle qu'elle est aujourd'hui est aussi frappant : moins d'une centaine de personnes (les oligarques) trustent la majorité des richesses du pays. Corrompus et enrichis, ils sont tous proches de Poutine. Le peuple russe a produit en 2021 27.900 dollars par habitant (une richesse très inégalement répartie ; Michel Roche, professeur en sciences politiques et spécialiste de la Russie à l’UQAC estime que les 177 milliardaires russes détiennent à eux seuls une fortune estimée à un tiers de l'économie russe). Aux Etats-Unis, un citoyen moyen a produit en 2021 59.495 dollars, soit 2,13 fois plus. 

Le luxe des marques occidentales, les réseaux sociaux sont là pour montrer quotidiennement aux Russes qu'ils ont été les grands perdants de la Guerre froide. Il est facile de manipuler les gens pauvres. Quand Poutine leur promet un retour au peuple russophone unifié, un retour aux frontières de l'empire soviétique, et s'érige en tsar gouvernant seul et sans partage, cela ne vous rappelle-t-il rien ? La promesse est identique, et la cible est identique : un peuple humilié, auquel on a appris durant des décennies à considérer l'Ouest comme l'ennemi, la cause de tous les maux.

 

     2. Les essais de l'armée allemande et de l'armée russe :

Dans les deux cas, les deux armées ont besoin de se tester.

L'armée allemande va utiliser l'Espagne ravagée par la guerre civile comme terrain d'entraînement entre juillet 1936 et avril 1939, notamment pour son aviation avec la légion Condor, composée de volontaires issus de l'Armée de l'air de l'Allemagne nazie, qui va soutenir les forces du général Franco. L'aviation nazie bombardera sans discernement cibles civiles et militaires (cf. le village de Guernica entièrement détruit sous les bombes).

L'armée russe va utiliser la Syrie ravagée par la guerre civile comme terrain d'entraînement, et va se déployer à partir du 30 septembre 2015 en soutien à l'armée syrienne du président Bachar-El-Assad, accusé par ailleurs de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), au moins 5.051 rebelles et au moins 5.244 djihadistes de l'État islamique sont tués par les frappes aériennes russes entre le 30 septembre 2015 et le 30 mai 2019. Durant cette même période, les frappes aériennes russes tuent au moins 8.102 civils, dont 4.907 hommes, 1.225 femmes et 1.970 enfants. Aujourd'hui, l'aviation russe pilonne en Ukraine des cibles civiles, des quartiers résidentiels et des zones pavillonnaires.

 

    1. La stratégie de l'artichaut : la première feuille 

L'idée est de grignoter la cible feuille à feuille pour éviter de provoquer des réactions trop violentes.

Le 12 mars 1938 Hitler entame l'annexion le l'Autriche (l’Anschluss), sous prétexte d'unifier les peuples de langue allemande. Depuis plusieurs mois, il a soutenu des partis autonomistes, et en 1934 il a probablement commandité l'assassinat du chancelier autrichien Dolfuss, hostile à l'unification de l'Autriche avec l'Allemagne. Mais la SDN n'agira pas (l'aurait-elle pu?) et la communauté internationale fermera les yeux, la France et l'Angleterre, principaux soutiens de l'Autriche ne voulant pas d'une guerre avec l'Allemagne. Les Etats concernés n'ont pas voulu voir dans cela le début d'un plan (dont les objectifs étaient pourtant annoncés à l'avance) qui allait aboutir à la seconde guerre mondiale.

 

Le 16 mars 2014, la Russie organise sans l'autorisation de l'Ukraine un référendum en Crimée (demandant à la population si elle souhaite rejoindre la Russie), et quelques jour plus tard la péninsule de Crimée et la ville de Sébastopol sont annexées par la Russie.

Très vite des soupçons de fraude se portent sur ce référendum illégal. Mais l'ONU se contentera de condamnations, et la communauté internationale fermera les yeux, l'Europe et les Etats-Unis ne voulant pas d'une guerre avec l'Allemagne. Les Etats concernés n'ont pas voulu voir dans cela le début d'un plan (dont les objectifs étaient pourtant annoncés à l'avance) qui allait aboutir à la seconde guerre mondiale.

 

    1. La stratégie de l'artichaut : la deuxième feuille et les suivantes.

Il était évident en 1938 qu'après l'Autriche, la prochaine victime des nazis serait le territoire Sudète : germanophones comme les autrichiens, dans un pays peu armé (la Tchécoslovaquie), et sans frontière avec les grands pays militarisés d'Europe de l'Ouest. Fin septembre 1938, prenant appui sur le caractère germanophone des Sudètes (vivant aux frontières intérieures de la Tchécoslovaquie), et sur les exigences de leur chef le nazi Konrad Henlein galvanisé par l'Anschluss, Hitler envoie un ultimatum à la Tchécoslovaquie. Il y annonce qu'il annexera cette région quoi qu'il arrive le 1er octobre1938. Il sait parfaitement que cela équivaut à une déclaration de guerre avec la France et le Royaume-Uni, alliés de la Tchécoslovaquie. L'absence de réaction des Européens à l'Anschluss l'a conforté dans l'idée qu'ils ne réagiront pas non plus face à l'annexion d'une partie importante de la Tchécoslovaquie si on leur offre une porte se sortie. Il sait aussi que la France est en période électorale, période peu propice à une déclaration de guerre. Effectivement, la France mobilise ses troupes, mais sur proposition de Benito Mussolini, Hitler décide d’organiser une conférence de la dernière chance réunissant à Munich les représentants de l'Italie, du Royaume-Uni, de la France et de l'Allemagne. Le président tchécoslovaque Benes l'est pas invité. Winston Churchill écrit alors à Lloyd George : « j’ai l’impression que nous allons devoir choisir pendant les prochaines semaines entre la guerre et le déshonneur, et j’ai assez peu de doute sur l’issue de ce choix ». Le choix est en effet celui du déshonneur, et les 29 et 30 septembre, les pays réunis à Munich entérinent l'annexion des Sudètes par l'Allemagne. Ce faisant, le Royaume-Uni et la France trahissent leurs engagements vis à vis de la Tchécoslovaquie, qui cesse de fait d'être un pays indépendant, contre la promesse de paix de Hitler. 

Six mois plus tard (le 15 mars 1939), en violation des accords de Munich, l'armée allemande envahit la Bohème et la Moravie, deux autres régions de la Tchécoslovaquie. Benes a du quitter son pays ; son successeur, Emile Hacha, ne demande pas à l'armée tchécoslovaque d'intervenir pour défendre son pays. Les autres Etats européens ne réagissent toujours pas. 

Le 22 mars 1939, la ville lituanienne de Memel est annexée par le Troisième Reich : après un ultimatum allemand,, le gouvernement lituanien est forcé de signer un traité restituant Memel à l'Allemagne. Les autres Etats européens ne réagissent toujours pas. 

Concernant la Russie, il était évident qu'après la Crimée et Sébastopol, la Russie ne s'arrêterait pas là. Le 24 février 2022, 8 ans après l'annexion de la Crimée, les armées russes envahissent d'abord le Donbass séparatiste pro-russe, puis le reste de l'Ukraine. D'une part l'Ukraine est un pays riche en ressources (céréales, minerais) dont la Russie a besoin, d'autre part, elle ouvre la voie à l'armée russe vers d'autres pays de l'ancien bloc de l'Est (la Pologne notamment). Ayant parfaitement analysé la psychologie des dirigeants européens, Poutine sait qu'ils n'interviendront pas directement. La France comme en septembre 1939 est en période électorale, personne ne veut d'une guerre en Europe, et les les USA ne rentreront pas dans une guerre à laquelle leur opinion publique est opposée. 

Pour satisfaire les opinions publiques européennes, qui condamnent unanimement l'attaque de Poutine et les crimes de guerre commis en Ukraine contre les civils, les gouvernements européens qui se refusent à intervenir militairement sur place promettent de donner à l'Ukraine du matériel militaire et notamment des avions, mais la délivrance de ces moyens est sans cesse retardée au point que le président Zelensky parlait la semaine dernière de « promesses non tenues ». Visiblement, l'espoir des gouvernements Européens était qu'une guerre éclair gagnée par l'armée russe en quelques jours les exonère de leur promesse de livraison d'armes à l'Ukraine, et que quelques jours après la mise en place à Kiev d'un gouvernement pro-russe la crise ukrainienne tombe dans l'oubli. 

On constate ainsi que les « sanctions économiques » prises par les européens et les Etats-Unis à l'encontre de la Russie n'ont pas de véritable portée : certes elles affaiblissent le rouble et contraignent la Russie à vivre en relative autarcie, mais cette autarcie c'est que relative : les pays européens continuent à acheter leur énergie (notamment le gaz) à la Russie et à la payer en devises. L'Europe veut bien « sanctionner » la Russie, mais en apparence seulement, car elle ne veut pas en payer le prix. Enfin, toutes les sanctions économiques jouent sur le moyen et long terme ; alors qu'à un contre trente, l'armée Ukrainienne ne va pas pouvoir résister très longtemps à l'armée russe, présentée comme la deuxième armée au monde. Bref, ces sanctions ne ralentissent pas l'invasion de l'Ukraine, et ne l'empêcheront pas de tomber aux mains des Russes. Une fois l'Ukraine conquise et « russifiée », que deviendront ces sanctions ? Si elles perdurent elles n'auront plus de sens, et si elles sont levées elles le seront avant d'avoir réellement agi. Bref, dans un sens comme dans un autre elles n'auront servi à rien. Poutine le sait très bien, et n'en tient donc aucun compte.

 

          5. Etape suivante : la Pologne.

Le 1er septembre 1939, un peu moins de six mois après l'annexion de la Bohème et de la Moravie, l'armée allemande envahit la Pologne, prenant prétexte de l'existence dans ce pays de populations germanophones. Ceci provoque l'entrée en guerre de la France et du Royaume-Uni qui ont des traités d'alliance avec ce pays. Wikipédia note cependant : « Mais en dépit des traités passés avec ces deux pays, et leur déclaration de guerre à l'Allemagne, les Britanniques et Français n'offrent à la Pologne qu'un soutien très limité. ». Hitler continue ainsi son plan décrit très clairement dans Mein Kampf, le livre qu'il a rédigé en prison entre 1924 et 1925. « Il annonce sans ambiguïté le programme du Parti nazi, fondé notamment sur la volonté de réunification des territoires à population germanique (le pangermansme) ainsi que la nécessité de s'assurer, en Europe de l'Est, un « espace vital » allemand. Il comporte des menaces précises, qui ont fait écrire au maréchal Hubert Lyautey : « Tout Français doit lire ce livre » (Wikipedia). 

De même que les dirigeants européens semblent avoir oublié en 1936 de lire Mein Kampf, ils semblent avoir oublié en 2022 de relire les discours de Poutine. Il est évident que les anciens territoires du bloc de l'Est qui ont des frontières avec l'Ukraine seront les prochaines cibles de Poutine : la Moldavie d'abord, un pays de petite taille dont l'invasion ne déclenchera sûrement pas de réaction de la part des gouvernements européens et donnera à l'armée russe un accès supplémentaire à la Roumanie. Les Etats baltes (Lettonie, Estonie et Lituanie), où existent des communautés russophones, seront sans doute annexés ensuite – ne serait-ce que pour des raisons stratégiques en vue de l'invasion inéluctable de la Pologne.

Le calendrier reste à découvrir – il va de toute façon s'accélérer. Poutine, rattrapé par l'âge et peut-être la maladie (il aura 70 ans en octobre), ne voudra pas mourir avant d'avoir réalisé son rêve. L'invasion de la Pologne sera sans doute réalisée avant 2030 si l'Ukraine ne sort pas vainqueur d'une guerre qu'elle mène à un contre trente.

Certes, l'Europe se mettra alors à réagir, l'Allemagne ne pouvant supporter sans intervenir qu'il y ait une guerre à ses frontières. Hélas, comme en 1939, il sera trop tard pour réagir d'une façon efficace. L'effort de guerre russe est déjà sans commune mesure avec les « projets » de l'Europe. La Russie a doublé son budget militaire entre 2004 et 2020, l'Europe envisage de consacrer 2 % de son PIB à la défense. Le rapport entre les budgets militaires des puissances des deux blocs, actuellement en faveur de l'Europe (232 milliards de dollars contre 61,7 milliards de dollars pour la Russie, chiffres de 2020) risque de s'amenuiser puis de s'inverser au cours des prochaines années. Sans parler du matériel, l'efficacité des troupes russes, entraînées à combattre sur divers terrains d'action, sera bien supérieure à celle des troupes européennes, dont les commandements auront du mal à s'unifier.

 

Comme en 1936, nous avons aujourd'hui la possibilité de tuer dans l'œuf les ambitions de Poutine, et de sauver des millions de victimes en intervenant militairement et massivement sur le territoire et dans le ciel ukrainien pour sauver le peuple ukrainien, son régime démocratique et le président Zelensky. Quand on intervient, la leçon d'Hiroshima a montré qu'il faut intervenir massivement et de façon spectaculaire. L'Europe a les moyens de le faire.

Certes, des centaines de familles des pays de UE recevront en retour des cercueils. Certes, le gaz russe cessera d'arriver. Certes, durant quelques années l'inflation sera là. Mais si nous continuons à envoyer à l'Ukraine des promesses (la liste sur Wikipédia en est impressionnante) sans agir, les morts ne se compterons plus en milliers mais en millions, et au lieu de livrer une guerre en Ukraine, nous devrons livrer une guerre d'une violence inédite sur les territoires de l'UE. Poutine se moque aujourd'hui des conventions de Genève et des accusations de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. Ses missiles ont la capacité de frapper Paris, Berlin, Prague et Madrid, et il a montré que détruire des immeubles civils et des zones résidentielles faisait partie de sa stratégie. L'Europe veut-elle que les immeubles des Champs-Elysées, de Unter den Linden ou de la Kurfürstendamm soient détruits sous les bombes ? La décision doit se prendre aujourd'hui, tant que le président Zelensky est encore en place. Quand il sera tué ou destitué, il sera trop tard.

Volodymyr_Zelenskyy_voted_in_parliamentary_elections_(2019-07-21)_03 (author Фото Миколи Лазаренка : The Presidential Office of Ukraine

Pour en revenir à l'environnement...

Les poissons vont être heureux, des chalutiers ont cessé d'être rentables avec l'augmentation du prix du diesel, et leurs patrons ont décidé de rester à quai. Mais globalement, il va s'agit d'un désastre écologique. Déjà aujourd'hui, pour faire face à la demande mondiale de blé, impactée par l'arrêt des exportations en provenance de la Russie et de l'Ukraine, les céréaliers français réclament une levées des contraintes environnementales : une fois encore, comme toujours, l'économie va passer avant l'environnement. Enfin, lorsque le conflit, en lui même extrêmement destructeur pour l'environnement et les écosystèmes, aura pris fin, le pire restera peut être à venir. Comme à la fin de la première et de la seconde guerre mondiale, les surplus d'armes chimiques seront vraisemblablement immergés en mer. Dans le meilleur des cas la mer d'Azov deviendra sans doute la poubelle des belligérants, dans le pire des cas, la mer Baltique deviendra le cimetière ce ces munitions (elle abrite déjà à moins de 3,5 km des côtes des dépôts de munitions chimiques issues des deux premières guerres mondiales).

Selon le site Reporterre, « La dévastation de l’environnement (en Ukraine) est une bombe à retardement ». D'une part les belligérants s'affrontent pour la première fois sur un terrain fortement nucléarisé. L'Ukraine produit 50 % de son électricité grâce à 15 centrales nucléaires qui chacune sont une source de danger sans précédent. On a frôlé de peu la catastrophe lors de l'incendie provoqué par les Russes près de la centrale de Zaporijia ; un seul coup au but sur les fragiles sarcophages de Tchernobyl provoquerait une catastrophe. Depuis que les Russes ont envahi la zone de Tchernobyl au début du conflit, « Selon la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad), contactée par Reporterre le 24 février, « un certain nombre de capteurs de mesure du taux de radiation gamma ont enregistré une forte augmentation du rayonnement : une multiplication par 20, 30, voire près de 40 selon les capteurs, dans toutes les directions et jusqu’à une trentaine de kilomètres de Tchernobyl ». Les choses ne sont pas encore très claire, mais il semble que cette hausse soit due au passage des chars soulevant la poussière au sol.

Le Donbass, ou séparatistes pro-russes et armée ukrainienne s'affrontent depuis huit ans, est devenu une des régions les plus polluées d'Europe. Selon l'ONU, 530 000 hectares — dont dix-huit réserves naturelles — ont été « affectés, endommagés ou détruits » par le conflit au Donbass. L'inondation des mines a pollué le réseau hydrographique de la zone avec des métaux lourds et des produits chimiques ; on trouve désormais du strontium et du baryum dans les lacs artificiels de la région, et la pollution. Gaspard d'Allens (Reporterre) décrit ainsi la situation, dans un article publié le 2 mars 2022 : « le Donbass est une nouvelle zone rouge, dévastée et sacrifiée, à l’image de la zone d’exclusion de Tchernobyl ou de Verdun ».

La guerre en Ukraine a déjà commencé à polluer des sols de façon irréversible. Des incendies ont été allumés par les combats dans des réserves naturelles protégeant des espèces en voie d'extinction.

Des raffineries, des sites d'extraction de pétrole ont été détruits ou sont en feu, comme le montrent des images satellite. Si l'Europe laisse cette guerre s'enliser, c'est l'ensemble de l'Ukraine qui va finir par ressembler au Donbass, avec une pollution qui va nécessairement se propager petit à petit à l'ensemble de l'Europe, portée par les vents et les cours d'eau. Sur place et dans les années qui viennent, la pollution aux particules fines et aux métaux lourds issue de la destruction des sites stratégiques (qui se propage aux zones civiles) va provoquer chez les populations civiles d'inévitables problèmes de santé.

De façon un peu mélodramatique, le président Volodymyr Zelensky a parlé des soldats ukrainiens « sacrifiant leur vie pour éviter un second Tchernobyl ». Il serait grand temps que l'Europe mette en jeu autre chose que des promesses pour venir en aide à ces soldats. Il serait grand temps que l'Europe réalise que le combat de l'Ukraine est SON combat, et que si l'Ukraine du président Zelensky perd ce combat, quelques années après, ce sera l'Europe qui le perdra. On n'ose même pas imaginer alors ce que deviendra l'environnement (européen et planétaire) à l'issue d'un envahissement de l'Europe par la Russie.

 

Philippe Bensimon

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The climate, a victim of the war in Ukraine

The second part of the 6th report of the IPCC, promising yet many more victims and many more displaced persons than the war declared by Vladimir Putin on the Ukrainians, fell completely by the wayside, dismissed by the media obsessed with visibility, proximity and the immediacy of the Ukrainian victims. While the report insists in its title (“Impact, Adaptation and Vulnerability”) on the need for adaptation, and therefore for information, that alone would be enough to say that the war in Ukraine will cause victims far beyond the borders of this country. On the ground, there are more than one million displaced people, this figure could rise to five million if the war continues. In France, people who took advantage of the February holidays to go skiing with their families and by car are only slightly aware of the disastrous influence of their holidays on the climate: vehicles, ski lifts, etc. created a peak in fossil fuel consumption in February, and released tons of CO2 into the atmosphere that the planet would have done without. The millions of Ukrainians displaced by the war at the risk of their lives pollute even more, even if they have the excuse of not polluting for their sole pleasure. Also in Ukraine, the columns of Russian tanks and their air force again represent an enormous consumption of fossil fuels – so much so that some columns have found themselves slowed down by the lack of fuel. The humanitarian convoys, the French soldiers who left for Romania also have a disastrous carbon footprint. Finally, the reconstruction of all that is destroyed today will have a significant environmental impact.

Do you believe in historical determinism?

If all this stopped today, it would be nothing compared to what will become inevitable through Europe's fault: Europe is in the process of setting up the conditions for a generalized conflict between Russia and NATO forces (minus the United States, which will let Europe down until its bases are attacked). It is interesting to compare the situation of the 1930s with the current situation.

1. The geopolitical situation in Europe in the 1930s.

In 1930, we have a dictator who gradually takes full power in Germany by eliminating its opposition. He has long since displayed his dream of reconstituting a great German empire unifying Europe. From 1920, the program of the Nazi party demanded the fusion of all Germans in a greater Germany, which implicitly prefigured the Anschluss; in 1925, Adolf Hitler is much more explicit:

“German Austria must return to the great German fatherland, and this not for any economic reasons. No, no: even if this merger, economically speaking, is indifferent or even harmful, it must take place all the same. One blood demands one Reich. »
The German population, humiliated by the Treaty of Versailles and economically impoverished by the payment of war reparations, is ready to listen to the extraordinary message of a charismatic leader who promises them that they are the chosen people, that they will have an empire, and (icing on the cake) that she won't have much to do, since a leader will take care of it: "Ein Volk, ein Reich, ein Führer".
In Russia today we have a dictator (Putin, who today governs alone, with a parliament that lives under threat, and has managed to remain in office until 1936, after circumventing the ban on running for office hiding behind Medvedev, controlling information and imprisoning protesters fits the definition of a dictator). This dictator has long displayed his dream of reconstituting a greater Russia, encompassing at least all the countries of the former Eastern bloc. For a long time also he has relied – like Hitler before him – on the use of the Russian language to justify his aims in certain territories (Domblass, etc.).

The parallel with the situation of Russian society as it is today is also striking: less than a hundred people (the oligarchs) monopolize the majority of the country's wealth. Corrupt and enriched, they are all close to Putin. The Russian people produced produced in 2021 27,900 dollars per inhabitant (a very unequally distributed wealth; Michel Roche, professor of political science and specialist in Russia at UQAC estimating that the 177 Russian billionaires alone hold a third of the Russian economy). In the United States, an average citizen produced 59,495 in 2021.

The luxury of Western brands, social networks are there to show Russians daily that they were the big losers of the Cold War. It is easy to manipulate poor people. When Putin promises them a return to the unified Russian-speaking people, a return to the borders of the Soviet empire, and sets himself up as tsar governing alone is unchallenged, does that remind you of anything? The promise is the same, and the target is the same: a humiliated people, taught for decades to regard the West as the enemy, the cause of all evil.

2. German Army and Russian Army Trials

Either way, both armies need to test each other.

The German army will use Spain ravaged by the civil war as a training ground between July 1936 and April 1939, in particular for its aviation with the Condor legion, made up of volunteers from the French Air Force. Nazi Germany, which will support the forces of General Franco. The Nazi air force will indiscriminately bomb civilian and military targets (cf. the village of Guernica completely destroyed by the bombs).

The Russian army will use Syria ravaged by civil war as a training ground, and will deploy from September 30, 2015 in support of the Syrian army of President Bashar-El-Assad, also accused of crimes of war and crimes against humanity. According to the Syrian Observatory for Human Rights (OSDH), at least 5,051 rebels and at least 5,244 Islamic State jihadists were killed by Russian airstrikes between September 30, 2015 and May 30, 2019. During this same period, Russian airstrikes killed at least 8,102 civilians, including 4,907 men, 1,225 women and 1,970 children. Today, Russian aircraft are shelling civilian targets, residential neighborhoods and suburban areas in Ukraine.

3. The artichoke strategy: the first leaf

The idea is to nibble the target sheet by sheet to avoid provoking too violent reactions. On March 12, 1938 Hitler began the annexation of Austria (the Anschluss), under the pretext of unifying the German-speaking peoples. For several months, he supported the autonomist parties, and in 1934 he probably ordered the assassination of the Austrian chancellor Dolfuss, hostile to the unification of Austria with Germany. But the League of Nations will not act (could it have?) and the international community will turn a blind eye, France and England, Austria's main supporters, not wanting a war with Germany. The States concerned did not want to see in this the beginning of a plan (whose objectives were however announced in advance) which would lead to the Second World War.

On March 16, 2014, Russia organized a referendum in Crimea without Ukraine's authorization (asking the population if they wanted to join Russia), and a few days later the Crimean peninsula and the city of Sevastopol were annexed by Russia. Very quickly, suspicions of fraud fell on this illegal referendum. But the UN will content itself with condemnations, and the international community will turn a blind eye, Europe and the United States not wanting a war with Germany. The States concerned did not want to see in this the beginning of a plan (whose objectives were however announced in advance) which would lead to the Second World War.

4. The artichoke strategy: the second leaf and the following ones

It was obvious in 1938 that after Austria, the next victim of the Nazis would be Sudetenland: German-speaking like the Austrians, in a country with few weapons (Czechoslovakia), and without borders with the major militarized countries of Eastern Europe. 'Where is. At the end of September 1938, relying on the German-speaking character of the Sudetenland (living on the internal borders of Czechoslovakia), and on the demands of their leader, the Nazi Konrad Henlein galvanized by the Anschluss, Hitler sent an ultimatum to Czechoslovakia, where he announced that he will annex this region no matter what on October 1, 1938. He knows perfectly well that this amounts to a declaration of war with France and the United Kingdom, allies of Czechoslovakia. The Europeans' lack of reaction to the Anschluss confirmed him in the idea that they will not react either to the annexation of a large part of Czechoslovakia if they are offered a way out. He also knows that France is in an election period, a period not very conducive to a declaration of war. Indeed, France mobilized its troops, but on the proposal of Benito Mussolini, Hitler decided to organize a last-ditch conference bringing together in Munich the representatives of Italy, the United Kingdom, France and Germany. Czechoslovak President Benes is not invited. Winston Churchill then wrote to Lloyd George: "I have the impression that we are going to have to choose for the next few weeks between war and dishonor, and I have little doubt as to the outcome of this choice". The choice is indeed that of dishonor, and on September 29 and 30, the countries gathered in Munich endorse the annexation of the Sudetenland by Germany. In doing so, the United Kingdom and France betrayed their commitments to Czechoslovakia, which effectively ceased to be an independent country, against Hitler's promise of peace. Six months later (March 15, 1939), in violation of the Munich agreements, the German army invaded Bohemia and Moravia, two other regions of Czechoslovakia. Benes' successor who had to leave his country, Emile Hacha, did not ask the Czechoslovak army to intervene to defend his country. The other European states still do not react.

Regarding Russia, it was obvious that after Crimea and Sevastopol, Russia would not stop there. On February 24, 2022, 8 years after the annexation of Crimea, Russian armies first invaded the pro-Russian separatist Donbass, then the rest of Ukraine. On the one hand Ukraine is a country rich in resources (grains, minerals) which Russia needs, on the other hand it opens the way for the Russian army to other countries of the former bloc of the East (Poland in particular). Having thoroughly analyzed the psychology of European leaders, Putin knows that they will not intervene directly. France as in September 1939 is in an election period, nobody wants a war in Europe, and the USA will not return to a war to which their public opinion is opposed.

To satisfy European public opinion, which unanimously condemns Putin's attack and the war crimes committed in Ukraine against civilians, the European governments which refuse to intervene militarily on the spot promise to give Ukraine military equipment and in particular planes, but the delivery of these means is constantly delayed to the point that President Zelensky spoke the day before yesterday of "broken promises". Obviously, the hope of European governments was that a lightning war won by the Russian army in a few days would exonerate them from their promise to deliver arms to Ukraine, and that a few days after the establishment in Kiev of a pro-Russian government the Ukrainian crisis falls into oblivion. It can thus be seen that the "economic sanctions" taken by the Europeans and the United States against Russia have no real impact: certainly they weaken the ruble and force Russia to live in relative autarky, but this autarky is only relative: European countries continue to buy energy (especially gas) from Russia and pay for it in foreign currency. Europe wants to "sanction" Russia, but only in appearance, because it does not want to pay the price. Finally, all the economic sanctions have an impact on the medium and long term, whereas at one against thirty, the Ukrainian army will not be able to resist the Russian army for very long, presented as the second army in the world. In short, these sanctions do not slow down the invasion of Ukraine, and will not prevent it from falling into Russian hands. Once Ukraine has been conquered and “Russified”, what will become of these sanctions? If they persist they will no longer have any meaning, and if they are lifted they will be before they have actually acted. In short, in one way or another they will have been useless. Putin knows this very well, and therefore ignores it.

5. Next stop: Poland.

On September 1, 1939, six months after the annexation of Bohemia and Moravia, the German army invaded Poland, using the pretext of the existence of German-speaking populations in this country. This causes the entry into the war of France and the United Kingdom which have treaties of alliance with this country. Wikipedia notes, however: "But despite the treaties with these two countries, and their declaration of war on Germany on , the British and French offer Poland only very limited support. ". Hitler thus continued his plan described very clearly in Mein Kampf, the book he wrote in prison between 1924 and 1925. pan-Germanism) as well as the need to ensure a German "living space" in Eastern Europe. It includes specific threats, which caused Marshal Hubert Lyautey to write: “Every Frenchman must read this book” (Wikipedia).

Just as European leaders seem to have forgotten in 1936 to read Mein Kampf, they seem to have forgotten in 2022 to re-read Putin's speeches. It is obvious that the former territories of the Eastern bloc which have borders with Ukraine will be Putin's next targets: first of all Moldova, a small country whose invasion will surely not trigger a reaction from from European governments and will give the Russian army additional access to Romania. The Baltic States (Latvia, Estonia and Lithuania), where there are Russian-speaking communities, will no doubt be annexed later – if only for strategic reasons in view of the inevitable invasion of Poland. The timetable remains to be discovered – it will accelerate anyway. Putin, overtaken by age and perhaps illness (he will turn 70 in October), will not want to die until he realizes his dream. The invasion of Poland will probably be carried out before 2030 if Ukraine does not emerge victorious from a war that it is waging one against thirty.

Admittedly, Europe will then begin to react, Germany not being able to bear without intervening that there is a war on its borders. Unfortunately, as in 1939, it will be too late to react effectively. The Russian war effort is already disproportionate to Europe's "projects" (devoting 2% of its GDP to defence), and the gap between the military powers of the two blocs will continue to widen over the of the next few years. Without speaking about the material, the effectiveness of the Russian troops, trained to fight on various fields of action, will be much higher than that of the European troops. As in 1936, today we have the possibility of nipping Putin's ambitions in the bud, and of saving millions of victims by intervening militarily and massively on the territory and in the skies of Ukraine to save the Ukrainian people, their regime Democratic Party and President Zelensky. When we intervene, the lesson of Hiroshima has shown that we must intervene massively and in a spectacular way. Europe has the means to do so. Of course, hundreds of families from EU countries will receive coffins in return. Of course, Russian gas will stop coming. Admittedly, inflation will be there for a few years. But if we continue to send promises to Ukraine (the list on Wikipedia is impressive) without taking action, the dead will no longer be counted in the thousands but in the millions, and instead of fighting a war in Ukraine, we will have to fight a war of unprecedented violence on EU territories. Putin today mocks the Geneva Conventions and accusations of war crimes and crimes against humanity. Its missiles have the capability to strike Paris, Berlin, Prague and Madrid, and it has shown that destroying civilian buildings and residential areas is part of its strategy. Does Europe want the buildings on the Champs-Elysées, Unter den Linden or Kurfürstendamm to be destroyed by bombs? The decision must be taken today, as long as President Zelensky is still in office. When he is killed or deposed, it will be too late.

Coming back to the environment...

The fish will be happy, trawlers have ceased to be profitable with the increase in the price of diesel, and their bosses have decided to stay at the quay. But overall, it's going to be an ecological disaster. Already today, to meet the global demand for wheat, impacted by the halt in exports from Russia and Ukraine, French grain producers are calling for the lifting of environmental constraints: once again, as always, the economy will come before the environment. Finally, when the conflict, in itself extremely destructive for the environment and ecosystems, has ended, the worst may still be to come. As at the end of the First and Second World Wars, surplus chemical weapons will probably be dumped at sea. In the best case the Sea of ​​Azov will undoubtedly become the dustbin of the belligerents, in the worst case, the Baltic Sea will become the cemetery for this ammunition (it already shelters chemical ammunition depots from the first two world wars less than 3.5 km from the coast). According to the Reporterre website, “The devastation of the environment (in Ukraine) is a ticking time bomb”. On the one hand, the belligerents confront each other for the first time on a highly nuclearized terrain. Ukraine produces 50% of its electricity thanks to 15 nuclear power plants, each of which is a source of unprecedented danger. We came very close to disaster when the fire caused by the Russians near the Zaporijia power station; a single hit on the fragile Chernobyl sarcophagi would spell disaster. Since the Russians invaded the Chernobyl zone at the start of the conflict, "According to the Commission for Independent Research and Information on Radioactivity (Criirad), contacted by Reporterre on February 24, "a number of sensors measuring the rate gamma radiation recorded a strong increase in radiation: a multiplication by 20, 30, or even nearly 40 depending on the sensors, in all directions and up to about thirty kilometers from Chernobyl”. Things are not yet very clear, but it seems that this increase is due to the passage of tanks raising dust on the ground.

The Donbass, where pro-Russian separatists and the Ukrainian army have been fighting each other for eight years, has become one of the most polluted regions in Europe. According to the UN, 530,000 hectares - including eighteen nature reserves - have been "affected, damaged or destroyed" by the conflict in Donbass. The flooding of the mines has polluted the area's water system with heavy metals and chemicals; strontium and barium are now found in artificial lakes in the region, and pollution. Gaspard d'Allens (Reporterre) describes the situation as follows, in an article published on March 2, 2022: "Donbass is a new red zone, devastated and sacrificed, like the Chernobyl or Verdun exclusion zone". The war in Ukraine has already started to pollute the soil irreversibly. Fires have been started by fighting in nature reserves protecting endangered species. Refineries, oil extraction sites have been destroyed or are on fire, as satellite images show. If Europe lets this war get bogged down, the whole of Ukraine will end up resembling the Donbass, with pollution that will inevitably spread little by little to the whole of Europe, by winds and waterways. On the spot and in the years to come, pollution with fine particles and heavy metals resulting from the destruction of strategic sites (which is spreading to civilian areas) will cause inevitable health problems among civilian populations. Somewhat melodramatically, President Volodymyr Zelensky spoke of Ukrainian soldiers “sacrificing their lives to avoid a second Chernobyl”. It is high time that Europe involved something other than promises to come to the aid of these soldiers. It is high time for Europe to realize that Ukraine's fight is HIS fight, and that if President Zelensky's Ukraine loses this fight, a few years later, it will be Europe that will lose it. We do not even dare to imagine then what will become of the environment (European and planetary) at the end of an invasion of Europe by Russia. 

Philippe Bensimon

Photos : Ukraine_map_(disputed_territory, author CIA) ; Volodymyr Zelenskyy and his wife voted in parliamentary elections (2019-07-21) 03 (author Фото Миколи Лазаренка / The Presidential Office of Ukraine.).jpg

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Tour des deux Amériques sur un voilier
  • Ce blog décrit la préparation et la réalisation d'une expédition scientifique et pédagogique de cinq ans sur un grand voilier autour des deux Amériques, avec passage en Antarctique et en Arctique. This blog describe a scientific and educational expedition.
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EXPEDITION TOUR DES DEUX AMERIQUES SOLIDAIRE EN VOILIER - OBJECTIFS ET ITINERAIRE

Logo T2A V6 Capture d’écran 2018-06-28 à 17

Logo officiel 150416_Logo_ocean-climate

L'Expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier, membre d'Ocean & Climate Platform, consiste à envoyer un voilier et son équipage faire sur cinq ans le tour complet des Amériques, avec passage dans le Grand Sud et dans le Grand Nord. Durant tout ce voyage l’équipage et des scientifiques procéderont à des recherches sur les milieux polaires et océaniques, des observations (notamment en ce qui concerne les animaux marins et la pollution lumineuse) et des prélèvements : micro-algues, planctons, etc. Un second volet consistera à nouer des liens avec les habitants rencontrés, artistes, artisans, commerçants, etc. et les amener à parler librement de leur vie et de son évolution dans des interviews non-directifs. Un volet communication très important est prévu dans les 27 pays abordés : nous y tournerons des documentaires, alimenterons un blog de voyage, ferons des reportages, donnerons environ 400 conférences (une tous les quatre jours en moyenne), écrirons des livres avec des photos à partir du journal de bord, essayerons de faire publier des articles dans la presse locale et nationale des pays où nous serons, etc. Le but de cette communication est de sensibiliser les populations à la nécessité de protéger les milieux polaires et océaniques : la plupart des gens ignorent encore que l’oxygène qu’ils respirent est fourni pour moitié par les océans, que le climat dans lequel ils vivent est régulé par les grands courants océaniques, et que le CO2 qu’ils rejettent est absorbé en grande partie par les océans. Lorsque ces mécanismes s’interrompront, la vie humaine telle que nous la connaissons ne sera plus possible.
L’itinéraire se fera dans le sens dextrogyre : depuis Gibraltar et la Méditerranée descente des côtes marocaines, puis transat vers le nord-est du Brésil, descente des côtes atlantiques de l’Amérique du sud, passage des canaux de la Patagonie d’est en ouest, descente vers le sud jusqu’à Déception Island (une des bases les plus au Nord de l’Antarctique), retour aux côtes pacifiques de l’Amérique du Sud, remontées de celles-ci, puis des côtes pacifiques de l’Amérique du Nord, passage du détroit de Behring, puis Passage du Nord-Ouest pour rejoindre la baie de Lancaster et la mer de Baffin, puis détour par Nuuk au sud du Groenland avant de rejoindre les côtes canadiennes et descendre les côtes atlantiques de l’Amérique du Nord pour finir notre périple dans les Caraïbes avant de prendre le chemin du retour par les Bermudes et les Açores. Hormis les transats aller et retour et le détour par Deception Island, il s’agira essentiellement de navigation côtière de port en port du fait des aspects humanistes de l’expédition. En attendant le départ, l'équipage s'entraîne en faisant des croisières en Méditerranée.
Une vidéo de présentation est disponible sur Youtub
e : https://youtu.be/NxjYzmvqbCA

 

The Tour of the two Americas in solidarity in sailing boat (T2A Expedition) is to send a sailboat and its crew to make about five years the complete tour of the Americas, with passage in the Great South and in the Far North. During this voyage, the crew and scientists will carry out research on polar and ocean environments, observations (particularly concerning marine animals and light pollution) and samples: micro-algae, plankton, etc. A second part will be to establish links with the inhabitants encountered, artists, craftsmen, traders, etc. And lead them to speak freely about their lives and their evolution in non-directive interviews. A very important communication component is planned in the 27 countries covered: we will make documentaries, feed a travel blog, give about 400 conferences (one every four days on average), write books with photographs from the logbook, will try to publish articles in the local and national press of the countries where we will be, and so on. The aim of this communication is to raise awareness of the need to protect the polar and ocean environments. The itinerary will be in the dextrogyre direction: from Gibraltar and the Mediterranean descent of the Moroccan coasts, then transat to the northeast of Brazil, descent of the Atlantic coasts of South America, passage of the canals of the Patagonia of In the west, descending south to Deception Island (one of the most northern bases of Antarctica), returning to the peaceful coasts of South America, rising from these, then the Pacific coasts of the Antarctic, North America, crossing Behring Strait, then the Northwest Passage to Lancaster Bay and the Baffin Sea, then detour by Nuuk to southern Greenland before reaching the Canadian coasts and down the Atlantic coasts of the " North America to finish our trip in the Caribbean before taking the way back through Bermuda and the Azores. Apart from the two tansats and the detour by Deception Island, it will essentially be coastal shipping from port to port due to the humanistic aspects of the expedition. While waiting for the departure, the crew trains by making cruises in the Mediterranean.

A presentation video is available on Youtube: https://youtu.be/NxjYzmvqbCA

NOUS RECHERCHONS DES SPONSORS, ENTREPRISES ET ONG (GRATUIT POUR LES ONG) - WE ARE LOOKING FOR SPONSORS
Nous recherchons une ou plusieurs entreprises sponsors souhaitant voir la promotion de leurs produits/services durant cinq ans dans tous les ports abordés des deux Amériques, et dans les médias des 27 pays abordés (plus la France). Nous mettons aussi le bateau et son équipage au service de nos sponsors pour des croisières incentives destinées à leurs membres, clients, commerciaux, distributeurs, etc. Valeur marchande des opérations dont vous bénéficierez : entre 7.120.000 euros et dix millions d'euros. Les détails de cette très belle action de sponsoring avec l'itinéraire, le descriptif du bateau, de nombreuses photos et un  chiffrage précis figurent dans un fichier de 77 pages. Ce fichier est directement accessible en faisant un copié-collé complet  de ceci dans la barre d'adresse de votre navigateur : https://www.dropbox.com/scl/fi/0k5jmyexb5pikn5j47r85/Sponsoring-Presse-neutre-V109.pdf?rlkey=ny197fkpy6ut1sdpz071b2jsf&dl=0

Nous offrons aussi sans contrepartie financière les mêmes services (valeur entre 7.120.000 euros et 10 M€) à une ONG reconnue pour son action humanitaire au niveau international. Nous assurerons avec le concours de ses membres au niveau local la promotion de ses actions dans le monde et dans les pays concernés, et également d'autres services s'il y a lieu. 

Pour toute demande, contactez Philippe Bensimon au +33 (0)6.81.34.65.31.

We are looking for one or more sponsor companies wishing to see the promotion of their products / services for five years in all ports covered in the two Americas, and in the media of the 27 countries discussed (plus France). We also put the boat and its crew at the service of our sponsors for incentive cruises for their members, customers, salespeople, distributors, etc. Market value of the transactions you will receive: between 7,120,000 euros and 10 million euros. The details of this very nice sponsorship action with the itinerary, the description of the boat, many photos and accurate figures are in a file of 58 pages. This file is directly accessible by making a complete copy-pasted of this in the address bar of your browser:
https://www.dropbox.com/s/ierwb3wxpe2q8j0/Sponsoring%20Press%20neutral%20V77%20b%20english.pdf?dl=0 


We also offer the same services (value between € 7,120,000 and € 10 million) without any financial compensation to an NGO recognized for its international humanitarian work. We will, with the help of our local members, promote its actions in the world and in the countries concerned, as well as other services if necessary.

For any request, contact Philippe Bensimon at +33 (0) 6.81.34.65.31.

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L'équipage (il reste de la place pour vous) :


PhB Croatie 11 avril 2014Philippe Bensimon

Formation : DEA de gestion (MATIS), DESS marketing, licence en droit, diplômé de l'ISPEC et de l'ICSV. Alpiniste, il a été le témoin privilégié du réchauffement climatique et de la fonte des glaciers des Alpes. Passionné par la mer, il est venu à la voile par le biais du 420. Après une carrière dans le monde de la communication et de la direction générale d’entreprises, habitué à tenir des conférences en public, il est à l’origine du volet pédagogique de l’expédition. Il applique désormais à la mer les techniques de la montagne et de la gestion de projet. Il sera l’interlocuteur privilégié de nos sponsors tout au long de cette aventure, et de celles qui suivront.

Franck Patay à Monemvasia 2 octobre 2014Franck Patay

Franck Patay est Breton, fils de marin et marin depuis son enfance. Spécialiste des moteurs Diesel, pêcheur, épicurien et excellent cuisinier, c’est le bricoleur de l’équipe, celui grâce à qui ce qui ne marche plus marche de nouveau. A également la cinquantaine, ce qui fait qu’ils ont ensemble des choses à se dire (Ah, le bon temps...). Toujours de bonne humeur, quelles que soient la force du vent et la hauteur des vagues, ce diplômé des Beaux-Arts a un excellent coup de crayon..

Mathilde Sandor pour blogMathilde Sandor

Mathilde Sandor est passionnée par la voile et la mer. A 21 ans, cette jeune femme sportive entame un cursus pour obtenir un BPJEPS monovalent voile, après lequel elle embarquera avec nous pour les six premiers mois de l'expédition ou plus. En attendant le départ, Mathilde va s'occuper de l'agenda des conférences, colloques et autres manifestations ayant trait aux océans et au climat, et également de nos relations avec les ambassades et les consulats des 27 pays que nous aborderons. 

Kevin Correa pour blogKevin Correa

Kevin Correa est un passionné de l'environnement. Après avoir suivi une formation d'anthropologue à l'université de Nanterre, il a travaillé dans un collège durant trois ans, ce qui lui a permis de développer son approche pédagogique. Avant notre départ Kevin va s'occuper avec Evelyne du site internet de l'expédition, et aura pour charge de nouer des contacts en Amérique Latine avec des acteurs environnementaux et des écoles de cinq pays. Par la suite il participera aux volets anthropologique et pédagogique de l'expédition.

No_mie_CatalanoNoémie Catalano

Etudiante en droit et en économie, Noémie découvre notre expédition en décembre 2017 lors d'une rencontre avec Mathilde, et adhère à la démarche environnementale de T2A. Curieuse de tout et pratiquant le dessin, la photographie et des sports variés, cette monitrice de voile qui a déjà enseigné en Corse et au Maroc et visité l'Ouest américain travaille pour nous en priorité sur le sponsoring et la création d'outils collaboratifs. Noémie passera une année à bord de T2A, sous forme de périodes de trois mois.

Pierre_Paul_Arend_pour_blogPierre-Paul Arend

A 4 ans, il est conquis par la mer et le ciel étoilé lors d'une traversée en cargo vers la Corse. Instructeur de Voile Croisière (CYA. Canada) et des sports de neige (Suisse), sa passion est la transmission des savoirs : 30 ans d’apprentissage par l’enseignement. Il a écrit L’Andragogie de la Voile ou comment transmettre la culture Voile selon la Tradition orale. A 50 ans, il devient Yachtmaster Offshore et Océan (RYA). Navigateur de l’expédition, il va préparer/planifier nos passages hauturiers et Océans. Son carnet de bord sera tenu à jour sur le net. Pierre-Paul est notre ambassadeur au Canada.

Romain_Vilbois_pour_le_blogRomain Vilbois

A moins de 30 ans, Romain Vilbois connaît déjà une grande partie de l’Afrique. Amoureux de l’océan et des animaux qui l’habitent, il prépare une grande expédition aux quatre coins du monde sur six ans à la rencontre de tous les plus grands prédateurs de la planète. Il nous écrit : "Je suis impatient d’apporter ma pierre au Tour des Deux Amériques ! ". Très actif, Romain Vilbois crée en ce moment une ONG. Les Enfants du Mérite viendra en aide aux enfants défavorisés des pays pauvres sur des critères d'excellence scolaire.

Itzel_Diaz_pour_blogItzel Diaz

Itzel Diaz a 24 ans. Passionnée par la mer depuis l'enfance, elle découvre vraiment la voile à 22 ans lorsqu'elle décide de traverser l'Atlantique de Bretagne jusqu'aux Antilles. Après des études de théâtre à Paris, elle part pendant plusieurs mois découvrir le théâtre israëlo-palestinien. Habituée des grands voyages, elle a parcouru une grande partie de l'Amérique Latine où elle a développé une sensibilité pour la protection de l'environnement et du patrimoine latino-américain. Franco-mexicaine, elle parle couramment espagnol et sera notre ambassadrice au Mexique.

Thibault_DepouxThibault Depoux

En 2011, Thibault tombe amoureux du voyage en sillonnant les routes Equatoriennes. En 2012, il séjourne un an en Irlande pour compléter son diplôme d'ingénieur avec un Bachelor dans les énergies durables puis repart plusieurs fois à la découverte du monde, de nouvelles cultures. Son leitmotiv : « l’important ce n’est pas la destination, mais le voyage ! ». Conducteur de travaux dans l’éolien depuis 2016, il espère que le vent et son goût pour l’aventure le porteront outre-Atlantique… Sans carbone ! Il partage les objectifs de T2A et nous aidera notamment à trouver de nouveaux sponsors.

Palolo_Cavallini_pour_blog_Capture_d__cran_2018_02_11___12Paolo Cavallini

Paolo Cavallini a trois passions : la mer (skipper), les animaux et les SIG libres. Fondateur de Faunalia, vice-pdt de QGIS.org, membre du QGIS Project Steering Commitee en tant que Financial/Marketing Advisor, co-fondateur de GFOSS.it (Italian Geographic Free and Open-Source Software Association), associé et charter member de la Fondation Internationale OSGeo-Open Source Geospatial Foundation, co-fondateur de ITPUG-ITalian PostgreSQL User Group, ce docteur de recherche en zoologie est membre de IUCN-The World Conservation Union - Species Survival Commission, ancien Pdt du IUCN Small Carnivore Specialist Group et membre du IUCN - European Sustainable Use Specialist Group.

Naomie_Pache_avec_chien_horizontal_IMG_2506Noémie Pache

Après avoir obtenu en 2017 le diplôme d’une Ecole suisse, Noémie a décidé de voyager et d’explorer le monde en participant à des expéditions. Soucieuse de participer à la lutte pour la préservation de l’environnement, la jeune femme a choisi de rejoindre l’équipe de T2A et écrit : « pour moi l’impossible recule devant celui qui avance ! ». Une belle devise. Noémie, qui est basée à Versoix à proximité du lac Léman, devient la représentante en Suisse de l’expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier et va s’occuper de contacter les entreprises suisses intéressées par le sponsoring de l’expédition.

Pierre Mathey photo pour blogPierre Mathey

Titulaire des brevets de Yachtman et de navigateur de yacht + le GMDSS, passionné d’histoire antique, Pierre enseigne aujourd’hui à l’école Polaris à Bruxelles où il donne des cours de manœuvres moteur (théorie et pratique) ainsi que les cours de loxodromie et orthodromie. Ce professionnel des ressources humaines skippe régulièrement des bateaux durant ses loisirs. Sa prochaine croisière est programmée avec nous en Grèce en avril ; il sera ensuite en Finlande fin juin. Il souhaite faire avec T2A la transat aller, et est intéressé par les canaux de la Patagonie ainsi que certaines parties de l’Amérique du sud.

Charlie Kergavarat pour le blog Capture d’écran 2018-03-14 à 03Charlie Kergavarat

C'est après une transatlantique en 2017 et de nombreux voyages le long des côtes qu'il réalise les enjeux et le besoin d’agir pour la préservation des océans. Sa devise : “Caminante no hay camino, se hace camino al andar”. Avant le départ, Charlie aidera l’expédition T2A à trouver des sponsors et s’occupera de préparer le drone pour l’acquisition d’images pendant cette grande aventure. Il souhaite effectuer des sauts de puce pendant les cinq ans du projet. Géologue, chercheur rataché à l'université de Pau, il fait aussi partie du comité scientifique de l'expédition.

Philippe Fleury au format blogPhilippe Fleury

Citoyen du monde, voyageur invétéré, plongeur dans l’âme, il a trempé ses palmes dans de multiples  eaux…. mais souvent chaudes ! Enseignant à la retraite, il se consacre maintenant entièrement à la plongée et plus spécifiquement à la formation. La cause environnementale le concerne énormément et l’expédition T2A va lui servir de vecteur pour lui permettre d’apporter sa pierre à l’édifice.  Son credo… humour, bonne humeur et optimisme. Il devient le conseiller technique "plongée" de l'expédition.

Sabiha Dellouci pour le blog au format Capture d’écran 2018-04-10 à 05Sabeha Dellouci

Ecolo dans l’âme, militante, multipliant les formations dans le développement durable pour partager ses compétences dans un but humanitaire. La passion de la mer est une histoire de famille : père, oncle, cousin, tous les Dellouci ont plongé en Méditerranée. Juriste, elle consacre beaucoup de sa vie à l'océan, dans « Les Surfeuses des îles » (mouvement de surfeuses pour la protection de la mer) et « For a sustainable life - pour une vie durable » (protection de l'environnement). L’expédition T2A lui permet de contribuer à la protection des océans. Polyvalente et pluridisciplinaire, elle sera une assistante à toute l’équipe à bord du voilier.

Tawfik pour le blogTewfik Tahraoui

Médecin, master en anthropologie de la santé, pour Tewfik l’homme est tributaire de son environnement social, culturel, politique, économique et surtout biologique. Zoo-botaniste autodidacte, sympathisant de nombreuses associations de protection de l’environnement, Tewfik a grandi dans une ville côtière d’Algérie où au fil des années il a vu le désastre  s’installer. Il apportera ses services de médecin à bord, et collaborera dans les différentes thématiques scientifiques. Polyglotte avec des compétences en pédagogie et en communication, il aidera au volet anthropologique de l’expédition et à la recherche de sponsors, notamment dans le secteur pharma qu’il connaît bien. 

Manon Ricard pour Blog Capture d’écran 2018-04-18 à 17Manon Ricard

Après un an à sillonner les routes de Nouvelle Zélande, Manon Ricard souhaite parcourir les océans et devenir skipper. Elle obtient un certificat Matelot de pont à 22 ans et, fascinée par le milieu aquatique, pratique la plongée sous-marine en se profesisonnalisant dans le domaine. Toujours prête à partir pour une nouvelle aventure, elle embarquera avec T2A sur une longue période dans le but d’aller à la rencontre des cultures et d’éveiller les consciences sur les enjeux qui concernent notre planète.

Sara Diquelou pour le blogSara Diquelou

Sara Diquelou est graphiste et illustratrice. Passionnée de communication visuelle et d’échanges interculturels, elle a travaillé comme vidéaste dans le secteur de la musique avant de réaliser son rêve : passer une année autour du monde. Son goût de l'aventure l’a menée jusqu’aux portes de l’Alaska où elle a observé ses premières aurores boréales, puis dans des villages ethniques en Asie du Sud et en Océanie. Elle souhaite désormais s’investir pour la défense des océans et mettre ses compétences au service de cette expédition qui, selon elle, illustre bien les mots de Mark Twain : Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.

Alban Mounier pour blog Capture d’écran 2018-04-23 à 12Alban Mounier

33 ans, en quête de savoir et de nouveauté. Passionné de voyages, de sport et ravi de partager de nouvelles expériences professionnelles et humaines. Toujours au contact de l’eau, Alban est passé de nageur en compétition à Maître-Nageur Sauveteur puis Instructeur de plongée Padi et SSI. Plongeur expérimenté passionné d’images, il s’est orienté vers la photo subaquatique et avec son appareil, il est prêt pour de nouvelles aventures. Ses nombreux séjours en Australie, Indonésie, Philippines, Mexique, lui ont permis de s’enrichir au contact de la population, de découvrir une faune et flore riche, variée mais fragile : rejoindre T2A est pour lui une évidence.

Paloma Garonne photo pour le blog Capture d’écran 2018-04-26 à 14Paloma Olivares

D’origine espagnole et bilingue français-espagnol, Paloma a grandi à Montpellier proche de la mer où elle s’est initiée au 420. Elle a aussi vécu un an aux Etats-Unis et dix ans en Allemagne. A part ça, elle enseigne la sophrologie dans les collèges, et l’anglais et l’espagnol à des enfants. Elle aime tout ce qui touche de près ou de loin au vivant, naviguer, voyager, les échanges authentiques et l’ouverture d’esprit. Bref elle aime la vie !

Xavier Rossignol pour blog Capture d’écran 2018-05-08 à 18Xavier Rossignol

En 2015, Xavier décide de vivre ses rêves plutôt que de continuer à rêver sa vie. Passionné de voile depuis toujours, il fait l’acquisition de son 3e bateau, un Sunrise, le premier capable de partir autour du monde. Avec son épouse et son fils de 3 ans ils partent un an en mer. Xavier nous écrit : « A peine l’aventure terminée, une seule envie, repartir. Mais cette fois-ci dans le cadre dans projet moins personnel et égoïste, dans le cadre d’un projet d’équipe, au service de l’intérêt général, au service de la mer. Lorsque j’ai entendu parler de T2A, il est devenu évident pour moi que c’était ce projet, qu’il fallait que je rejoigne l’équipe ». 

Photo Lionel Botta IMG_20171125_003506Lionel Botta

A 46 ans, Lionel Botta est un plongeur confirmé. Après la Méditerranée où ce Toulonnais a passé son enfance, Lionel à plongé à Bali, en Mer Rouge, aux Philippines, etc. Détenteur du niveau 3 CMAS – FFESSM, il est aussi plongeur nitrox confirmé : « Grâce à mon ami Philippe Fleury, j’ai eu écho du projet T2A dont le programme m’a séduit immédiatement. L’idée de plonger, photographier, filmer pour ensuite témoigner auprès d’un grand nombre de personnes me semble être un axe fort de défense et de préservation de nos océans. »

Marie Dufresne pour le blogMarie Dufresne

Elève ingénieur à l’ICAM de Lille, Marie Dufresne a décidé de s’accorder une pause de quelques mois. Alors qu’elle a vadrouillé en Inde les six derniers mois, elle rejoindra le voilier en Amérique du Sud. Elle aime les nouvelles technologies, et a toujours eu un attrait pour le développement durable. Bercée par la mer du Nord depuis son plus jeune âge, elle a des talents de photographe et de monteuse. Sa bonne humeur, son sourire aideront à maintenir une bonne ambiance en mer comme à terre. Ses maitres mots sont simplicité, dynamisme et bienveillance !

Eric Guischer pour le blogEric Guischer.

Citoyen belge, Eric Guischer est passionné par la plongée qu’il pratique depuis vingt ans avec une petit faible pour les eaux froides ! Il trouve qu’il est urgent de faire prendre conscience au plus de monde possible que les océans ainsi que notre planète se meurent, et qu’il est temps de réagir car nous courons à la catastrophe. L’expédition T2A sera pour lui le meilleur moyen d’y apporter sa contribution. Il compte effectuer des séjours d’un mois. Il est intéressé par Deception Island ainsi que la mer de Baffin mais s’adaptera au planning.

Alain Meynadier photo pour le blogAlain Meynadier

Alain Meynadier est « multi-casquettes » : plongeur de niveau 2, électrotechnicien avec une bonne connaissance informatique, mécanicien diéséliste avec une bonne connaissance de la mécanique marine (il est propriétaire d’un 35 pieds depuis 10 ans), soudeur arc et MIG, cuisinier en mer parlant anglais et espagnol, titulaire du permis mer, Alain à été durant trois ans de chef de bord. Il a également fait le tour de la Méditerranée en solitaire durant 15 mois. Ayant travaillé durant 20 ans comme pompier spécialisé dans la dépollution et les interventions en milieux périlleux, Alain est un défenseur passionné de la mer, membre de Friendsea world.

Chloé Desmarets pour le blogChloé Desmarets

Chloé écrit : « J’ai soif de découvertes et ne tiens pas en place, d’où ma passion pour la voile, que j’enseigne l’été comme monitrice, les voyages et mes études en relations internationales. Après une dernière année en alternance dans les relations institutionnelles, j’ai décidé de quitter Paris pour voyager, de préférence poussée par le vent. La protection de l’environnement me tient à cœur, et il m’a alors semblé évident de participer à L’Expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier ». Chloé apportera à bord ses compétences en relations publiques, en rédaction, en cuisine végétarienne, et sa bonne humeur.

Virginie Duhamel pour le blogVirginie Duhamel

Après une carrière d’experte en pierres précieuses, Virginie s’est recentrée sur Genève, la Haute-Savoie et sa passion pour l’humain. Thérapeute, elle aide depuis 17 ans l'homme dans sa recherche d'équilibre. Ses outils sont la PNL, l’lA Re-information, le coaching, les techniques neurocognitives, l'hypnose. Un métier qui s’enrichit sans cesse. Virginie parraine une petite fille en Bolivie pour lui permettre de se scolariser et se construire dans son devenir. « L’humain est indissociable de sa planète : d'où mon investissement dans l’information du public concernant la protection des mers et le réchauffement climatique ».

Véronique Flament pour le blogVéronique Flament

Véronique Flament a une formation en gemmologie/ métaux précieux et en gestion commerciale. Après un détour dans la distribution, cette passionnée de brocantes et d’objets d’art a choisi de consacrer une partie de son temps à la cause environnementale. Polyvalente et autonome, avec des compétences en organisation, Véronique s’adapte à toutes les situations. Pugnace et perfectionniste, elle mène jusqu’au bout les tâches qu’elle entreprend.

Jean-Louis Palisse photo pour le blog

Jean-Louis Palisse

A 16 ans novice pont puis mécanicien de bord, Jean-Louis Palisse passe le capitaine 200 UMS et le Brevet de Chef de Quart 500 UMS Marine Marchande. Il débute la voile à 28 ans et obtient le BPPV. Avec son Moody 346, il sera 10 ans président/ skipper d’une section voile : croisières, convoyages, régates. En 2016 il fait les Canaux de Patagonie et le Cap Horn, et la traversée Hobart-Ushuaia. 2017 sera l’année du Drake et de l’Antarctique (65 ° Sud). Il aime la glace qu’il a connue jeune : Norvège, Cap Nord, Spitzberg, Groenland, Alaska. A terre, il est passé par les RH et les achats. A 60 ans, il souhaite faire avec T2A la Patagonie, l’Antarctique, l’Alaska et le Passage du Nord-Ouest.

Alain Raspini pour le blogAlain Respini

Après onze années passées en tant que directeur commercial au sein de plusieurs laboratoires de cosmétologie, Alain Respini est devenu directeur général d’une structure basée sur la Côte d’Azur. Passionné par la voile - il skippe avec sa compagne leur propre voilier, un Aquila 28 basé en Méditerranée - Alain est un autodidacte. Apnéiste, ayant appris par lui-même la plongée, il a passé l’an dernier le niveau 2 PADI (plongée profonde). Pianiste, chanteur et auteur-compositeur, Alain a également monté des spectacles.

Laurence Bianchini pour le blogLaurence Bianchini

Titulaire du BTS secrétaire de direction, avec une expérience de plusieurs années dans la fonction, Laurence Bianchini aime voyager ; elle vit six mois par an sur un voilier de 28 pieds qui navigue entre la Corse et le continent. Volontaire, travailleuse et motivée, sensible à la gestion des déchets et au nettoyage des plages, Laurence prêtera main forte à bord dans les domaines suivants : gestion, achats, communication, organisation, reportages photos à terre et cuisine. Artiste, elle aime peindre des grands formats et parle espagnol.

Nicolas Coutable pour le blogNicolas Coutable

Artiste photographe engagé pour les peuples d'Amérique depuis plusieurs années, ses travaux sur les friches et l'environnement ont été exposés à Paris, Budapest ou encore en 2017 à la Mairie de Lyon. À Bordeaux, où il a rencontré Sarah Diquelou, Nicolas a exposé ses photographies de Colombie ou encore d'Argentine. Médiateur culturel, il travaille à La Base sous-marine où il apporte également ses compétence en tant que Community Manager, après avoir travaillé plusieurs années au FRAC Nord Pas-de-Calais ou pour une exposition des Reporters Sans Frontières.

Kader Kouidri pour le blogKader Kouidri

Montagnard, alpiniste et accompagnateur en montagne (avec certification handisport), Kader Kouidri a découvert la voile sur les lacs de montagne en 470. Devenu moniteur voile croisière pour l'association des Glénans en 2016, il va consacrer l’année 2019 à passer le BPjeps Croisière. Depuis 1999 cet éducateur sportif qui touche aussi à la menuiserie, à la maçonnerie et à la cuisine garde en été le refuge d'Archiane dans le Vercors. Kader sera disponible pour rejoindre l’expédition à partir de février 2020.

Olivia Sportes pour le blogOlivia Sportes

Un peu touche à tout, sportive, rêveuse, aventurière, curieuse, Olivia dit d’elle : “ce que j’aime par dessus tout, c’est prendre le temps de vivre. Après dix ans passés dans le marketing, en 2016, je pars à la découverte du monde. Treks, plongées et wwoofing m’ont rapprochés de la nature, mais j’y ai découvert une planète que nous détruisons à petit feu. De cette aventure, m’a vie a été transformée. Désormais végétarienne, j’essaie d’avoir un mode de vie qui se rapproche du zéro déchet. Tel un colibri qui fait sa part, l’aventure T2A c‘est pour moi l’opportunité de sensibiliser de nouveaux colibris, car « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». En plongée, Olivia Sportes est titulaire du niveau 2 ANMP.

Marion Cadiou pour le blogMarion Cadiou

Artiste, aux Beaux-arts Marion Cadiou a questionné par sa pratique plastique les liens entre l’art et la science. Passionnée par le voyage, elle découvre, son sac sur le dos, l’Asie du Sud-Est en 2017. « Aujourd’hui photographe, j'écris aussi lors de mes voyages. Mes études d'art font de moi une personne créative et pleine d'idées au quotidien et les métiers de services que j’ai pu exercer m’ont donné un goût prononcé pour l’humain. Ex-scout, végétarienne, randonneuse et plongeuse, je suis très touchée par la question de l'environnement et les possibilités d'actions pour sa conservation ». Marion Cadiou a obtenu en 2016 l’Open water PADI.

Michèle Barbieri pour le blogMichele Barbieri

Depuis toujours, Michèle Barbieri est très sensible à ln protection de la nature. Un voyage en bateau-stop jusqu'en Polynésie  lui a permis de voir la beauté de notre planète et de constater le peu de soin que les hommes en prennent. La voile est sa passion, découvrir, apprendre, voyager ses moteurs. Formée aux métiers de la voile (Brevet de Patron de plaisance à la voile), de la cuisine, elle est aujourd’hui Professeur des écoles. Grâce à son temps libre, elle fut aussi marcheuse, écovolontaire, conférencière. Intuitive, elle apportera à l'expédition son sens marin et son expérience.

Romuald trinquier pour le blogRomuald Trinquier

Ingénieur en gestion de projets industriels et issu d’une formation scientifique, Romuald Trinquier écrit : « je suis un amoureux des océans et des grands espaces. Passionné de plongée sous-marine (niveau 3 CMAS) et de voile, je suis en quête de découverte et d’aventure, je voyage aussi souvent que possible. A travers mes différents voyages, j’ai pu constater les effets du changement climatique, montée des eaux, blanchiment des coraux… En tant que fervent défenseur des océans je souhaite prendre part à cette expédition afin de faire prendre conscience au monde qu’il faut agir maintenant ».

Sherilyne Darmon pour le dossier de presseSherilyne Darmon.

Jeune diplômée en économie et sociologie, elle est militante en faveur de la protection animale et de l'environnement. Grande voyageuse, elle a été plusieurs fois volontaire à l'étranger dans diverses associations afin de sensibiliser les populations à la cause animale ; elle rejoint T2A afin de faire de même mais cette fois pour l'océan et pour les hommes. Passionnée, motivée et bilingue anglophone, elle sera chargée de prendre des photos lors de l'expédition et de trouver de nouveaux sponsors.  

Marielle Bernabeau pour le blogMarielle Bernabeu

Marielle a grandi avec la nature, dans les hauts cantons du Languedoc. Elle ne découvre la voile que sur le tard, au chantier naval du Père Jaouen. Et c'est décidé : la mer ne la quittera plus ! Préoccupée par le devenir de l'environnement et de l'humain, l'expédition T2A est pour elle l'occasion de participer à une prise de conscience. Marin professionnel et touche à tout, elle est toujours d'humeur pour aider et pour transmettre sa joie de vivre. Elle appuiera l'équipe selon ses capacités, et apprendra vite ce qu'elle ne sait pas encore faire. Elle participera à la recherche de sponsors, aidera aux navigations selon les plannings et prendra part au volet pédagogique.

Marie Roosen pour le blogMarie Roosen 

« S'il n'y a pas d'autre jeunesse que celle du cœur, des envies et de l’enthousiasme, alors je suis prête à continuer à vivre de manière aventureuse et intense. Prête aussi à m’engager pleinement pour des causes importantes, prête à apprendre, à découvrir. J’aime la mer passionnément. J’aime les rencontres et j'adore voyager ». Marie apportera à bord des compétences en animation, l’habitude de rédiger des articles et de communiquer sur place, son expérience de la gestion des groupes adultes ou enfants, et un sens relationnel développé. Petit plus, Marie ajoute :  « Et si je ne sais pas naviguer : je sais cuisiner ! ».

Margaux Servant pour le blogMargaux Servant 

Margaux, originaire de La Rochelle, est habituée à explorer et à s’interroger sur le monde qui l’entoure. C’est naturellement qu’elle souhaite le défendre en commençant par changer son quotidien. T2A apparait comme une suite logique dans sa démarche. Cette étudiante en médecine aime se rendre utile, ce qui l'a menée à participer à plusieurs associations. Curieuse, elle aime pratiquer de nombreuses activités : randonnée, photographie, couture, surf, aquarelle. En cas de mauvais jour sur le bateau, elle saura redonner le sourire grâce à son optimisme et sa persévérance.

Océane Lumay pour le blogOcéane Lumay

Océane Lumay est en deuxième année de bachelier en information et communication à l'UCLouvain. Passionnée par le voyage et les langues, elle s’est lancée pour sa première aventure en solo au cours d’un PVT en Australie avant d'entamer son cursus universitaire. Elle parle français, anglais, néerlandais, se débrouille en espagnol et apprend en ce moment le portugais. Sa curiosité et sa motivation à lutter pour les hommes et le monde l’ont poussée à m’embarquer dans l’expédition T2A dans laquelle elle va appliquer ses connaissances communicationnelles.

Joana Zidane pour le blog 2Joana Zidane 

D’origine française, Joana étudie les sciences politiques à Montréal. Elle est spécialisée en coopération internationale et est passionnée par les voyages. Partageant les valeurs de l’expédition, notamment pour l’impact du réchauffement climatique sur la santé mondiale, elle aidera le projet à trouver des sponsors avant le départ et à créer un premier contact avec certaines universités canadiennes. Du haut de ses vingt ans, Joana est curieuse et souriante et compte bien apporter de la bonne humeur à bord. Elle dispose d’un Niveau 1 PADI.

François Mas pour le blogFrançois Mas.

Originaire de la Corrèze, François grandit au plus près de la nature. Après des études de géographie à Toulouse, où il aborde les problématiques liées au changement climatique et aux diverses pollutions, il part faire le tour du monde en sac à dos. Il passe le niveau 1 PADI alors qu’il est en Indonésie, puis continue à pratiquer la plongée  dans un club à son retour en France. Il s’initie à la navigation en Bretagne, et se découvre une passion. Il pourra aider activement l’équipage de T2A, notamment en tournant des vidéos sous-marines. 

Alix Bayne pour le blogAlix Bayle

Passionée de voile, plongée et tout sport acrobatique et de glisse, l’embarquement sur le Tour des deux Amériques sera la première étape dans l’objectif d’Alix de remettre le voyage et la découverte au cœur de son projet de vie ; auquel vient se greffer le désir de mieux comprendre et connaître les écosystèmes marins et comment les préserver. Personne curieuse et engagée, Alix possède des compétences en communication et un niveau 2 de PADI, qui lui permettront de contribuer à la diffusion des problématiques de l environnement, de leurs solutions, et de l’engagement que chacun peut avoir.

Anna Brien photo pour le blogAnna Brien

Anna participe au T2A car cela lie ses deux aspirations du moment, l’écologie et le voyage. Elle voyage depuis 2 ans avec Aymeric Dujardin pour leur projet « Le Journal Terre Native » à travers lequel ils rencontrent des acteurs de la transition écologique et spirituelle. « Je suis très enthousiaste à l’idée d’embarquer sur un voilier et d’en apprendre plus sur le monde de la mer tout en étant au service du projet » écrit Anna. Elle apportera à T2A ses connaissances en photographie, en cuisine, en communication, en prise de décision en groupe, et de l’écoute, de la méditation, du yoga ainsi qu’une bonne dose de bonne humeur.

Quentin Abeille pour le blogQuentin Abeille

Quentin a 21 ans et est actuellement en école d’ingénieur à Toulouse. Passionné de voile depuis qu’il a 8 ans il a pratiqué ce sport en compétition sur de nombreux supports avant de se tourner vers l’habitable. C’est également un habitué des voyages et des destinations lointaines puisqu’il a vécu à Mayotte et à la Réunion avant de revenir en Bretagne. Il profitera d’une période de césure dans ses études pour rejoindre l’expédition pour laquelle il travaillera à la recherche de financements et de soutiens scientifique.

Lindsay Berruyer pour le blogLindsay Berruyer

Lyndsay écrit : « Amoureuse de la mer, passionnée de sports nautiques et curieuse de nature, cette expédition est pour moi une opportunité pour découvrir, partager, voyager et apprendre. Souriante, dynamique et positive, je saurai m’adapter et participer pleinement à la vie à bord ». Titulaire d’un master environnement et d’un BPJEPS voile, ses connaissances scientifiques, nautiques, son aptitude au travail en équipe, à la vulgarisation des connaissances et à s’exprimer en public serviront au sein de l’expédition. Pour Lindsay, « C’est une expérience rêvée pour concilier la voile et la science ». 

Jordan Doumengeux pour le blogJordan Doumengeux

Jordan sillonne les routes d’Amérique centrale et du continent nord américain depuis 2016. Après des études de Gestion à Rimouski il décide de partir seul et sans argent, avide de rencontrer les gens et la beauté que les paysages ont à offrir sur son chemin. Arrivé en Amérique centrale il décide de monter un projet de récolte de fonds pour aider les plus démunis. L’idée de contribuer à l’aventure de T2A est pour lui une suite logique dans son envie de concilier joie de vivre et soucis des autres et de la nature.

Emeline Frambourg pour le blog (la bonne)Emeline Frambourg

Emeline Frambourg, 26 ans, est protectrice de la nature. Diplômée d'un BTS Gestion et protection de la nature puis d'une licence en Médiation scientifique et éducation à l'environnement, Emeline travaille dans des planétariums avant de prendre goût aux voyages : elle s'immerge 3 mois en Norvège en 2017, à la rencontre de la culture nordique ten traversant le pays. Depuis, elle continue sac à dos à l'autre bout du monde tout en vivant ses passions de la montagne, de la photographie et de l'écriture. Emeline aidera à la recherche de sponsors, au développement de la partie pédagogique de l'expédition et à l'organisation des conférences.

Claire Mounier pour le blogClaire Mounier

Claire a toujours eu une grande soif d'aventures et de découvertes. Après avoir travaillé plusieurs années au Vietnam dans le domaine de la préservation du patrimoine, elle a passé un an à sillonner le Canada, où ses pérégrinations l'ont menée jusqu'au Yukon et en Alaska. Aujourd'hui, elle travaille dans l'édition, se passionne pour le voyage, l'illustration et la céramique, et s'engage dans différents projets associatifs. Polyvalente, curieuse et touche-à-tout, elle veut s’engager au service de l'environnement et dans l'aventure scientifique et humaine de l'expédition T2A.

Michael Dzokoto pour le blogMichael Dzokoto 

A 32 ans Michael est papa d'une fillette de 3 ans 1/2. Amoureux de l’océan et de la voile, il a passé le permis côtier et prépare le hauturier. Il possède un niveau professionnel de plongée (accompagnateur de palanquée "Dive Master"). Passionné par les grands voyages, là où on a le temps de prendre ses marques, d'échanger, créer des liens, il suit une formation en anglais pour passer le "TOEIC". Persévérant, bouillonnant d'idées, ce jurassien a créé son entreprise à Besançon, spécialisée dans l'expédition de colis internationaux. Il aime relever les défis et sollicitera ses réseaux pour que T2A soit une réussite.

Pia Mathias pour le blogPia Mathias

Pia Mathias est une jeune Lilloise de 21 ans exilée à Toulouse pour des études d’ingénieur en aéronautique et spatial. Passionnée par le ciel mais aussi par la mer, elle pratique la voile légère depuis de nombreuses années et rêve depuis toujours de dépasser les côtes et prendre le large. Sportive et habituée des voyages, elle profite d’une césure dans ces études pour rejoindre T2A, et s’engager dans un projet qui lui tient à cœur. Elle apportera la légendaire bonne humeur chti à bord de l’expédition et participera à la recherche de sponsor en plus de la navigation.

Axel Paillard pour le blogAxel Paillard

Nantais, formé 3 ans en hôtellerie-restauration, Axel part à 19 ans en l'Argentine, pays dont il tombe vite amoureux. Découverte de l'Amérique Latine puis des Caraïbes où il découvre la voile, des îles du Pacifique, de la Nouvelle Zélande, l'Australie et l'Asie. A 23 ans, il partage les préoccupations de T2A pour la planète, et l’idée d’agir par des conférences. Le volet anthropologique et les contacts locaux sont primordiaux pour lui. A bord, il va apprendre sur l’océan, le réchauffement et la navigation. Il apportera son expérience des moments difficiles, sa bonne humeur, ses compétences de cuisinier, sa connaissance du terrain et de l’espagnol.

Camille Josseaux pour le blogCamille Josseaux

Camille est une jeune Rémoise de 24 ans en poste comme ingénieur Recherche & Developpement logistique à Buenos-Aires en Argentine. Passionnée de nature, de voile et de navigation, elle désire en apprendre plus sur nos océans et comprendre comment l’homme interagit avec son environnement. Ayant étudié auparavant les sciences politiques et sociales, Camille a autant d’interét pour l’humain que pour l’environnement.  Elle souhaite mettre àprofit son sens de l’organisation et de la communication, sa résilience et son énergie pour s’impliquer dans le T2A. 

Charlotte Kerjean pour le blogCharlotte Kerjean

A 31 ans, Charlotte habite Whitehorse (Yukon, Canada). D'origine normande (racines viking), elle passe sa maîtrise d'enseignement des sports de plein air en Norvège, puis guide des groupes sur les glaciers islandais et néo-zéalandais et constate la fonte des glaces. En 2015, elle passe 2 ½ mois à bord du voilier Infinity aux îles Tonga & Samoa. L’eau est son élément. Elle pratique tous les jours la natation, a une formation de sauveteur en mer (SNSM) et plusieurs saisons sur les plages à son actif. « A l'équipage, j'apporterai mon énergie, et dynamisme, joie de vivre, et bons petits plats ».

Tom ruault pour le blogTom Ruault 

Tom sera diplômé ingénieur ICAM dans deux ans. Avant cela il va mener un projet écologique et solidaire durant lequel il voyagera 10 mois. La transition écologique n’est plus seulement une perspective pour sa carrière, c’est devenu une obligation. Il souhaite faire partie de l’équipage quelques temps afin d’apporter sa pierre à l’édifice, tout en apprenant énormément de cette expérience. Agé de 20 ans il apportera une implication sérieuse et motivée ainsi que sa joie de vivre pour l’expédition.

Xavier Menguy pour le blogXavier Menguy

Elève ingénieur à l’ICAM de Nantes, Xavier est passionné d’écologie et d’humanitaire et voudrait travailler pour ces causes au sein d’ONG. Membre de l’association du développement durable de son école, il adore voyager et réaliser de nouvelles expériences. Après avoir réalisé des actions humanitaires en Tanzanie, parcouru le Canada et l’Alaska et étudié en Pologne, Xavier a décidé de faire une pause dans ses études pour réaliser un tour écologique et solidaire de l’Amérique du Sud. Il apportera son dynamisme et ses compétences au sein du projet.

Paul Tervel pour le blog Capture d’écran 2019-02-07 à 16Paul Tervel

Paul a 24 ans. Après une licence en fac de sport, ce Bisontin obtient un master MEEF (Métiers de l’Education de l’Enseignement et de la Formation) et devient cinq mois professeur des écoles. Titulaire du BAFA, Paul est capable d’animer des activités à visée pédagogique auprès d’un jeune public. Après un voyage en solitaire en Nouvelle-Zélande pour améliorer son anglais, Paul désire désormais voyager par mer de port en port. Ce jeune homme déterminé à acquis l’habitude du travail en équipe, à la fois lors de ses pratiques sportives, et lors de ses jobs d’été.

Lilian Ferret pour le blog Capture d’écran 2019-02-07 à 17Lilian Ferret

Lilian Ferret est animateur nature. Il interviendra lors des conférences et de travaux de recherche en sciences participatives. Ex-étudiant en Gestion & Protection de la Nature, Lilian a déjà pu faire un stage de deux mois en réserve marine. Titulaire du bac Littéraire Cinéma, ses compétences de rédaction et réalisation seront utilisées au cours de l’expédition, notamment lors des interviews, photographies, etc. Lilian a également l’habitude de filmer au drone. Plongeur niveau 1, chanteur/guitariste, il fera partager partager ses ondes musicales aux autres membres de l’équipage !

July Brouard-Faure pour le blog Capture d’écran 2019-02-09 à 00July Brouard-Faure
 
July se définit comme "une simple terrienne qui cherche à s'éloigner des sentiers battus, en continuant l'apprentissage d'une existence toujours plus ethique". Son admiration et son respect pour l'environnement génèrent l'ambition de rejoindre le crew T2A. Amoureuse de la Mer, elle a soif des connaissances qui s'y rapportent. Autant un boute-en-train plein d'autodérision que calme et discrète, July est un couteau suisse aux tendances perfectionnistes. Elle apprend vite et aime les défis. Un peu autodidacte, complètement curieuse et adaptable, elle apportera son aide dans tous les domaines où elle sera utile.

Mathilde Legras pour le blogMathilde Legras

Mathilde a grandi dans la nature normande et corse et veut la protéger. A 25 ans, diplômée en politiques publiques, spécialisée en gestion de l'environnement, elle connaît les enjeux et a déjà participé à des projets de protection des forêts en Inde et au Népal ; elle a animé des débats sur des sujets actuels proches de ceux de T2A. Elle veut aujourd'hui éveiller les consciences à la sauvegarde des océans et de leur biodiversité, autre poumon de la planète. Passionnée de voyages, elle sillonne début 2019 la Patagonie à pied, puis le reste de l'Amérique latine. Mathilde apportera à bord sa connaissance de la région et sa bonne volonté.

Fanette Germain pour le blogFanette Germain

Originaire de Bretagne, Fanette a grandi au contact de la nature. La lutte pour l'environnement est au centre de ses préoccupations depuis longtemps. Voyageuse invétérée, elle est adepte du vélo, et a traversé la France et la Suisse en pédalant pour rejoindre l'Italie. Elle aime aller à la rencontre des gens. Actuellement professeure de français, elle mettra ses compétences en matière de pédagogie et de rédaction au service de l'expédition, mais aussi ses talents de cuisinière végétarienne, et sa bonne humeur !

Mathias Taisne pour le blogMathias Taisne

Passionné par l’environnement et le milieu marin, Mathias possède un diplôme d’ingénieur dans l’agroécologie et veut participer à leur protection en passant à l’action. A 27 ans, ce sportif qui a découvert la voile aux Glénans est motivé par le projet T2A, dans lequel il voit « une aventure collective pour apprendre, se découvrir et surtout découvrir les autres ». il partagera ses connaissances scientifiques et sa joie de vivre sur le bateau.  Aventurier dans l’âme, c’est en voyageant en Amérique du Sud qu’il réalise les problèmes de pollution, les besoins de gestion des déchets et de sensibilisation. 

Emmeline Mingam pour le blogEmmeline Mingam

Bretonne, cette orthophoniste de 27 ans qui vit à Brest est passionnée par la mer et la voile depuis son enfance. Sensible à l’écologie et à l’environnement, Emmeline soutient T2A et apportera son aide en trouvant des nouveaux sponsors. « Emerveillée par la liberté que procure la voile sur l’eau », dotée de compétences en voile acquises dans le Golfe du Morbihan, elle aidera à la navigation autour des Amériques. Cette végétarienne qui aime cuisiner pourra également concocter des bons petits plats.  Kenavo ar wech all !

Victoria Gourong pour le blogVictoria Gourong

Victoria vient de l’île de Groix (Bretagne). A 17 ans elle part un an au Brésil réaliser plusieurs actions humanitaires. Respectueuse de la nature et de l’homme, elle voit T2A « comme une excellente occasion de sensibiliser les personnes au plus près, de favoriser la recherche de solutions et de vivre de beaux échanges culturels ». Ses études en tourisme, ses expériences professionnelles, sa maîtrise du portugais du Brésil, de l’anglais et de l’espagnol lui permettront d’aider T2A dans l’organisation de conférences, la recherche de sponsors et les interview des populations locales. Ses stages aux Glénans sont un « plus ».

Bastien Couvreux pour le blogBastien Couvreux

Plongeur expérimenté (niveau 3 CMAS), Bastien a plongé en eaux froides au début de l'hiver dans le Saint-Laurent. Moniteur de voile légère, titulaire du Bafa et d’une licence  en Administration Economie Sociale, Bastien est parti passer son Bachelor en Business Administration au Canada, avant de revenir en France faire une Licence Pro Animation Gestion et Organisation des Activités de Pleine Nature. Cycliste amateur de défis, il a récemment traversé l'Europe à vélo. Ce sportif habitué des voyages au long cours apportera son dynamisme, sa bonne humeur, ses compétences pour les plongées, la navigation et la recherche de sponsors.

Mathilde Pied pour le blogMathilde Pied
 
Diplômée de Neoma Business School en marketing touristique, Mathilde a pris conscience de l’urgence d’agir pour sauver la planète en découvrant la fonte des glaciers andins lors d’une traversée de l’Amérique Latine en sac à dos, la mort de la biodiversité dans l’étang de Thau en y pratiquant la voile et la mort des coraux philippins lors de plongées. Forte de nombreuses expériences professionnelles en vente, marketing et communication, trilingue français, anglais et espagnol, Mathilde apportera à T2A son aide sur le volet pédagogique et sa pratique de la navigation.

Clémence Wadoux sans canne à pêche pour le blogClémence Wadoux

Clémence (23 ans) connaît déjà les Canaries, les îles du Cap Vert, les Antilles et la Colombie où elle est allée depuis Caen sur un voilier de 12,5m. Issue de la Toulouse Business School, Clémence veut s’engager face à la situation écologique et aidera à trouver des sponsors en parallèle de son travail de chargée de développement dans une start-up de l’ESS. Elle participera à bord aux volets pédagogique et anthropologique de l’expédition, et à la rédaction des communiqués. Plongeuse, elle détient un niveau 1 PADI. Elle parle anglais et espagnol.

Michelle Trarbach pour le blogMichelle Trarbach

Architecte franco canadienne (26 ans), Michelle est l'auteur d’un mémoire sur l’architecture d’urgence (reconstruction après un tsunami). Pour elle, l’importance de l’architecture face aux contraintes du réchauffement climatique est considérable : hausse du niveau des océans, disparition de territoires, préservation des espaces littoraux, gestion des déchets de la construction, baisse des GES des bâtiments : « Aujourd’hui, il faut repenser nos villes et nos territoi-res ». Créative, passionnée par les voyages, Michelle maîtrise l'anglais et l'espagnol. Elle connaît le Mexique, l’Amérique centrale, les USA et le Quebec.

Louise branlard pour le blogLouise Branlard

Louise Branlard est étudiante au Danemark. Cette licenciée en Physique appliquée à l'Astrophysique et à la Météorologie y passe un master en Changement climatique : sciences naturelles et sociales combinées. Elle aime surfer, nager et randonner hors des sentiers battus. Peu faite pour la vie citadine, Louise a continuellement soif de voyage. Fascinée par ce qui fait les différences culturelles entre les hommes, et persuadée que l’échange fait de nous des êtres meilleurs, elle apportera son esprit critique, sa capacité d’écoute et son désir de justice sociale et environnementale.

Lisa Brugheat pour le blogLisa Brugheat

Bientôt diplômée d’école de commerce, Lisa Brugheat souhaite quitter la France pour partir sillonner l’Amérique du Sud tout en respectant ses idéaux écologiques. C’est en cherchant à rejoindre un voilier pour une transatlantique qu’elle découvre l’expédition Tour des deux Amériques. Elle apportera ses compétences en communication et en démarchage ainsi que toute sa bonne humeur sur le bateau. Directrice artistique dans une agence de communication, elle a voyagé en Indonésie et pratique le ski, le yoga et la randonnée. Elle aime les sports en pleine nature et rejoindra le Groupe plongée à bord de l'expédition.

Nicolas Gristi pour le blogNicolas Grist

Issu d'une filière Management du Sport, Nicolas Gristi (24 ans) a décidé de se lancer un défi : celui, à partir du 1er mai 2019, de voyager uniquement à l'aide de ses jambes et de son vélo enfin d’avoir le moins d'impact possible sur l'environnement. Soucieux des petites actions (ramasser des déchets, faire attention à ce qu'il mange et ce qu'il consomme comme énergie), ce lecteur d’Isabelle Hoareau (“Des îles à l'horizon”) possède le Bafa, et des bases de Yoga et de communication qu'il mettra en œuvre à bord. Ses études lui ont fourni des connaissances dans l'organisation événementielle et il aidera à l'organisation des conférences. 

Van den Bergue pour le blogFrançois van den Berghe

François van den Berghe (30 ans), est chef de projets photovoltaïque et éolien en France et à l’étranger. François est diplômé d’un master dans l’environnement et il a toujours été passionné par le développement durable et les voyages.  Des missions humanitaires (Madagascar dans le médical ; Haïti et le Laos avec Electriciens Sans Frontières), des voyages d’études (Afrique du Sud et Malte), une expatriation et de nombreux voyages à l’étranger l’ont habitué à évoluer dans un milieu multiculturel. Il est titulaire du niveau 1 de plongée FFESSM (il va passer bientôt le niveau 2) et d’un permis côtier.

Cloë Nicolas pour le blogCloë Nicolas

A 27 ans, originaire du pays basque, Cloë Nicolas est depuis toujours proche de la nature : escalade, surf, plongée (niveau 1 Padi), randonnées, etc. Après deux années de licence en science de l'information et de la communication, elle poursuit des  études en anthropologie, spécialisées sur les pédagogies alternatives, puis réalise de nombreux projets pédagogiques (associations, centres autogérés, colonies, stages d'éducation populaires, etc.).  Passionnée par les voyages et les rencontres,  elle parle français, espagnol (bilingue), anglais et comprend bien le portugais.

Lucille Picard pour le blog 2Lucille Picard 

Lucille Picard est passionnée par l’océan. Elle a étudié l’océanographie à Valence (Espagne) et vient de finir des études d’ingénieur en agronomie tropicale. A 23 ans, elle a déjà travaillé sur l'influence du réchauffement climatique sur le lac Titicaca (Pérou/Bolivie), et sur une étude d'impact pour Ifremer à Tahiti. Persuadéee que le changement se trouve dans les petites actions et les échanges interculturels, elle s’enrichit de chaque moment vécu lors de ses voyages en Amérique centrale, sur les routes andines, en Asie ou au milieu du Pacifique. Musicienne, elle apportera son dynamisme et sa joie de vivre à bord.

Julie Degas pour le blogJulie Degas 

Julie a 22 ans. Après un DUT Tech de Co, elle décroche un Bachelor Responsable opérationnel international (spécialisation humanitaire et développement) et devient major de sa promo à l'ESCD 3A de Lyon. Habituée par son père à la vie sur un bateau, elle a déjà voyagé au Népal, en Indonésie, au Mozambique, avec des objectifs solidaires ou de recherche scientifique. Julie a créé en 2017 l'association L'Abeille, qui s'occupe de trouver pour les étudiants des stages dans l'humanitaire. Elle parle portugais, espagnol, anglais et italien, adore les animaux et apportera avec elle sa guitare et ses chants. A bord, elle s'occupera de médiation et de recherche de fonds.

Yves Veron pour le blogYves Veron

Comme les grands malouins Yves Veron a deux passions : la voile et les voyages. Du dériveur aux croisières, il navigue depuis 2013 sur un catamaran de 60 pieds avec des personnes en souffrance. Après une carrière commerciale sur les cinq continents essentiellement axée sur la construction navale et les équipements de sécurité maritime, il est trilingue anglais-espagnol, rompu à la recherche de contacts. Aujourd’hui retraité, il voyage autrement : quatre mois au Pérou et Equateur dans les écoles des bidonvilles. D’un contact facile, enthousiaste, il garde la même envie de découverte et de partage.

Thomas Soulier pour le blog 1Thomas Soulier

Thomas sera diplômé en décembre d’un master à Toulouse Business School, puis travaillera à Londres dès mars 2020. Il souhaite mettre ce temps libre à profit pour servir une cause qui lui est chère : l’écologie. Ses voyages en voilier en Polynésie Française, en Sardaigne, en Croatie et en Corse lui ont fait réaliser l’importance d’une action rapide pour la planète. Ayant vécu à Londres et Milan, et fort de ses origines andalouses, Thomas parle l’espagnol, l'anglais et l’italien. Il sait naviguer, manipuler un drone, plonger, et est détenteur du PSC1 ; des compétences utiles pour l'expédition.

Philippe Larribaut pour le blogPhilippe Larribaut

Pyrénéen, adepte des courses en montagne, Philippe Larribaut est venu tardivement à la voile après avoir traversé l'Islande en VTT et la Laponie l'hiver en autonomie. En 2008, il part quatorze mois avec sa femme et ses deux enfants sur un voilier avec transat aller-retour. Musicien dans un groupe pop-rock, sa guitare n'est jamais loin. Cadre retraité de la SNCF, passé par la conduite puis spécialisé dans la sécurité ferroviaire, très sensible à l'écologie et conscient des échéances, il apportera au projet sa disponibilité rigoureuse, sa bonne humeur et son sens de l'organisation. 

Marine Jezequel pour le blogMarine Jezequel 

A 23 ans, Marine Jezequel vit en Australie. Issue de parents bretons, passionnée de nature, préoccupée par l’environnement et sa sauvegarde, elle conçoit son engagement dans la lutte active en faveur de la planète et du ‘’vivant’’. Monitrice d’équitation, elle connait la pédagogie, l’importance et le plaisir de la transmission des connaissances. Suite à un voyage en OZ elle est frappée par l’urgence à protéger les océans. Membre du MENSA France, elle offre sa créativité, ses qualités humaines et sa détermination pour s’investir dans une cause planétaire, et vitale. Elle détient un diplôme de premiers secours et a travailé dans la restauration.

Coralie Salaün pour le blog

Coralie Salaün

A 7 ans Coralie Salaün traverse l'Atlantique en famille et apprend à lire à bord du voilier Belle étoile. Aujourd’hui auteur-photographe, elle réalise des projets avec le soutien d’institutions, de galeries et de ministères et enseigne la photographie en milieu scolaire et pénitencier. En 2019, elle donne une conférence sur son travail en Chine, mobilise des photographes à travers le monde pour soutenir le mouvement des enfants qui réclament une justice climatique et arpente le Limpopo en sac à dos. Désireuse de mettre ses compétences au service d'une équipe et de la préservation des océans, elle rejoint l'expédition T2A et espère, avant le départ, passer son niveau 1 de plongée.

Hélène Gira pour le blogHélène Gira

Hélène, 27 ans, est licienciée en biologie et détient un master en ergonomie. Compétente en gestion de projet, elle souhaite s’engager dans le tour des deux Amériques afin de participer à l’enrichissement de la recherche scientifique et à la vulgarisation des données liées à la biodiversité marine et au réchauffement climatique. Son bagage universitaire lui donne une capacité à suivre rigoureusement des protocoles de recueil de données à visée scientifique ou  anthropologique. Son goût pour la nature et les voyages en font une équipière avide de découvrir des cultures, des environnements  et des personnes de différents horizons.

Laura Humbert pour le blogLaura Humbert

Laura est graphiste-webdesigner. Passionnée de nature et d’écologie, elle tient depuis 3 ans un blog qui parle de zéro déchet et de nouvelles façons de consommer. Après avoir arpenté l’Amé-rique du Sud en sac à dos, elle est tombée amoureuse de ce continent, et décide de s’engager activement pour la prévention du réchauffement climatique et des dégâts du plastique dans l’océan en rejoignant T2A. Curieuse, touche à tout, elle aidera à la communication, la gestion des ré-seaux sociaux et la création du site avant le départ et pendant l’expédition.

Karine Mahi pour le blogKarine Mahi

Ingénieur en informatique dans le Sud de la France, à 33 ans Karine Mahi décide qu’il est temps de réaliser une césure dans sa vie professionnelle pour défendre une cause qui lui tient à cœur. Habituée des grands espaces, elle pratique escalade et alpinisme, elle s’enthousiasme pour le projet T2A qui allie aventure au grand air et défense de l’environnement. Karine a découvert la voile en 2015 grâce à l’association des Glénans, depuis elle navigue régulièrement en Méditerranée et participe à des régates sur différents supports.

Laurane Boulenger pour le blogLaurane Boulenger 

Après des études de Philo (Paris et Monpellier),  Sciences Po à Bordeaux et le master recherche « Science politique et Sociologie comparatives » avec la National University of Singapore, cette bourlingueuse de 24 ans découvre T2A en lisant un  article et décide de rejoindre le projet, séduite par  la réunion des aspects scientifique et pédagogique et convaincue de l’urgence d’agir. Formée à la recherche en sociologie, Laurane Boulenger aidera au volet anthropologique de l'expédition et fera le lien avec les chercheurs et laboratoires intéressés par la démarche. Ayant déjà travaillé à la réalisation d'un court métrage et à l'écriture de scénarii, elle aidera à la réalisation des documentaires de T2A.

Marie Zio pour le blogMarie Zion

Diplômée d’un double master en biologie et océanographie, Marie poursuit sa passion pour l’océan en obtenant 2 niveaux de plongée (PA 20 et PE40) et 3 certifications de conservation marine sur la replantation des coraux Thaïlandais. Sauveteuse sur les plages landaises depuis 10 ans (titulaire du BNSSA), c’est aussi le secourisme, la cohésion d’équipe et l’adrénaline des interventions qui l’animent. Voyager, découvrir et informer les populations sur l’avenir de la planète est pour elle devenu une priorité. Son anglais est courant et elle détient le permis côtier.

Marion Martinez pour le blogMarion Martinez

Marion est dotée d'une énergie communicative, qui l'aide à embarquer son entourage professionnel et personnel dans ses projets. Toujours positive, profondément engagée, elle travaille depuis plusieurs années dans la RSE, et consacre beaucoup de son temps libre à la protection des océans, notamment avec l'association Sea Shepherd dont elle est bénévole depuis 2018. Conférencière, trois fois marathonienne, boxeuse depuis 2010, Marion est une battante qui se dépasse dans le sport, pour le climat, et pour les animaux. A bord, sa bonne humeur, sa débrouillardise et sa curiosité seront ses principales qualités.

Guillaume Chero pour le blogGuillaume Chero
 

Originaire de Bretagne, il a grandi au bord de la mer, et navigue sur des bateaux depuis toujours. Il a étudié l’océanographie lors de sa licence au Canada, puis la reproduction des baleines à bosses en Nouvelle-Calédonie lors de son master. Doctorant au sein d’un institut de recherche à Berlin (IZW), il s’intéresse aux effets du changement climatique sur les populations animales d’un point de vue théorique. Plongeur titulaire du niveau 3 Padi, et amateur de vidéo naturaliste, il partage depuis 2014 ses aventures en vidéos afin de faire découvrir la biodiversité à un large publique. 

Léo Béroud pour le blogLéo Béroud

Léo (20 ans) a décidé de suivre une école de montagne pour faire de cette passion son métier, et passe en parallèle un bac dans l'environnement. Lors de cette formation il se passionne pour l'écologie et réalise vite l'urgence à lutter contre le changement du climat. Pisteur-secouriste, grimpeur, il est habitué à la prise de décision en milieu naturel dangereux. En résonnance avec la montagne, il découvre la mer en Polynésie à bord du First 35 "Oula La", où il affrontera plusieurs situations de crise en tant qu'équipier second, lors d'une navigation totale de 4.000 milles.

Gauthier Heronneau pour le blogGauthier Heronneau

Diplômé d’un Master de Droit Maritime (CDMO de Nantes), Gauthier s’est ensuite dirigé vers sa passion première, le monde de la mer et de la voile, pour devenir Responsable technique d’une base de location de voiliers en Corse. Que ce soit à bord d’un 420 ou d’un catamaran de croisière, il est toujours prêt à hisser les voiles. Moniteur fédéral de plongée (MF1), moniteur pour les permis côtiers et hauturiers, à bord Gauthier pourra apporter ses connaissances techniques, pédagogiques et son énergie pour préserver l'environnement marin.

Rémy Gourhand pour le blogRémy Gourhand

Rémy a travaillé en 2015 et 2016 à l'association Tillandsia, sur l'apprentissage de la réalisation de documentaires à visée anthropologique. Plongeur, Rémy détient un diplôme Padi niveau 1. Grimpeur, alpiniste débutant, Rémy après un bac Sciences et technologies du management s'est orienté vers LEA (Bordeaux), puis une licence et un Master 1 en Anthropologie (Lyon 2). Il détient aussi un certificat d'Opérateur de parcours acrobatique en hauteur, ce qui en fera  le candidat désigné d'office aux travaux dans la mâture du bateau et au volet anthropologique de l'expédition.

Sophie Mami pour le blogSophie Mami

Sophie est passionnée par la mer, les voyages (New-York, Californie, Espagne, etc.) et les grands espaces. Elle détient un master en commerce international,  et se spécialise dans le Droit maritime, les transits, les formalités douanières et les services  à la grandeplaisance après un cursus à l'Institut national des transports internationaux et des ports. Elle possède le permis côtier. Sensible à l’environnement et à la biodiversité, elle a géré le ramassage des déchets sur la côtehyèroise. Sportive, curieuse et autodidacte elle apportera son aide dans divers domaines : photographie, contacts avec les populations, etc. 

Aurélien Maillot pour le blogAurélien Maillot 

Après un bac scientifique avec mention Très bien, Aurélien obtient un Master en Science et Technologies du vivant à L'Ecole polytechnique de Lausanne. Cet ingénieur biomédical qui travaille au développement de programmes d'intelligence artificielle œuvre aussi dans la médiation au Service de Promotion des Sciences de l'EPFL (publics de 8 à 14 ans). Plongeur N4 CMAS (longeur autonome jusqu’à 60m et guide de palanquée jusqu’à 40m), en 2019 il est auteur et co-auteur de plusieurs publications scientifiques dans des revues en langue anglaise.

Léo Marron pour le blogLéo Marron

Après un Master Pro Géosciences, Exploration et Risques à l’Université Joseph Fourier (UJF), Grenoble 1, précédé d'une licence STE (Sciences de la Terre et de l’Environnement) à l’UJF, Léo est devenu auto-entrepreneur dans l'évènementiel. A 27 ans, pilote de drone professionnel, diplômé de l'Aviation civile pour le pilotage de drone en prises de vue et inspections, il filmera la nature à bord de l'expédition. Ses compétences en vidéographie, montage, prise de son, musique, infographie et retouche photo seront utilisées à bord.

Antoine Van Oost pour le blogAntoine Van Oost

Antoine Van Oost est belge et a 21 ans. Il a voyagé par ses propres moyens pendant un an dans un van en Australie. Il a accompagné des scientifiques sur le terrain en Afrique du sud, spécialisés sur le grand requin blanc, et étudie actuellement la biologie marine à l’Université Laval au Canada. Il est Padi Diver Advanced, et a navigué dans les îles grecques et autour de la Corse. Antoine a joué un sport d’équipe à haut niveau et partage ses connaissances en entrainant des enfants. L’expédition compte sur ses connaissances du milieu marin, sa pédagogie et son énergie à trouver des sponsors.

Emma Schoepp pour le blogEmma Schoepp

Titulaire d'un DEA de Littérature comparée, cette agrégée de lettres modernes a enseigné en université et en lycée, en France et en Afrique. Parlant 7 langues dont l'anglais, l'espagnol, et le portugais, Emma est une plongeuse N4 qui pourra encadrer des palanquées en exploration et faire des initiations à la plongée. Skipper, elle possède deux petits bateau de 6 m et 7 m, et détient le Yachtmaster Coastal du RYA, la certification CFBS-STCW 95, et un diplôme de Chef de cuisine embarqué HAACP (prévention, hygiène, sécurité et premiers secours). Enjouée, le moral au beau fixe, à l’aise en mer par petit et gros temps, elle s’intégrera à l’équipe dès août 2020. 

Roman Delperier pour le blogRoman Delperier

Originaire de Bordeaux, Roman, après des études en information et communication s’oriente vers la musicologie, passe le Capes et l’enseigne en collèges et lycées. Sa connaissance du jeune public servira les conférences de T2A. Un premier voyage en volontariat pour la protection de l’environnement (avec American Conservation Experience) dans le grand canyon lui apprend le travail en équipe. Ses voyages en Europe du Nord, Asie et Australie confirment son envie de s’investir dans une cause environnementale, notamment concernant la survie des océans. Il connaît déjà les USA et le Canada.

Jean-Baptiste Crocquet pour le blogJean-Baptiste Crocquet

Jean-Baptiste étudie actuellement en master à l’ESSEC après trois ans de prépa littéraire. Depuis l'âge de dix ans il navigue dans les eaux marseillaises à bord du voilier familial, un Elan impression 35. Joueur de rugby énergique, il a visité la Toscane à vélo, la Bavière à pied ainsi que le Rajasthan. A vingt-et-un ans, il a décidé de mettre son énergie et son temps au service de la défense des océans. Ses qualités en matière de rédaction et de communication serviront l’expédition à se faire connaître davantage et à obtenir des fonds.

Arthur Lyonnet pour le blogArthur Lyonnet

Arthur est interne en médecine, en psychiatrie. Il profite de ses moments de temps libres pour naviguer : une transatlantique (2012), et plusieurs croisières en Bretagne, Ecosse, Irlande. Padi Niveau 1, il profite d'une année de disposition pour s'impliquer dans des projets en lien avec la mer : association de voilerie en Bretagne, passer un certificat matelot de pont et s'intéresser au fret à la voile et à l'expédition T2A. Il a pratiqué plusieurs activités en lien avec la nature : escalade, course à pied, et travaillé sur des chantiers participatifs.

David Thiaw pour le blogDavid Thiaw

A 19 ans, après un bac scientifique mention très bien, David Thiaw a intégré l’Ecole des Mines de Lille Douai. Il a déjà accompli plusieurs road trips, de la Croatie au Portugal, en passant par la Norvège, et à travaillé dans la gestion de projet dans le traitement de l'eau. Il est président et professeur de son association de danse rock, au sein de son école d'ingénieurs. Dans la vie de tous les jours, David est inspiré par la philosophie stoïcienne et recherche le bonheur au travers des rencontres. Il affectionne les réflexions relatives à la société, qu'il veut rendre plus juste et plus respectueuse de la nature. 

Gaspard de Pessemier photo pour le blogGaspard de Pessemier

Licencié en information et communication et étudiant en master 2 Marque et Management de l'Innovation, Gaspard détient également le Bafa et le diplôme PSC-1. Aimant voyager, il a passé un mois en Thaïlande, un mois aux Philippines et un mois au Brésil. C’est en Asie qu’il passe son Open water PADI et découvre son intérêt pour la plongée. A l’aise en Espagnol et en anglais, il aime échanger en langues étrangères. Organisateur d’évènements pour le loisir à Paris, il est habitué à préparer et réaliser des conférences et d'autres évènements. Il détient également une expérience dans le crowdfnding.

  1. Gaelle Canonne our le blog Capture d’écran 2020-03-20 à 17
Gaëlle Canonne

Gaëlle (25 ans) est Bretonne et Montpzllieraine. Ayant toujours vécu près de la côte, elle pratique le surf et planche à voile, et s'intéresse à la protection des océans. Après un master de Lettres elle s'oriente vers l’agriculture et l’éco-construction avec des volontariats associatifs au Pérou, Portugal et Palestine. Elle vit à Lille et travaille pour une association d’éducation et de sensibilisation au développement durable, migrations et égalité de genre. Ses voyages lui ont appris à s’adapter. Curieuse et engagée, elle milite en France pour plusieurs collectifs de protection de l’environnement
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Mathieu Jaillet pour le blog Capture d’écran 2020-03-20 à 17Mathieu Jaillet

Matthieu est professeur des écoles, à mi-temps annualisé, ce qui lui permet de prendre le temps de découvrir le monde (en voyageant notamment en auto-stop à travers le monde), de partager la vie courante et la culture de personnes très variées dans des lieu diversifiés, et également de s'investir dans certaines associations et bénévolats. De cette manière il a pu voyager dans vingt-cinq pays différents, intervenir et enseigner dans des écoles/collèges/lycées de différents pays (En Europe, Afrique et Asie) et aider pour d’autres tâches (dans les champs, créer une bibliothèque, etc.).

Guillaume Daudin pour le blogGuillaume Daudon 

Guillaume Daudon découvre la voile à l'âge de six ans sur un Optimist et obtient son diplôme de moniteur de voile légère dix ans plus tard. Il réalise des études d'ingénieur à l'INSA de Lyon où il se spécialise en mécanique des fluides puis travaille deux ans en laboratoire de recherche sur la protection contre le froid en milieux aquatique. Au cours d'un voyage à vélo d'un an à travers le continent eurasiatique, il découvre une passion pour la vidéo et la photo. Il mettra au service de l’équipe ses connaissances pour documenter l'expédition ainsi que ses compétences en matière de site web. 

Claude Lurmin pour le blogClaude Lurmin

Art thérapeute et psychothérapeute. Ses expériences de la navigation en tant qu’équipier en Méditerranée (Corse, Maroc, Croatie, Iles d'or et les côtes de Perpignan à Nice) et au Sénégal lui ont permis de vivre ce partage humain, solidaire et de constater la pollution maritime. Organisateur et animateur de stages  il a accompagné un grand nombre de personne (mer, montagne). Il est conférencier sur les thèmes de la vie. Il est parti plusieurs semaines marcher en solitaire en montagne, puis a relaté cette expérience dans un ouvrage intitulé « Enquête d'elle, en Quête d'Aile ».

Félix Jubard pour le blogFélix Jubard

Passionné par la nature, le surf et le ski, Félix a intégré en 2019 le mouvement Extinction Rebellion, et participé à Londres aux actions réclamant la justice climatique pour tous. Ce Breton a rejoint Paris pour préparer le bac dans un lycée autogéré. Il pratique le théâtre, a été aide-moniteur dans une colonie de vacances de sports d'hver, et a effectué un stage au Fablab du Ponant à Brest. Félix (18 ans en décembre) a déjà parcouru la Grande-Bretagne en stop et sans argent, et vécu un été dans une famille à Taïwan. Il parle anglais et va approfondir ses notions d'espagnol.

Morgane Breugnot pour le blogMorgane Breugnot

Morgane, 31 ans, installée à Sète, a voyagé dans plus de trente-cinq pays autour du monde. Elle est également passionnée de sports outdoor, de photographie et d’écriture. Elle enseigne en tant que monitrice de voile depuis deux ans en parallèle de son autre métier de cœur : chef de produits Voyages qu’elle exerce en freelance. Elle est également membre actif au sein de l’association « Cap au large », dédiée à la voile pour tous (handicapés moteurs, publics Jamo, etc.). Elle parle l’anglais couramment, a obtenu son niveau 1 plongée Padi lors d’un voyage en Afrique du Sud et à également son permis côtier. 

Frédéric Blanc pour le blogFrédéric Blanc

Skipper professionnel, détenteur du Yachtmaster Offshore, Frédéric est passionné par les sports de glisse aquatique et par l’informatique. Proche de la nature et des arts, ce père d’une petite fille qui vit en Australie a déjà visité de nombreux pays : USA, Canada, Antilles, Brésil, Maroc, Tunisie, Espagne, Portugal, Italie, Grêce, Autriche, Suisse, Indonésie, Japon, Vietnam, Australie, Tahiti. Il a à son actif plusieurs traversées transatlantiques via les Açores et les Canaries. Plongeur, il détient le niveau II Padi (Advanced). Vivant dans les Landes, il y a constaté l’importance du changement climatique, de la montée des eaux et le recul des dunes de sable.

Chloé Carfagno pour le blogChloé Carfagno

Diplômée d’une licence en Gestion hôtelière obtenue à la Taylor's University de Kuala Lumpur, Chloé Carfagno parle anglais et espagnol. Ayant grandi à Toulon au bord de la Méditerranée, elle pratique la plongée au niveau Advanced Padi et détient le permis côtier. Passionnée de voyage, elle a visité le Japon, le Costa Rica, la Colombie, etc. En 2019, elle a entrepris un tour de l’Asie du Sud-Est en solitaire. Férue de cuisine, passionnée par le futur des océans, elle a travaillé à la gestion et mise à jour des réseaux sociaux du groupe Accor à Cuba, et comme Superviseur en hébergement pour DoubleTree by Hilton à Montréal.

Benjamin Grosjean pour le blogBenjamin Grosjean

Titulaire d’un master Biodiversité, écologie, évolution, parcours environnement-droit de l’Observatoire des sciences de l'Univers, UR1 Rennes, ce professeur d’histoire-géographie détient également une licence en Anthropologie, ethnologie et une licence en  Géographie, aménagement, environnement délivrées par l’Université Toulouse 2, ainsi qu’une licence en Droit et Science politique de l’Université Toulouse 1. Plongeur, il détient la double certification Padi et FFESSM niveau 2 et a déjà effectué plusieurs grands voyages en voilier

Maxime Derbois pour le blogMaxime Derbois

Maxime est ingénieur en informatique issu de l'INSA de Toulouse. Rugbyman depuis petit, il pratique la plongée (Padi niveau 1), la voile, le parapente, la randonnée et le vélo. Maxime vit en Suisse depuis 2014 ; passionné par la nature, il s'engage récemment pour l'environnement dans l’association militante Extinction Rebellion. Passionné par les voyages, il connaît déjà le Canada, les Etats-Unis, la Suède, la Corée du Sud, la Nouvelle-Zélande et la Turquie. Ses études l'ont amené à travailler avec le Royal Institute of Technology de Stockholm et avec l'université d'Auckland.

Antoine Molin pour le blogAntoine Molin
 
Amoureux des grands espaces, Antoine Molin étudie actuellement la médiation et les pratiques sociologiques dans le cadre d'un DEUST Médiation citoyenne : Environnement, Culture, Education à la Faculté des Sciences sociales de Strasbourg. Après quelques excursions, bivouacs et un voyage de deux mois en Asie pour étudier la relation des ethnies minoritaires avec la nature, Antoine découvre T2A et décide de se joindre au projet. Parlant anglais et espagnol, il apportera son aide au volet anthropologique de l'expédition.

Julie Leclerc pour le blogJulie Leclerc

A 19 ans, Julie Leclerc est en licence d’anthropologie, et ses compétences seront utiles au volet anthropologique de l’expédition. Elle a l’habitude des voyages, et a visitéde nombreux pays européens (Espagne, Italie, Allemagne, Portugal, République Tchèque) et Asie (Thaïlande, Laos). Parlant anglais, Julie apprend actuellement l’arabe et s’apprête à découvrir l’espagnol. Sportive, elle a déjà travaillé pour une association humanitaire à Toulouse.

Quentin Suzanne pour le blogQuentin Suzanne 

Quentin possède une licence de scienes de la vie parcours écosystèmes marins. Passionné par la mer et les organismes qui y vivent, il pratique la voile en régate et a pu participer au championnat de France universitaire sur des J80 en tant que numéro 1. Il possède un niveau 2 de plongée (FFESSM). Il a voyagé dans de nombreux pays comme les États-Unis le Maroc ou encore au Myanmar. Il ambitionne de devenir biologiste marin pour se spécialiser dans l’écologie trophique des prédateurs marins et plus particulièrement les requins.

Lilia Gilliet pour le blogLilia Guillet

Lilia Guillet est étudiante en sciences halieutiques à Agro Campus Ouest (formation d'ingénieurs agronomes) et poursuivra sa formation par un doctorat en biologie marine. Nageuse depuis l’enfance, elle pratique la plongée (open water Padi) depuis un voyage en solitaire à Madagascar, le volley, la photographie et est férue de cuisine. Elle profitera de son année de césure pour s’investir avec l'expédition T2A dans la protection des milieux marins. Parlant anglais et espagnol, elle fera partie à bord du groupe plongée ; à terre, elle contribuera essentiellement à la recherche de sponsors.

Julie Tressel pour le blogJulie Tressel 

Après une préparation militaire marine, Julie Tressel obtient un bachelor Coordinateur en environnement à UniLaSalle (-EME) et poursuit actuellement en master Géographie, aménagement, environnement et développement à l’université d’Orléans. Elle a travaillé dans la gestion des déchets et la lutte contre le gaspillage alimentaire ainsi que dans la coordination et l'animation d'évènements climatiques à Rennes. Durant quelques mois, elle a participé au développement d’activités agricoles écologiques et éducatives au Pérou. Présidente de l’Association des masters de géographie d’Orléans, elle a voyagé en Europe, au Maghreb, en Asie ; elle maîtrise l’anglais et l’espagnol.

André Ariotti pour le blogAndré Ariotti

Cadre de l'action publique sociale en retraite, titulaire d'un master 2, IEP Grenoble, André a managé des services associatifs, de collectvités territoriales, accompagné des décideurs publics. Il a assuré des fonctions de pilotage, d’animation, d'insertion (RSA), participant à celles de solidarité (Burkina Faso, Pérou) et d’interculturalité (rencontres, débats, musiques). Formateur pour des fonctionnaires territoriaux et membre de jury. André a visité plusieurs pays, Europe, Amérique latine (Mexique, Argentine, Pérou), Canada, Maroc. Il parle anglais, espagnol et pratique la randonnée et la natation.

Anne Bérêts pour le blogAnne Bérêts

Anne est une documentariste de 30 ans. Intéressée par l’interconnexion entre politiques et environnement, elle a fait des études dans ce domaine avant de se spécialiser dans le cinéma documentaire. Son premier court-métrage, « A voix d’eau », traite de la question de la qualité de l’eau en Amazonie. Formée en éducation populaire, Anne anime également des ateliers ayant pour but de réfléchir collectivement à des questions qui traversent notresociété. Passionnée par la voile depuis plusieurs années, elle navigue régulièrement sur les eaux de la Méditerranée.

Pierre Garrivier pour le blogPierre Garrivier

A 25 ans, Pierre est ingénieur ENSTIB. Il a réalisé sa formation en apprentissage au sein d'un bureau d'études structures bois. Son diplôme en poche, il décide de parcourir l'Europe à vélo. Au cours de ce voyage, il participe à deux croisières d’entraînement le long des côtes croates avec Philippe Bensimon. Dynamique et manuel, il a montré sa capacité à s’adapter à toutes les situations. Pierre souhaite s'engager de façon concrète pour l'environnement, rejoindre l'expédition a été une évidence pour lui. Au sein de T2A, il apportera une aide globale (navigation, logistique, etc.) ainsi que son expertise sur la construction durable.

Yves Nelien pour le blogYves Nelien

Passionné par le concept d’imagination, Yves, 28 ans, en a fait la ressource clé de l’entreprise qu’il a fondée il y a 6 ans ainsi que l’objet de ses voyages à travers l’Eurasie (de la Sibérie à l’Inde en passant par le Vietnam). Selon lui, l’imagination est un puissant levier autant pour appréhender les réalités que pour transmettre du savoir ou des messages. Aujourd’hui écrivain de contes éducatifs pour enfants, Yves apportera à T2A sa capacité d’encoder le savoir scientifique et les cultures dans des histoires ludiques qui questionnent la condition de l’espèce humaine face au défi du réchauffement climatique.

Léa Ovet pour le blog 2Léa Ovet

Léa Ovet découvre T2A en naviguant à leurs côtés pendant une semaine en Croatie et au Monténégro. A 23 ans, elle est bientôt diplômée par la grande école d’ingénieurs agronomes AgroParisTech dans laquelle elle s’est spécialisée dans l’environnement. Elle a fait un Erasmus à Cordoue et parle couramment espagnol et anglais. Léa dédie son année de césure à la lutte contre le réchauffement climatique en étant à la tête de l'association Clim'adapt qui parcourt le bassin méditerranéen sans avion et en sensibilisant enfants et adultes via des ateliers fresque du climat.

Victor Hamelin pour le blogVictor Hamelin

Breton d’origine et Rochelais d’adoption, Victor Hamelin pratique la voile légère depuis son enfance. A 18 ans, il débute une double licence géographie-histoire à l'université de La Rochelle, qui lui permet d’enrichir ses connaissances sur les questions climatiques. Pédagogue, il a déjà formé des jeunes de sept à douze ans en Irlande en tant qu’éducateur dans des stages d’éducation marine. Victor parle couramment anglais et maîtrise correctement l'espagno. Sportif, il pratique le BMX en compétition.

Salvatore Iannello pour le blogSalvatore Iannello

Issu de la Business school de l’université de Liège, Salvatore Iannello devient consultant indépendant puis propriétaire et PDG des produits Galler. Il a principalement été actif dans le secteur alimentaire et plus précisément dans le chocolat. Aujourd’hui, il développe une entreprise de 170 personnes à raison d’être, respectueuse de l’homme et de la planète. En 2020 le jury du concours « Corporate Social Responsability Professional of the year » a nominé Salvatore Iannello, CEO de la chocolaterie Galler, parmi les trois finalistes francophones. Dans une autre vie, Salvatore (53 ans) a été skipper au long cours sur le voilier Alexeo II (Beneteau 62, 2012-2017). 

Léonard Ianello pour le blogLéonard Iannello 

Après avoir fait le MSc International Business et l’école de commerce de l’université de Maastricht (Pays-Bas) et passé un an à l’université de Brighton (UK), Léonard Iannello (27 ans) a consacré six mois à parcourir l’Amérique du Sud, entre la Patagonie et Carthagène (Colombie). Revenu en Europe, il s’est investi dans le mode de l’entreprise et a lancé avec des amis Soles Mundi, une société de type coopératif dans le domaine de la science et de la biologie humaine dont il est aujourd’hui fondateur et CEO. Marin depuis l’enfance, guitariste, il a l’ambition de devenir à son niveau un acteur du changement dans un monde en transition.

Luca Sammartino pour le blogLuca Sammartino

Luca Sammartino est un jeune homme de 26 ans. Diplômé en chimie appliquée de l’Institut de Technologie de Liège (Belgique), Luca Sammartino est aujourd’hui gérant – responsable production et R&D de Soles Mundi à Fleurus, une société de type coopératif dans le domaine de la science de la biologie humaine qu’il a fondée avec des amis.

 

Evelyse Syne pour le BlogEvelyse Syne

Munie d’un master en marketing & intelligence stratégique à HEC (Liège, Belgique) et un diplôme de comptabilité-gestion, Evelyse Syne (29 ans) collabore aujourd’hui au développement de la Chocolaterie indépendante, une entreprise basée à Liège qui se veut respectueuse de l’humain et de la planète dans le domaine du chocolat. En dehors de son travail, ses passions sont l’écriture et les voyages.

François Duchesnes pour le blogFrançois Duchesnes

Bio-Ingénieur en Sciences et Technologies de l’Environnement, François Duchesnes (26 ans) travaille actuellement pour une exploitation apicole. Après un mémoire sur l’étude des contaminations des sols (Gemloux Agro-BioTech, Belgique), il étudie au Cambodge l’utilisation des drones dans le management des schémas d’irrigation, puis fait un stage au sein de SOS Faim (ONG, Bruxelles), Il a travaillé en 2019-2020 comme analyste GIS chez Optagri. Il a également suivi des formations en coopération au développement et en cartographie des sols. En parallèle, il retape un petit voilier de 29 pieds. Il détient le permis hauturier belge et le short range certificate.

Gilles Daniel pour le blogGilles Daniel

Après avoir réalisé plus de 1.000 plongées dans les fonds marins français, de la Mer Rouge, des Caraïbes et de l’océan Indien, Gilles Daniel est devenu moniteur de plongée CMAS 2** et formateur Nitrox. Ce breton de 57 ans a formé des centaines de plongeurs niveaux 1 à 4**** CMAS, Nitrox et moniteur CMAS 1*.  En 2013, il co-fonde le club associatif de plongée de Savenay ou il organise une vingtaine de séjours plongée pour ses adhérents en Méditerranée et en Bretagne. Sur terre il parcourt avec son sac à dos l’Inde, l’Indonésie et la Turquie, et se rend à son travail à vélo, parcourant chaque jour plus de 40 km.

Clément Chevreau pour le blogClément Chevreau

Ingénieur de formation (SIGMA-Clermont - Ex IFMA, institut associé Mines Télécom), Clément Chevreau a travaillé deux ans sur de la gestion de projet pour Altran s/c Airbus Toulouse. Amoureux des grands espaces, il a passé beaucoup de temps en montagne. Aujourd'hui, il est en formation en Espagne pour devenir guide de montagne. Sportif (il a été joueur et coach à Chemillé BasketBall), il souhaite connaitre le monde marin pour son futur métier de sensibilisation aux espaces naturels. Il consacrera son année 2021 à la navigation à la voile et à la plongée. Il dispose d'une formation SST de secourisme et parle anglais et espagnol.

Christine pour le blogChristine Marpot

Nageuse depuis son enfance, Christine découvre la voile en optimist et en 420. Diplômée en Education physique et sportive (EPS), elle a enseigné la natation, participé à l'encadrement d'un camp de voile, et récemment traversé la Méditerranée sur un petit monocoque. Elle pratique le dessin, manie les outils et apprend le piano. Parallèlement, elle voyage au Brésil et en Argentine, puis durant un an parcourt l'Inde, la Thaïlande, la Malaisie, l'Indonésie, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle-Calédonie, Tahiti et l'ouest des Etats-Unis. Aujourd'hui professeur des écoles, elle participera aux volets pédagogique et artistique de T2A.

Maria-del-Mar Sarmiento pour le blogMaria-del-Mar Sarmiento 

Archéologue franco-colombienne, spécialiste de l’Amérique Latine et l’art mégalithique, Maria-del-Mar Sarmiento a été rattachée aux laboratoires Archam et Lara. Elle a également travaillé en laboratoire en archéozoologie, dans le but d’identifier et référencer un corpus d’espèces à travers leurs ossements. Elle a ensuite intégré l’unité Lac (Unesco), et ainsi contribué à la préservation de biens culturels et naturels. Son temps libre est partagé entre diverses activités, allant de l’escalade à la broderie, et sa passion pour le thé.

Marion Guemas pour le blog Capture d’écran 2021-08-29 à 16Marion Guemas

29 ans, Bretonne d'origine, Marion Guemas est diplomée d'un master sociologie du web. Elle commence cette année une formation qui relie la psychologie et au design (UX design). Elle a voyagé dans une trentaine de pays. Ses hobbies sont la photographie et la découverte de nouvelles cultures. Webdesigner et graphiste de métier, elle travaille aujourd'hui dans une entreprise écologique spécialisée dans la gestion forestière, et est également free-lance à ses heures perdues. Novice dans l'univers de la mer et de la voile, elle participe en tant qu'équipière à un convoyage des Sables d'Olonnes à Bodrum en juillet 2020 et une transatlantique Corse-Martinique en octobre 2020.

Gloria Spighi pour le blogGloria Spighi

Gloria Spighi est d'origine italienne. Elle a un master en chimie et aujourd'hui elle crée et fabrique des bijoux à la main à Paris. Elle a commencé sa formation à Rome, à l'Accademia delle arti orafe, et après obtenu le CAP bijouterie-joaillerie à Paris. Bilingue français et italien, elle parle aussi un peu d’anglais. Une croisière autour de la Bretagne lui a permis de reprendre son apprentissage de la voile, commencé dans son petit village au bord de la mer en Toscane, et interrompu à son départ pour Paris.

Christine Delord pour le blogChristine Delord

Ingénieur en mécanique et énergétique de formation, Christine Delord travaille au développement des énergies renouvelables. Entre développement de projets éoliens, recherches et enseignement en solaire thermique, elle a passé dix ans dans ce domaine. Elle a contribué pendant deux ans au développement d’une filière de l’économie circulaire pour valoriser les skis, déchet emblématique des Alpes. Aujourd’hui, elle s’oriente vers une reconversion en matelot dans l’idée de faire le lien entre la transition énergétique et sociétale et le métier de marin.

Estelle Fillaud pour le blogEstelle Fillaud

Ses six ans d'études tournent autour du droit des réfugiés et des migrants, du droit des femmes et des enfants, de l'éthique notamment animale, de l'éthologie et de la transition écologique. En paralléle, elle étudie dix mois à Vilnius en Lituanie côtoyant de nombreuses nationalités. Elle travaille également huit mois à New Delhi (Inde) pour les associations locales Swechha et Edible Routes. Elle part ensuite vers les Gorges du Verdon et devient bergère. Après une transat en voilier, elle sera dès 2022 en Amérique latine, où elle va continuer à apprendre de nouvelles cultures et découvrir des systèmes agricoles résilients via le woofing.

Marianne Ranson pour le blogMarianne Ranson

Après une licence de philosophie et un master de géographie développement durable, Marianne souhaite agir concrètement pour l’environnement avec l’expédition T2A. Marianne parle anglais, en 2019 elle part 2 mois à travers le Royaume-Uni en woofing. En 2021, elle effectue un stage de 6 mois sur le thème de la cohabitation entre l’humain et le sauvage dans trois communes françaises. Elle pense qu’avec une vision moins anthropocentrée l’humain serait capable de vivre en harmonie avec la nature et pourrait jouer un rôle primordial dans sa protection. Elle se passionne pour le sport et le théâtre.

Kevin Dupont pour le blog 2Kevin Dupont

Sportif, Kevin Dupont a descendu les gorges de l’Ardèche à la nage, puis le Rhône en canoë de Lyon jusqu’à la mer. Il a son niveau 2 de plongée et pratique l’escalade, la slackline, l’apnée et la voile. Après un bac pro en Maurienne et un IUT à Grenoble, il termine un diplôme d’ingénieur à l’INSA de Lyon. Dans le même temps, grâce à un accord de double diplôme avec polytechnique Montréal, Kevin est parti au Canada pour obtenir une maîtrise. Il a déjà effectué un convoyage de voilier du sud Morbihan jusqu’aux Îles Baléares, et profité de ses vacances pour aller en stop visiter les fjords de Norvège.

Thomas Grisard pour le blogThomas Grisard

Belge, 26 ans, il voyage dès l'enfance. Doté d'un bâchelier en psychologie (université de Liège, bac+3), il s’investit en recherche en neurosciences parallèlement à sa vocation : la charpente/couverture. En 2014, il fait sa première traversée en voilier en Méditerranée et réalise son premier grand voyage solidaire au Nicaragua, où il travaille la terre. En 2018, il apprend l'espagnol lors d'un Erasmus à Grenade. En 2020 il part en France sur des chantiers participatifs où il découvre l’éco-construction. Habitué à cuisiner, il est capable de naviguer, travailler en équipe et analyser des données.

Laura Châteauneuf pour le blogLaura Châteauneuf

Après 5 ans à Sciences Po Lyon, Laura Châteauneuf travaille 3 ans pour une coopérative de l’alimentation durable tout en étant bénévole dans des associations environnementales. Attirée par le monde de la mer, elle travaille quelques mois pour une compagnie de théâtre canadienne qui crée des spectacles à fort message environnemental et dont la scène est un grand voilier. Elle apportera à l'expédition son expérience de la gestion de projet, de l'organisation événementielle, et l'animation, et aussi de la communication et de la recherche de fonds.

Matthieu Taymans pour le bIogMatthieu Taymans

Matthieu Taymans (Scientific Programm Officer at Royal Belgian Institute of Natural Sciences) est environnementaliste et ingénieur, spécialisé dans la modélisation et la télédétection des écosystèmes terrestres et côtiers. Il étudie les systèmes naturels et leur dynamique spatio-temporelle, en combinant des données de terrain et des images satellitaires, optique ou radar, à différentes résolutions spatiales, temporelles et spectrales. Il contribue à travers les outils qu’il développe à renforcer la résilience et à améliorer la gestion de différents systèmes tels que la Grande Barrière de Corail, les pêcheries béninoises ou l’agriculture africaine et européenne.

Amandine Bourdry pour le blogAmandine Bourdry 

Amandine, 26 ans, chef de projet événementiel, passionnée de sport outdoor (elle a travaillé en tant que bénévole à l'organisation de trails et de marathons) et de voyage. Elle connaît l'Australie et a visité avec son sac à dos la Thaïlande, le Népal et l'Inde. C’est là qu’elle a pris conscience des disparités en terme d’éducation au réchauffement climatique et surtout du manque de prise de conscience des populations. Après un Bachelor Chef de projet évènementiel à L'Isefac (Lyon, 2017) et quelques années d'expérience du métier, Amandine vit aujourd’hui au Canada.

Emilie€Baldassare pour( le blogEmilie Baldassarre 

Emilie (26 ans) est une kinésithérapeuthe belge. Après avoir obtenu son diplôme, elle part backpacker au Vietnam et au Laos en solitaire avant de s’installer en Australie pendant deux ans, où elle vit aux quatre coins de ce pays. Elle y découvre le besoin d’avoir un impact écologique plus important que les seules actions personnelles et y passe ses deux premiers niveaux de plongée sur la Grande barrière de corail. Elle pratique la randonnée en montagne, la plongée, nage depuis son enfance, parle anglais couramment et se débrouille en espagnol.

ania Buijtenhuijs pour le blogTania Buijtenhuijs

Née près d’Arcachon, Tania (20 ans) réalise en 2019 des projets européens Erasmus+ (Madrid,Tenerife) basés sur le gaspillage alimentaire et l’environnement. Elle part en bateau avec la LPO pour observer les baleines et les dauphins, obtient le bac espagnol au lycée international François Magendie à Bordeaux, yacquiert le goût de la culture et des langues sud-américaines, et poursuit à l’université de La Sorbonne. Elle va ensuite seule en Indonésie, Maroc, Russie, et en Australie où elle passe en ce moment ses niveaux Padi 1 et 2. Passionnée de photographie (2021, stage en galerie d'art), elle parle espagnol (C1), anglais et russe (langue maternelle).

Nathan Masnada pour le blogNathan Masnada

Nathan, 23 ans, grandit dans les Alpes françaises où il apprend à pratiquer l’escalade, le ski de randonnée, le parapente et l’alpinisme. Il réalise des études d’ingénieur à l’école Polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse), et se spécialise dans le management des énergies et la transition énergétique. Il souhaite plus tard travailler pour développer des solutions énergétiques plus respectueuses de l’environnement. Il parle couramment anglais et maîtrise l’espagnol suite à une année d’étude effectuée à Madrid.

Alice Renault pour le BlogAlice Renault

Dès le plus jeune âge, Alice parcourt le désert marocain, navigue en Méditerranée, visite le Japon. Elle partira plus tard traverser le Chili et Madagascar en sac à dos. Tous ces voyages lui ont permis de développer son anglais et son espagnol. Kinésithérapeute spécialisée dans le sport, elle a soigné des sportifs de tous horizons : coureurs, boxeurs, skippers, rugbymen internationaux, etc. Lors de ses études, elle organise le congrès des étudiants en kinésithérapie et porte la parole des étudiants toulousains. Aujourd'hui, au sein de son quartier, elle s’investit dans la réduction des déchets.

Marc Savel pour le blogMarc Savel

Ingénieur Supaéro et docteur en mathématiques appliquées, Mars Savel est spécialisé en automatique et en simulation numérique. En quête d’un métier riche de sens et de relations humaines, il se tourne rapidement vers l’enseignement. Ayant grandi sur les côtes normandes, Marc se passiuonne pour la mer et est rapidement sensiilisé aux problèmes de surpêche et de pollution des océans. Au sein de l’expédition, il prendra part à la communication.

Alexis Boisselet pour le blogAlexis Boisselet

Alexis Boisselet a vécu 9 mois au Mexique à l'âge de 19 ans. A 21 ans, il effectue un stage de cartographie des risques pour le Canal du Panama. Il voyage ensuite un an en stop et en bateau, du Mexique à l’Argentine. A 23 ans, il devient ingénieur géologue (UniLasalle, Beauvais) et obtient un master en Energies renouvelables (Barcelone). A 24 ans, il est cofondateur de l’association environnementale des Vents de la Récolte. Un an plus tard il parcourt avec son chien 9.000 km de la France à la Turquie, en vélo et à cheval, en s’arrêtant pour développer des projets d’agriculture raisonnée. Plongeur de niveau 2, il parle couramment anglais et espagnol, et possède un niveau intermédiaire en portugais.

Richard Parpaillon pour le blogRichard Parpaillon

Richard Parpaillon, ingénieur de 27 ans, quitte son travail dans les énergies renouvelables pour rejoindre l’expédition T2A. Il a déjà vécu en Bolivie et au Cambodge, est habitué aux milieux naturels (randonnées itinérantes, pratique de l’escalade, du parapente et du surf) et s’est engagé avec notamment Alternatiba, le Lowtech-Lab ou l’entreprise Soge. Animateur BAFA, habitué à discuter avec des élus et administrations et parlant anglais et espagnol, il apportera son expérience en médiation, tout comme sa passion de la photo et sa connaissance de l’énergie solaire.

Marine Le Coustomer pour le blogMarine Le Coustomer

À 21 ans, Marine Le Coustumer est en double-master droits humains (Université Paris Nanterre) et sociologie de la santé (EHESS). Passionnée par les dynamiques socio-politiques en Amérique latine et militante pour la santé et les droits sexuels et reproductifs, elle joue aussi du piano et a pour objectif de nager dans tous les océans (bretonne oblige). Bientôt détentrice de son permis bateau côtier, elle parle couramment anglais, espagnol et italien. Elle connaît déjà le Canal Beagle (ci-dessus) et a pu voir le Fitz Roy.

 

Térence Coqueret pouyr le blogTérence Coqueret

Térence (20 ans) est détenteur d'une licence de biologie mention comportement animal, plongeur Padi niveau 2 (Advanced open water diver, plongée à 30 m autorisée, plongées en Thaïlande, Mexique (cave et insulaire), Célèbes, Mer Rouge) et un adepte de la navigation à la voile légère depuis ses huit ans. Formé aux Glénans à la navigation sur quillard, se destinant à une carrière dans la marine marchande et ancien président d'association étudiante, il a voyagé trois fois en Asie, deux fois sur le continent américain, et a visité le sud de l'Europe. Ancien membre d'une association étudiante à but dépolluant, il parle anglais couramment (970/990 au TOEIC).

Ophélie Kresay-Lamousse pour le blogOphélie Kresay-Lamousse

Ophélie Kresay-Lamousse possède un BTS Design d'espace et un Bachelor Stylisme modélisme obtenu à la Haute école Fransisco Ferrer de Bruxelles. Après six mois comme assistante de création pour une marque éco-responsable, Ophélie travaille dans l’économie circulaire, puis est animatrice et éducatrice auprès d’enfants et adolescents. Elle passe ses vacances en montagne à retaper une maison d’alpage. Elle occupe son temps libre entre activités sportives, couture up-cycling et dessins de ce qui l’entoure. Elle parle anglais. Son expérience de community manager pour La Réserve des arts lui permettra de rempir cette fonction dans l'ONG T2A (réseaux sociaux, news letter).

Emikie Morin pour le blog1Emilie Morin

Emilie Morin est ingénieur en BTP. A 26 ans, elle a travaillé comme conductrice de travaux en rénovation, et comme animatrice auprès d’enfants. Elle parle couramment anglais (950 – TOEIC) et espagnol (C1 – DELE). Elle a étudié à l'Universidad Federica Técnica Santa Maria au Chili lors d’un échange universitaire. Elle a ensuite traversé l’Amérique du Sud jusqu'à l'Équateur en s’impliquant dans des associations locales de sensibilisation à l’environnement comme Ecodunas à Huacachina au Pérou. Originaire du Jura, elle a aussi parcouru l’Europe, du Portugal à la Finlande.

Idir Oudelha pour le blogIdir Oudelha

Diplômé d’une licence Économie-Gestion parcours Affaires internationales, Idir Oudelha, Marseillais de 25 ans, est bilingue anglais et espagnol. Après un voyage en solitaire en Australie, il a effectué un volontariat de sept mois à Athènes auprès de réfugiés. Fasciné par les modes de vie en autonomie, il se passionne pour la permaculture. Cet adepte des sports de glisse (ski, snowboard, wakeboard) pratique aussi la photo portrait et nature. Il prépare un projet de documentaire photo-audio qu’il pourra expérimenter lors d’un prochain voyage en Amérique Latine avant d'embarquer à bord de l’expédition T2A.

Léa Bouchu pour le blogLéa Bouchu

Passionnée par la biodiversité et bénévole au WWF France depuis plus de 3 ans, Léa met en place et anime des ateliers de sensibilisation à destination du grand public. Elle participe aussi à des chantiers ou à des médiations sur le terrain (Programme Entre Chien et Loup – WWF). En parallèle, elle a souhaité s’engager sur la lutte contre le dérèglement climatique, en dispensant un atelier inspiré des rapports du GIEC ou en participant à l’organisation de mobilisations citoyennes avec Alternatiba. Elle parle couramment anglais après des études à Grenoble EM.

Okivier Hullot pour le blogOlivier Hullot

Actuellement en doctorat sur la réhabilitation des sols agricoles contaminés à travers une approche d’agroécologie, Olivier Hullot a acquis pendant son parcours universitaire de solides connaissances sur les enjeux environnementaux et leurs impacts sur la biodiversité continentale et marine. A travers ses engagements associatifs, il est impliqué dans de nombreux projets autour de la biodiversité, notamment en ville. Il souhaite aujourd’hui s’engager pleinement dans la préservation des milieux naturels et la lutte contre le dérèglement climatique.

Hugo Lépine pour le blogHugo Lépine

A 21 ans, Hugo Lépine est pâtissier/chocolatier/glacier/confiseur. En 2021, il obtient en étant major de promotion, son Brevet Technique des Métiers au sein de l’association ouvrière LES COMPAGNONS DU DEVOIR. Voulant découvrir le monde, il met entre parenthèses sa carrière pour voyager au Canada puis traverse la France et le Royaume-Uni à vélo où il constate les effets du dérèglement climatique. Sensible à cela, il souhaite contribuer à la protection du vivant en prenant part à l'expédition. Il parle couramment l’anglais.

Morgane Desplat pour le blog Capture d’écran 2023-09-25 à 17Morgane Desplat

Ingénieur écologue naturaliste, spécialisée dans l'Ingénierie Écologique et la Gestion de la Biodiversité (IEGB) Morgane Desplat aime se baigner dans les trous de la banquise hivernale du Québec, escalader les grands arbres de la canopé de la forêt du Congo et parcourir 3.000 km en stop lors d'un été dans le BC Canadien. Elle a travaillé pour l'association Terre Marine, Andromède Océanologie, le Centre d'écologie fonctionelle et évolutive de Montpellier (CNRS), la Station de baguage de Forillon (Québec), et le Laboratoire informatique robotique et microélectronique de Montpellier (LIRMM). Elle détient un niveau 2 de plongée et le permis côtier français.

Laurette Vourgère pour le blogLaurette Vourgère

Photographe spécialisée dans les moments de vie, poétesse, après des études de géographie, Laurette Vourgère obtient en 2016 un diplôme d'Animateur en tourisme local. Elle tra- vaille ensuite dans l'hôtellerie, le téléconseil (en France et à l'étran- ger) puis devient assistante d'éducation. Elle a passé deux ans au URoyaume-Uni, et quatre mois en Andalousie. Ses centres d'intérêt tournent autour de l'économie et des sociétés.

Ugo Demay pour le blogUgo Demay

Ugo Demay, 29 ans vit à Paris. Après l’ébénisterie, il est designer chez Essilor suite à un master Design. Il a créé le projet « Voyage aveugle » avec lequel il est parti dans le désert avec des aveugles. Il a voyagé en Turquie, Kenya, Tanzanie, Panama, et 1 an en Italie, Croatie et Grèce en camping-car. Il a travaillé 4 mois à Zagreb pour le collectif de designers Oaza. Il pratique le dessin, la guitare, l’écriture de poèmes/chansons. Inscrit dans une AMAP il cuisine beaucoup de légumes de saison. Il fait du tennis, de l’esca- lade en bloc, du théâtre et aime la voile et les vélos.

Maohi Labarrère pour le blogMaohi Labarrère

Réunionnaise, Maohi Labarrère a grandi en Polynésie-Française. Surfeuse, randonneuse, elle est diplômée en kinésithérapie après avoir étudiée 5 ans au Portugal. Maohi parle anglais, espagnol, et couramment le Portugais. Née de parents voyageurs qui l’ont fait voyager et découvrir des cultures diverses, pendant ses voyages elle a habité quatre ans en Nouvelle-Calédonie et sept ans en Polynésie-Française, ou elle a réalisé plusieurs traversées en catamaran et voilier. Elle détient le permis côtier.

Thierry Franquet pour le blogThierry Franquet

Thierry Franquet est retraité. Il a commencé à travailler très jeune dans l'agriculture, puis après une formation hôtelière dans le service et une carrière de quinze ans dans la restauration, il est passé dans l'univers de la vente de services (dépannage de portes et portails automatiques). Il navigue depuis quelques années. Sportif, il pratique également la gymnastique, l'assouplissement, l'endurance et s'initie au yoga.

 

 

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Les conseillers techniques de l'expédition : 

- François Lepage, photographe d'expédition, conseiller technique photo de T2A

- Stéphane Dugast, grand reporter, secrétaire de la Société des explorateurs français, conseiller technique édition de T2A

- Alain Connan, commandant de 20e classe, refondateur de Greenpeace France et fondateur de Friendship, conseiller technique mer et architecture navale de T2A

Philippe Fleury, plongeur et formateur de plongeurs, conseiller technique plongée de T2A

- Léo Marron, pilote professionnel de drones, réalisateur et conseiller technique drone de T2A
 
Les ambassadeurs de l'expédition :

- Kevin Correa, ambassadeur itinérant en Amérique du Sud

- Pierre-Paul Arend, ambassadeur permanent au Canada

- Bernard Martinez, ambassadeur permanent au Brésil

Itzel Diaz, ambassadrice au Mexique

- Fabien Faure et Julie Brouard-Faure, ambassadeurs aux Canaries

Le comité scientifique de l'expédition :

Gilles Reverdin, océanologue, spécialiste des liens entre climat et courants océaniques

Pierre Thomas, géologue, responsable du site Planet-Terre

Paolo Cavallini, zoologue, expert en Systèmes d'information géographique

Charlie Kergavarat, géologue, spécialiste des interactions entre déformation des roches et sédimentation

- Laure Thierry de Ville d'Avray, spécialiste des services écosystémiques fournis par les habitats coralligènes

- Tristan Hatin, paléo-océanographe, spécialiste des diatomées et micro-fossiles de plancton

- Véronique Boyer, virologue, habilitée direction de recherches

- Basile Chartier, juriste, spécialisé en droit international public

- Matthieu Taymans
environnementaliste, spécialisé dans la modélisation et la télédétection des écosystèmes terrestres et côtiers

Franck Touratierocéanographe, spécialiste de l'acidification de l'océan

Marc Savelmathématicien, spécialiste des mathématiques appliquées notamment en dynamique des fluides.


Ils nous soutiennent :

François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire

Jean Jouzel, climatologue, médaille d'or du CNRS, vice-président du Giec de 2002 à 2015 (Prix Nobel de la Paix 2007).

Anne-France Brunet, député de Loire-Atlantique, Conseil supérieur de l'énergie

Jérôme Bignon, sénateur de la Somme, Commission du développement durable

Le bateau : on a besoin de votre aide pour le financer

Bateau type :

Quillard de préférence 

Coque acier de préférence ou à la rigueur alu. Renfort d’étrave prévu.

Longueur HT : 16-18m est un minimum, 22-24m est l'idéal.

Largeur : 4,5 m et plus (on recherche l’habitabilité et les volumes, pas les performances).

Cabines : 3 minimum (quatre serait mieux) + une couchette navigateur + un atelier ou une cabine transformable en atelier

Gréement : ketch ou goëlette de préférence, mais on se contentera d’un sloop…

Réservoir diesel : très grand !

Protection de l'hélice : prévue.

Etai largable : oui

Timonerie intérieure : oui

Rangements : nombreux

Chauffage : oui - s’il n’y en a pas il faudra en installer un (poële Reflex). Climatisation : idem

Alternateur d’arbre : oui - s’il n’y en a pas il faudra en installer un

Eolienne et panneaux solaires.

Electronique : sondeur, speedo, anémomètre,  GPS intérieur/extérieur, radar, AIS, VHF ASN fixe + 2 VHF portables, etc. Plusieurs ordinateurs portables, deux iPads, deux iPhones, téléphone par satellite Iridium avec kit de connexion internet.

Dès que le budget le permettra nous remplacerons le moteur thermique par un moteur électrique alimenté par l'énergie solaire et des voiles rigides (avec l'aide de l'équipe du projet Bagaille Moon Fou), le principe étant de réduire au maximum l'empreinte carbone de l'expédition et de tendre vers le zéro déchet.

Cartographie électronique compatible avec OpenCPN.

Convertisseurs 220 V (2).

Boîte eaux noires : oui

Plomberie : arrivée eau douce et eau de mer à l’évier

Dessalinisateur

Batteries servitude et moteur : récentes – sinon seront changées. Parc servitude : au moins trois fois la consommation journalière

Survie : validée pour 8 personnes, et révisée récemment. Sinon sera révisée.

Pack de sécurité

Balise de détresse

Combinaisons de survie : 3 au minimum.

Filets de filières

Annexes : une petite gonflable pour 4 personnes, en bon état. Plus une grande annexe semi-rigide avec fond alu ou hypalu.

Moteurs des annexes : 2,3 CV Honda refroidissement par air, plus un 15/20 CV pour la grande annexe.

Cloison étanche + crash box à l’avant

Groupe électrogène. Matériel de soudure au gaz.

Prix : le plus doux possible !

C’est le bateau « idéal »… On sait déjà qu’il faudra faire des compromis…

Vous avez un bateau à vendre, à donner ou à prêter qui ressemble déjà un peu à ça ? Contactez-nous au +33 (0)6 81 34 65 31

Il meurt lentement

Il meurt lentement

Celui qui ne voyage pas,
Celui qui ne lit pas,
Celui qui n’écoute pas de musique,
Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.

Il meurt lentement
Celui qui détruit son amour-propre,
Celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement
Celui qui devient esclave de l’habitude
Refaisant tous les jours les mêmes chemins,
Celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
De ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.

Il meurt lentement
Celui qui évite la passion
Et son tourbillon d’émotions
Celles qui redonnent la lumière dans les yeux
Et réparent les cœurs blessés.

Il meurt lentement
Celui qui ne change pas de cap
Lorsqu’il est malheureux
Au travail ou en amour,
Celui qui ne prend pas de risques
Pour réaliser ses rêves,
Celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
N’a fui les conseils sensés.

Vis maintenant

Risque-toi aujourd’hui !

Agis tout de suite !

Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !

Martha Medeiros



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Expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier
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