Migrants et droit maritime international - Le cas de Sea-Watch 3 - Migrants and International Maritime Law - Case of Sea-Watch 3
Lundi 17 juin, c'est un nouveau naufrage de migrants qui a eu lieu au large de l'île de Kos (Grèce), située à quelques milles à peine de Bodrum (Turquie). D'après le journal Le Monde qui relatait l'incident, trois migrants meurent chaque jour en Méditerranée.
Le dimanche 23 juin 2019, un père et sa fille trouvaient la mort en tentant de traverser le Rio Grande, victimes de la politique migratoire menée par Donald Trump, en violation de l'article 13 de la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen. Les photos des deux cadavres flottant près de la berge ont fait le tour du monde, relayées par les médias et les réseaux sociaux. Oscar Martinez et sa fille Valéria sont les treizièmes victimes mortes en traversant le Rio Grande depuis deux ans.
Pourtant, rien n'y fait, et les murs de la honte fleurissent aux USA, en Inde où ils visent les Bengalis (*) et dans d'autres pays.
Dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 juin, l'intransigeance du gouvernement italien et son mépris du droit international maritime (on n'a pas le droit de refuser à des naufragés l'accueil dans le pays le plus proche de la zone du naufrage, ni de procéder à des manœuvres de refoulement, cf convention SAR) (**) ont obligé la capitaine du Sea-Watch 3 à forcer l'entrée du port de Lampedusa pour débarquer ses 40 rescapés dont l'état de santé menaçait de se dégrader rapidement. Ces migrants (dont certains venaient du Bengladesh) se trouvaient sur le navire depuis plus de deux semaine, Matteo Salvini empêchant leur débarquement. Aussitôt arrêtée, la capitaine allemande a été libérée par la justice italienne le mardi 2 juillet au soir, au motif que qu'elle effectuait une opération de sauvetage en mer et que dès lors un décret-loi lui interdisant l'entrée dans les eaux italiennes n'était pas applicable (le droit international maritime ratifié par l'Italie se situant à un niveau supérieur aux règlements italiens, NDR). Ne pouvant plus lui refuser d'avoir forcé un blocus coupable, Mateo Salvini a fait accuser la jeune femme d'aide à l'immigration clandestine. La capitaine du Sea-Watch 3 sera jugée le 18 juillet devant le tribunal d'Agrigente, en Sicile. La capitaine et biologiste Pia Klemp, qui a elle aussi sauvé de nombreuses vies en Méditerranée, est toujours poursuivie par la justice italienne.
Pour tous ceux qui se demandent si Carola Rackete pouvait prendre une autre décision que forcer le blocus du port de Lampedusa, la réponse est non, et vous verrez ci-dessous pourquoi.
1. Les cas de force majeure priment sur le droit, et la dégradation de l'état de santé des gens bloqués depuis deux semaines à bord du Sea-Watch 3 (imprévisible, irrésistible et extérieure à sa capitaine) en fait sans doute partie (point de vue juridique à vérifier, notamment eu égard au droit italien, NDR).
2. Dès lors qu'elle a estimé raisonnablement que les conditions de vie à bord étaient dangereuses, le maintien à bord de gens qu'elle avait la possibilité de débarquer aurait été assimilée à de la non-assistance à personne en danger. « "Nous avions déclaré l'état de nécessité parce que la situation psychologique et humanitaire s'est tellement détériorée, je ne pouvais plus garantir la sécurité des réfugiés à bord", a affirmé la capitaine Carola Rackete.
3. Quelle est la valeur de la convention SAR eu égard à la loi italienne ? La Convention SAR du 27 avril 1979 est intégrée au droit français par un décret de publication n° 85-580 du 5 juin 1985 et est applicable depuis le 22 juin 1985. Il y a de grandes chances qu'il en soit de même en Italie. Autrement dit, Carola Rackete savait que le décret-loi de Matteo Salvini, contraire au droit maritime international et au droit italien n'était pas applicable.
Après sa libération le 2 juillet, Carola Rackete a prudemment disparu du paysage, nul ne sachant si elle était restée en Italie ou partie en Allemagne, son ONG estimant que sa sécurité était mise en danger par les nombreuses menaces dont elle a fait l'objet. Le navire Sea-Watch 3 quand à lui est resté immobilisé, l'ONG se déclarant prête à racheter un bateau si besoin était.
Il y a deux ans déjà, le spécialiste du droit maritime Patrick Chaumette, rappelait : « L’aide maritime italienne en Libye pourrait mettre en danger les migrants »,a alerté l’ONG de défense des droits de l’homme Human Rights Watch, tandis qu’Amnesty International dénonçait, dans un communiqué, la volonté italienne de « chercher à se soustraire à leur obligation de secours ».Pour John Dalhuisen, le directeur du programme Europe d’Amnesty, « cette stratégie honteuse n’est pas destinée à enrayer le nombre toujours croissant de victimes, mais à écarter les réfugiés et les migrants des côtes italiennes ». Le fondateur de Human Sea notait ensuite que« la Convention SAR (Search & Rescue, NDR) impose et permet la coordination les secours à travers un MRCC (maritime rescue coordination centre, NDR), mais ne permet pas de réglementer, limiter et interdire les mesures de sauvetage dans une zone SAR, vis-à-vis de navires en détresse, même dans la mer territoriale de l’Etat côtier. La dérive est évidente. » (« Détournement de la convention SAR ?, Patrick Chaumette, 28 août 2017).
L'attitude des collectivités territoriales en avance sur celle des gouvernements
La Ville de Paris va remettre la médaille Grand Vermeil aux deux capitaines du bateau Sea-Watch 3, Carola Rackete et Pia Klemp (photo ci-contre), pour réaffirmer son "soutien aux femmes et hommes qui oeuvrent au sauvetage des migrants au quotidien", a-t-elle annoncé vendredi.
"Des associations comme SOS Méditerranée et Sea-Watch nous honorent et nous obligent face à l'inertie des gouvernements européens", dénonce dans un communiqué l'adjoint à la maire de Paris chargé des Relations internationales, Patrick Klugman. "Carola Rackete et Pia Klemp sont les emblèmes de ce combat, porteuses des valeurs européennes auxquelles la Ville de Paris appelle une nouvelle fois notre continent à rester fidèle", ajoute-t-il, cité le 13 juillet par la chaîne LCI. Toujours selon LCI, « En outre, la mairie versera une aide d'urgence de 100.000 euros à l'association SOS Méditerranée "pour une nouvelle campagne de sauvetage en mer des migrants". "Malgré les nombreux empêchements juridiques, SOS Méditerranée a décidé d'affréter un nouveau navire avec un nouvel équipage et une unité de soins d'urgence", précise la Ville de Paris. »
L'attitude des collectivités territoriales contraste donc sérieusement avec le laxisme populiste des gouvernements européens ; dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne se sont pas battus pour offrir un pavillon à l'Aquarius quand tout le monde savait que celui-ci en avais besoin pour continuer sa mission humanitaire. Quelques jours avant la Ville de Paris, c'est le département de la Vendée qui a accordé lors du Salon La Mer XXL de Nantes un million d'euros répartis pour moitié entre la SNSM et « SOS Méditerranée ». L'ONG SOS Méditerranée, qui gérait l'Aquarius conjointement avec Médecins sans Frontière, s'apprête à acquérir un nouveau bateau pour remplacer celui-ci. Enfin, tandis que la France offre d'accueillir 10 des réfugiés de Sea-Watch 3, Martine Aubry indique que « Lille est volontaire, comme déjà en juillet 2018 pour 42 personnes sauvées par l'Aquarius de SOS Méditerranée » (source : Wikipedia).
Lisez les principales conventions internationales relatives aux droits des naufragés et aux obligations des Etats signataires. Vous y trouverez des choses intéressantes, les rédacteurs ayant voulu justement éviter que des hommes politiques sans scrupules ni éthique ne puissent attenter à la vie ou la liberté des naufragés :
« Les gouvernements doivent également organiser le débarquement des personnes secourues dès que cela est raisonnablement possible. »
Même si un navire qui prête assistance peut servir de lieu sûr provisoire, il devrait être déchargé de cette responsabilité dès lors que d’autres dispositions peuvent être prises.
les États Parties « ... s’assurent qu’une assistance est fournie à toute personne en détresse en mer... sans tenir compte de la nationalité ou du statut de cette personne, ni des circonstances dans lesquelles celle-ci a été trouvée »
« Si les personnes secourues semblent indiquer qu’elles sont des demandeurs d’asile ou des réfugiés, ou qu’elles craignent de faire l’objet de persécutions ou de mauvais traitements en cas de débarquement dans un lieu particulier, le capitaine devrait les informer qu’il n’est pas habilité à prendre connaissance d’une demande d’asile et à l’examiner, ni à statuer sur une telle demande ».
C'est on ne peut plus clair : un naufragé est un naufragé, point barre. La capitaine du bateau qui le sauve ne peut en aucun cas faillir à son obligation de sauvetage au motif qu'il s'agirait ou non d'un migrant.
Pour conclure, rappelons la position de l'association Tour des deux Amériques face au problème des migrants : dans un monde qui va devenir en partie inhabitable dans quelques dizaines d'années, il n'y a pas d'autre choix que l'ouverture des frontières. Toute autre attitude est dès aujourd'hui dangereuse, et mettra en jeu la sécurité des hommes et des territoires. Nous ne pouvons qu'appeler à la tolérance et à un accueil sans condition des migrants, sous peine de voir apparaître des tensions sociales, des violences raciales et xénophobes, des replis communautaristes et de la ghettoïsation au fur et à mesure que la pression climatique s'intensifiera.
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(*) Hormis quelques petites villes-Etats, le Bangladesh est le pays le plus densément peuplé du monde – 160 millions d'habitants dans un territoire grand comme le quart de la France. A moins 50 % de son territoire sera englouti par la montée des eaux d'ici la fin du siècle. Déjà, en 2050, on s'attend à ce que 50 millions de Bengalis deviennent des « réfugiés climatiques ». Source : « 2050 : 50 millions de réfugiés climatiques au Bangladesh», France Inter,, consulté le 23 novembre 2017), Déjà aujourd'hui, le sud du pays se transforme en marécage, avec exode des populations vers le nord, et densification des populations à la frontière de l'Inde, avec tout ce que cela peut comporter comme problèmes sanitaires, etc.
(**) « LaCONVENTION DES NATIONS UNIES SUR LE DROIT DE LA MER DE 1982 dispose que :
« Tout État exige du capitaine d’un navire battant son pavillon que, pour autant que cela lui est possible sans faire courir de risques graves au navire, à l’équipage ou aux passagers
a) il prête assistance à quiconque est trouvé en péril en mer ;
b) il se porte aussi vite que possible au secours des personnes en détresse s’il est informé qu’elles ont besoin d’assistance, dans la mesure où l’on peut raisonnablement s’attendre qu’il agisse de la sorte » (article 98.1). »
« La CONVENTION INTERNATIONALE DE 1974 POUR LA SAUVE- GARDE DE LA VIE EN MER (CONVENTION SOLAS) dispose que :
« Le capitaine d’un navire en mer qui est en mesure de prêter assistance et qui reçoit, de quelque source que ce soit, une information2indiquant que des personnes se trouvent en détresse en mer, est tenu de se porter à toute vitesse à leur secours en les en informant ou en informant le service de recherche et de sauvetage de ce fait, si possible » (règle V/33.1). »
La CONVENTION SOLAS impose à tout État Partie de
« ... prendre les dispositions nécessaires pour la communication et la coordination en cas de détresse dans la zone relevant de sa responsabilité et pour le sauvetage des personnes en détresse en mer à proximité de ses côtes. Ces dispositions doivent comprendre la mise en place, l’utilisation et l’entretien des installations de recherche et de sauvetage jugées réalisables et nécessaires ... » (règle V/7.1).
De plus, en vertu de la CONVENTION INTERNATIONALE DE 1979 SUR LA RECHERCHE ET LE SAUVETAGE MARITIMES (CONVENTION SAR), les États Parties
« ... s’assurent qu’une assistance est fournie à toute personne en détresse en mer... sans tenir compte de la nationalité ou du statut de cette personne, ni des circonstances dans lesquelles celle-ci a été trouvée » (Chapitre 2, paragraphe 2.1.10) et veillent à « ... leur prodiguer les premiers soins médicaux ou autres dont ils pourraient avoir besoin, et à les remettre en lieu sûr » (Chapitre 1, paragraphe 1.3.2).
La CONVENTION DE 1951 RELATIVE AU STATUT DES RÉFUGIÉS interdit qu’un réfugié ou un demandeur d’asile soit expulsé ou refoulé de quelque manière que ce soit :
« sur les frontières des territoires où sa vie ou sa liberté serait menacée en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques » (article 33.1).
Ce principe ne fait pas uniquement référence au pays que l’individu a fui mais inclut également tout autre territoire où il serait exposé à de telles menaces.
Les personnes secourues en mer qui ne répondent pas aux critères de la définition de « réfugié » prévus par la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés mais qui craignent de faire l’objet de tortures ou d’autres violations graves des droits de l’homme, ou qui fuient un conflit armé, peuvent également être protégées contre un renvoi (« refoulement ») vers un lieu particulier en vertu d’autres instruments internationaux ou régionaux relatifs aux droits de l’homme ou concernant les réfugiés.
Par exemple, le droit international des droits de l’homme prévoit une obligation de ne pas refouler une personne lorsqu’il y a des raisons sérieuses de penser qu’il existe un risque réel de dommage irréparable (voir notamment les articles 6 et 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966). La Convention de 1984 contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants interdit explicitement le refoulement lorsqu’il existe des motifs sérieux de penser qu’une personne serait en danger d’être soumise à la torture. La Convention de l’OUA de 1969 régissant les aspects propres aux problèmes des réfugiés en Afrique interdit le renvoi d’une personne dans un territoire où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées par la persécution ou du fait d’une agression, d’une occupation extérieure, d’une domination étrangère ou d’événements troublant gravement l’ordre public. »
« Les gouvernements doivent assurer une coordination et apporter leur coopération afin de veiller à ce que les capitaines de navires qui prêtent assistance en embarquant des personnes en détresse en mer soient dégagés de leurs obligations en s’écartant le moins possible de l’itinéraire prévu. Les gouvernements doivent également organiser le débarquement des personnes secourues dès que cela est raisonnablement possible.
« Les Directives sur le traitement des personnes secourues en mer6précisent qu’il incombe principalement au gouvernement responsable de la région de recherche et de sauvetage (région SAR) où ont été récupérées les personnes secourues de fournir un lieu sûr ou de veiller à ce qu’un lieu sûr soit fourni.
Le premier RCC contacté devrait immédiatement s’efforcer de transférer la gestion de l’incident au RCC responsable de la région dans laquelle l’assistance est fournie. Lorsque le RCC responsable de la région SAR dans laquelle une assistance est nécessaire est informé de la situation, celui-ci devrait immédiatement accepter la responsabilité de coordonner les efforts de sauvetage, étant donné que les responsabilités connexes, y compris les dispositions pour assurer un lieu sûr aux personnes secourues, incombent principalement au gouvernement responsable de cette région. Cependant, le premier RCC est chargé de coordonner l’incident jusqu’à ce que le RCC responsable ou une autre autorité compétente prenne la relève.
Un lieu sûrest un endroit où les opérations de sauvetage sont censées prendre fin et où : la sécurité des personnes secourues n’est plus menacée ; les besoins humains fondamentaux (tels que des vivres, un abri et des soins médicaux) peuvent être satisfaits ; et des dispositions peuvent être prises pour assurer le transport des personnes secourues vers leur prochaine destination ou leur destination finale.
Même si un navire qui prête assistance peut servir de lieu sûr provisoire, il devrait être déchargé de cette responsabilité dès lors que d’autres dispositions peuvent être prises.
Il faut éviter que des demandeurs d’asile et des réfugiés secourus soient débarqués dans des territoires où leur vie ou leur liberté serait menacée.
Les opérations et procédures, telles que le filtrage et l’évaluation du statut des personnes secourues, qui dépassent le cadre de l’assistance apportée aux personnes en détresse, ne devraient pas entraver la fourniture d’une telle assistance ni retarder indûment le débarquement.
Les RCC doivent établir et tenir à jour des plans d’opérations et des modalités de coordination efficaces (plans et accords inter-institutions ou à l’échelle internationale, le cas échéant) afin de pouvoir intervenir dans tous les types de situations de recherche et de sauvetage, et notamment en ce qui concerne : les opérations de secours ; le débarquement des personnes secourues qui se trouvent à bord d’un navire ; la conduite des personnes secourues en lieu sûr ; d’éventuels arrangements avec d’autres entités (telles que les autorités chargées des douanes, du contrôle des frontières et de l’immigration, l’armateur, ou encore l’État du pavillon du navire) alors que les personnes secourues se trouvent encore à bord du navire prêtant assistance, en ce qui concerne la nationalité, le statut ou les circonstances des personnes secourues, y compris les dispositions pour accueillir provisoirement ces personnes pendant que ces questions sont résolues ; d’éventuelles mesures pour libérer le navire dès que possible de manière à éviter des retards indus, une charge financière ou d’autres difficultés liées au fait de porter assistance à des personnes en mer.
Au même titre que les RCC et les autres organes et services d’État, les navires d’État (tels que les navires de garde-côtes et les navires de guerre) ont des obligations directes en droit international des réfugiés (notamment, l’obligation de ne pas effectuer ou ne pas autoriser un refoulement) qui reposent sur leurs obligations en vertu du droit international de la mer.
À noter que les procédures d’évaluation des besoins de protection internationale ou de détermination du statut de réfugié ne devraient pas se dérouler en mer.
Remarquons au passage la formule : « Il faut éviter que des demandeurs d’asile et des réfugiés secourus soient débarqués dans des territoires où leur vie ou leur liberté serait menacée ». Est-ce qu'un pays comme la France où les sans papiers sont parqués dans des camps de rétention administrative (CRA) pour des périodes de plus en plus longues (de 9 jours en 1999 à 32 puis 45 jours aujourd'hui) correspond à cette formule ? La Cour européenne des Droits de l'homme a condamné la France pour le placement en rétention d'enfants dans un CRA, car « si les conditions matérielles de certains centres sont correctes, les conditions inhértentes à ce type de structures ont un effet anxiogène sur les enfants en bas âge » (source : Le Républicain Lorrain, 13 juillet 2016). A Mayotte, la France va jusqu'à regrouper artificiellement des jeunes enfants isolés avec des couples d'adultes pour pouvoir les interner dans ce type de centre dont on parle trop peu mais qui comptait 49.537 détenus en 2014, sans doute beaucoup plus aujourd'hui. Notons que la plupart de ces centres ont été construits par Bouyghes, ce qui ne fait pas honneur à cette entreprise (source : Wikipédia, "Campagne contre Bouyghes Enfermement en 2004-2005" sur Paris-luttes.info, 14 janvier 2008).
Concernant l'obligation d'accueil dans le port sûr le plus proche des naufragés, le 13 juin 2018 France info publiait sur son site un article sur le sort des 629 naufragés à bord de l'Aquarius, que l'Espagne de Pedro Sanchez (photo ci-contre) venait d'autoriser à accoster. Après deux jours d'un silence que la gauche a dénoncé comme étant « coupable », Emmanuel Macron a finalement condamné le 12 juin 2018 l'attitude de Malte et de l'Italie.
Le mardi matin, Emmanuel Macron a expliqué sa position en Conseil des ministres."Il a rappelé le droit international maritime qui veut que (...) ce soit la côte la plus proche qui assume la responsabilité de l'accueil, a indiqué Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement. Il a également dit que si quelque bateau que ce soit avait pour rive la plus proche les côtes françaises, il pourrait à l'évidence accoster sur les côtes françaises, dans le respect du droit international et du droit maritime."
Une attitude de juriste difficilement tenable, qui n'explique pas la raison pour laquelle c'est l'Espagne et non la France qui accepte en juin 2018 d'accueillir l'Aquarius et ses naufragés. En effet, depuis Malte le plus proche port espagnol (Port Mahon aux Baléares) se trouve à 530 milles nautiques, contre 410 milles pour Porto-Vecchio en Corse, et sensiblement autant pour Bonifaccio. Et si on fait la calcul depuis Lampedusa, on trouve 489 milles nautiques pour Port Mahon contre 395 milles pour les ports du sud de la Corse. Bref, dans les deux cas la France est nettement plus proche que l'Espagne.
Quand à estimer que la faute des uns (l'attitude de Malte et de l'Italie) exonère les autres (Etats) de leur responsabilité, elle est elle aussi difficilement tenable. Si les ports italiens ne peuvent plus être considérés comme des ports « sûrs » pour les naufragés, les plus proches ports « sûrs » deviennent les ports français.
NB : vous trouverez en colonne de droit de ce blog à la rubrique "Droit de la plaisance" un lien vers le guide "Sauvetage en mer - Guide des principes et des mesures qui s'appliquent aux réfugiés et aux migrants" publié par l'OMI. Une partie de cet article s'en inspire voire en reprend des extraits.
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Monday, June 17, a new sinking of migrants took place off the island of Kos (Greece), located just a few miles from Bodrum (Turkey). According to the newspaper Le Monde that recounted the incident, three migrants die every day in the Mediterranean.
On Sunday, June 23, 2019, a father and his daughter were killed trying to cross the Rio Grande, victims of the migration policy led by Donald Trump, in violation of Article 13 of the Declaration of Human Rights and Human Rights. citizen. The photos of the two corpses floating near the bank have been circumnavigated worldwide, relayed by the media and social networks. Oscar Martinez and his daughter Valeria are the thirteenth dead victims crossing the Rio Grande for two years.
Yet nothing works, and the walls of shame flourish in the USA, India where they target Bengalis (*) and other countries.
On the night of Friday 28 to Saturday, June 29, the intransigence of the Italian government and its disregard for international maritime law (we have no right to refuse shipwrecked home in the country closest to the area of sinking or refoulement, see SAR Convention) (**) forced the captain of the Sea-Watch 3 to force the entrance to the port of Lampedusa to disembark her 40 survivors whose state of health threatened to to degrade quickly. These migrants (some of whom had come from Bangladesh) had been on the ship for more than two weeks, with Matteo Salvini preventing their landing. Immediately arrested, the German captain was released by the Italian courts on the evening of Tuesday 2 July on the grounds that she was carrying out a rescue operation at sea and that therefore a decree-law forbidding her entry into Italian waters was not applicable (maritime international law ratified by Italy is higher than the Italian regulations, NDR). No longer able to deny him a forced blockade, Mateo Salvini accused the young woman of help with illegal immigration. The captain of the Sea-Watch 3 will be judged on July 18 before the court of Agrigento, Sicily. Captain and biologist Pia Klemp, who has also saved many lives in the Mediterranean, is still being prosecuted by the Italian courts.
For all those who wonder if Carola Rackete could make another decision than to force the blockade of the port of Lampedusa, the answer is no, and you will see below why.
1. The cases of force majeure take precedence over the law, and the deterioration of the state of health of people stuck for two weeks aboard the Sea-Watch 3 (unpredictable, irresistible and external to its captain) is undoubtedly part of it ( legal point of view to be verified, particularly with regard to Italian law, NDR).
2. Since it reasonably considered that the living conditions on board were dangerous, the retention on board of persons whom it had the opportunity to disembark would have been equated with non-assistance to persons in danger. "We declared the state of necessity because the psychological and humanitarian situation deteriorated so much that I could no longer guarantee the safety of the refugees on board," said Captain Carola Rackete.
3. What is the value of the SAR Convention with respect to Italian law? The SAR Convention of April 27, 1979 is incorporated into French law by a decree of publication No. 85-580 of June 5, 1985 and has been applicable since June 22, 1985. There is a good chance that the same will be true in Italy . In other words, Carola Rackete knew that Matteo Salvini's decree-law, contrary to international maritime law and Italian law, was not applicable.
After her release on 2 July, Carola Rackete cautiously disappeared from the landscape, no one knowing if she had stayed in Italy or left in Germany, her NGO saying her safety was endangered by the many threats she was subjected to. . The ship Sea-Watch 3 when he remained immobilized, the NGO declaring itself ready to buy a boat if needed.
Two years ago, maritime law expert Patrick Chaumette recalled: "Italian maritime aid to Libya could put migrants at risk," the human rights NGO Human Rights Watch warned, while Amnesty International denounced, in a statement, the Italian will to "seek to evade their obligation to help". For Amnesty International Europe Director John Dalhuisen, "this shameful strategy is not intended to stop the ever-increasing number of victims, but to keep out refugees and migrants from the Italian coast." The founder of Human Sea also noted that "the SAR Convention (Search & Rescue, NDR) imposes and allows the coordination of relief through a MRCC (Maritime Rescue Coordination Center, NDR), but does not allow to regulate, limit and prohibit rescue measures in a SAR area, vis-à-vis ships in distress, even in the territorial sea of the coastal State. The drift is obvious. ("Hijacking the SAR Convention ?, Patrick Chaumette, August 28, 2017).
The attitude of local authorities ahead of that of governments
The City of Paris will hand over the Grand Vermeil medal to the two captains of the Sea-Watch 3 boat, Carola Rackete and Pia Klemp (photo opposite), to reaffirm its "support for women and men who work to rescue migrants on a daily basis" she said Friday.
"Associations such as SOS Méditerranée and Sea Watch honor us and force us to face the inertia of European governments," denounced in a statement the deputy mayor of Paris in charge of international relations, Patrick Klugman. "Carola Rackete and Pia Klemp are the emblems of this fight, carrying European values to which the City of Paris once again calls our continent to remain faithful", he adds, quoted on July 13 by the channel LCI. According to LCI, "In addition, the town hall will provide emergency aid of 100,000 euros to the association SOS Mediterranean" for a new sea rescue campaign for migrants. "Despite the many legal impediments, SOS Mediterranean has decided to charter a new vessel with a new crew and an emergency care unit," says the City of Paris. "
The attitude of local authorities thus contrasts sharply with the populist laxism of European governments; The least we can say is that they did not fight to offer a pavilion to Aquarius when everyone knew that he needed it to continue his humanitarian mission. A few days before the City of Paris, it was the Vendée department that granted at the Nantes Sea Show XXL a million euros divided half between the SNSM and "SOS Mediterranean". The NGO SOS Méditerranée, which managed the Aquarius jointly with Médecins sans Frontière, is preparing to acquire a new boat to replace it. Finally, while France offers to welcome 10 refugees from Sea-Watch 3, Martine Aubry indicates that "Lille is voluntary, as already in July 2018 for 42 people saved by the Aquarius of SOS Mediterranean" (source: Wikipedia) .
To conclude, read the main international conventions on the rights of shipwrecked persons and the obligations of signatory states. You will find interesting things, the editors who wanted precisely to avoid that unscrupulous and unethical politicians can not attack the life or freedom of shipwrecked:
"Governments must also arrange the disembarkation of rescued persons as soon as reasonably possible. "
Even if a helping ship can serve as a temporary safe place, it should be relieved of this responsibility as soon as other arrangements can be made.
States Parties "... ensure that assistance is provided to any person in distress at sea ... without regard to the nationality or status of that person or the circumstances in which that person was found "
"If the rescued persons appear to indicate that they are asylum seekers or refugees, or that they fear persecution or ill-treatment in the event of disembarkation at a particular location, the captain should inform them that he is not entitled to take cognizance of an asylum application and to examine it, nor to decide on such a request ".
It could not be clearer: a shipwrecked man is a shipwrecked man. The captain of the boat that saves him can not in any case fail his obligation to rescue on the grounds that he is a migrant or not.
To conclude, let us recall the position of the association Tour des deux Amériques in the face of the problem of migrants: in a world that will become partly uninhabitable in a few decades, there is no other choice than the opening borders. Any other attitude is dangerous today, and will put the safety of men and territories at stake. We can only call for tolerance and unconditional reception of migrants, on pain of social tensions, racial and xenophobic violences, communitarian withdrawal and ghettoisation as climate pressure intensifies.
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(*) Apart from a few small city states, Bangladesh is the most densely populated country in the world - 160 million inhabitants in a territory as large as a quarter of France. At least 50% of its territory will be engulfed by rising water by the end of the century. Already in 2050, it is expected that 50 million Bengalis will become "climate refugees". Source: "2050: 50 million climate refugees in Bangladesh", France Inter, accessed 23 November 2017), Already today, the south of the country is turning into a swamp, with population exodus to the north, and densification of populations on the border of India, with all that this may involve as health problems, etc.
(**) "THE UNITED NATIONS CONVENTION ON THE LAW OF THE SEA, 1982 provides that:
"Every State shall require the captain of a vessel flying its flag, to the extent that it is capable of doing so, without putting the ship, the crew or the passengers at serious risk.
(a) assist any person found at risk at sea;
(b) he shall move as quickly as possible to the aid of persons in distress if he is informed that they need assistance to the extent that it can reasonably be expected to do so "( Article 98 (1). "
"The 1974 INTERNATIONAL CONVENTION FOR THE SAFEGUARDING OF LIFE AT SEA (SOLAS CONVENTION) provides:
"The captain of a ship at sea who is in a position to assist and who receives from any source information2 indicating that persons are in distress at sea, is obliged to rush to their rescue. by informing or informing the Search and Rescue Service of this fact, if possible "(Rule V / 33.1). "
The SOLAS CONVENTION requires any State Party to
"... make the necessary arrangements for communication and coordination in the event of distress in the area under his responsibility and for the rescue of persons in distress at sea near his coasts. These provisions shall include the establishment, use and maintenance of search and rescue facilities that are considered feasible and necessary ... "(Rule V / 7.1).
In addition, under the INTERNATIONAL CONVENTION ON SEA SEARCH AND RESCUE 1979 (SAR CONVENTION), States Parties
"... ensure that assistance is provided to any person in distress at sea ... without regard to the nationality or status of that person or the circumstances in which it was found" (Chapter 2, paragraph 2.1.10) and ensure "... to provide medical and other first aid that they may require and to return them to a safe place" (Chapter 1, paragraph 1.3.2).
The 1951 Convention Relating to the Status of Refugees prohibits a refugee or asylum seeker from being deported or expelled in any manner whatsoever:
"On the borders of territories where his life or freedom would be endangered by reason of race, religion, nationality, membership of a particular social group or political opinion" (Article 33.1).
This principle not only refers to the country that the individual fled but also includes any other territory where he would be exposed to such threats.
Those rescued at sea who do not meet the criteria for the definition of "refugee" in the 1951 Refugee Convention, but who fear torture or other serious or fleeing an armed conflict, may also be protected against refoulement ("refoulement") to a particular place under other international or regional human rights or refugee-related instruments.
For example, international human rights law provides for an obligation not to deport a person where there are substantial reasons to believe that there is a real risk of irreparable harm (see in particular Articles 6 and 7 of the Convention). International Covenant on Civil and Political Rights, 1966). The 1984 Convention against Torture and Other Cruel, Inhuman or Degrading Treatment or Punishment explicitly prohibits refoulement where there are substantial grounds for believing that a person would be in danger of being subjected to torture. The 1969 OAU Convention Governing the Specific Aspects of Refugee Problems in Africa prohibits the return of a person to a territory where his or her life, bodily integrity or freedom would be threatened by persecution or aggression , external occupation, foreign domination or events seriously disturbing public order. "
"Governments must coordinate and cooperate to ensure that ship captains who assist by boarding people in distress at sea are relieved of their obligations by deviating as little as possible from the planned route. Governments must also arrange for the disembarkation of rescued persons as soon as reasonably possible.
"The Guidelines for the Treatment of Persons Rescued at Sea6 state that it is primarily the responsibility of the responsible SAR region (SAR Region) where rescued persons have been rescued to provide a safe place or to ensure that a safe place is provided.
The first RCC contacted should immediately attempt to transfer incident management to the RCC responsible for the region in which assistance is provided. When the RCC responsible for the SAR region in which assistance is needed is informed of the situation, the latter should immediately accept responsibility for coordinating the rescue efforts, as the related responsibilities, including provisions for ensuring safe to those rescued, are the responsibility of the responsible government of this region. However, the first RCC is responsible for coordinating the incident until the responsible RCC or other competent authority takes over.
A safe place is a place where rescue operations are supposed to end and where: the safety of those rescued is no longer threatened; basic human needs (such as food, shelter and medical care) can be met; and arrangements may be made for the transport of rescued persons to their next destination or final destination.
Even if a helping ship can serve as a temporary safe place, it should be relieved of this responsibility as soon as other arrangements can be made.
There is a need to prevent asylum seekers and rescued refugees from being landed in areas where their life or freedom would be threatened.
Operations and procedures, such as screening and assessment of the status of rescued persons, beyond the scope of assistance to persons in distress, should not interfere with the provision of such assistance or unduly delay disembarkation.
RCCs must establish and maintain effective operational plans and coordination arrangements (interagency or international plans and agreements, as appropriate) to be able to respond to all types of research and development situations. rescue, and in particular as regards: rescue operations; the landing of rescued persons on board a ship; the conduct of rescued persons in a safe place; possible arrangements with other entities (such as customs, border and immigration authorities, the shipowner, or the flag state of the vessel) while the rescued persons are still on the assisting ship, with respect to the nationality, status or circumstances of the rescued persons, including provision for temporarily accommodating such persons while these matters are resolved; possible measures to release the ship as soon as possible so as to avoid undue delays, financial burden or other difficulties related to assisting persons at sea.
In the same way as RCCs and other state bodies and services, state ships (such as coast guard vessels and warships) have direct obligations in international refugee law (including obligation not to perform or not to authorize refoulement) which are based on their obligations under the international law of the sea.
It should be noted that procedures for assessing international protection needs or refugee status determination should not be conducted at sea.
Let us note in passing the formula: "It must be avoided that asylum seekers and rescued refugees are disembarked in territories where their life or their freedom would be threatened". Is a country like France where undocumented migrants are kept in administrative detention camps (CRA) for longer and longer periods (from 9 days in 1999 to 32 and then 45 days today)? this formula? The European Court of Human Rights has condemned France for the placement in detention of children in a CRA, because "if the material conditions of some centers are correct, the conditions inherent to this type of structures have an anxiogenic effect on young children "(source: Republican Lorrain, July 13, 2016). In Mayotte, France goes as far as artificially grouping young isolated children with adult couples to be able to intern them in this type of center of which we speak too little but which counted 49,537 prisoners in 2014, probably much more today . Note that most of these centers were built by Bouyghes, which does not honor this company (source: Wikipedia, "Campaign against Bouyghes Lockdown in 2004-2005" on Paris-luttes.info, January 14, 2008).
Regarding the obligation of reception in the nearest safe harbor of shipwrecked, June 13, 2018 France info published on its website an article on the fate of the 629 shipwrecked aboard the Aquarius, that the Spain of Pedro Sanchez ( photo opposite) had just allowed to dock. After two days of silence that the left has denounced as "guilty", Emmanuel Macron finally condemned on June 12, 2018 the attitude of Malta and Italy.
On Tuesday morning, Emmanuel Macron explained his position in the Council of Ministers. "He reminded the international maritime law that (...) it is the nearest coast that takes responsibility for the reception," said Benjamin Griveaux, spokesman for the government. boat had the closest shore to the French coast, it could obviously dock on the French coast, in accordance with international law and maritime law. "
An attitude of jurist difficult tenable, which does not explain the reason why it is Spain and not France which accepts in June 2018 to welcome the Aquarius and its castaways. Indeed, from Malta the nearest Spanish port (Port Mahon to the Balearic Islands) is 530 nautical miles, against 410 miles for Porto-Vecchio in Corsica, and much as for Bonifaccio. And if we do the calculation from Lampedusa, we find 489 nautical miles for Port Mahon against 395 miles for the ports of southern Corsica. In short, in both cases France is significantly closer than Spain.
When to consider that the fault of some (the attitude of Malta and Italy) exonerates the others (States) of their responsibility, it is also difficult to tenable. If Italian ports can no longer be considered "safe" ports for shipwrecked people, the nearest "safe" ports become French ports.
NB; You will find in the right column of this blog under the heading "Law of the yachting" a link to the guide "Rescue at sea - Guide to principles and measures that apply to refugees and migrants" published by the IMO. Part of this article is inspired by it or even extracts some extracts.
Photos: New York Times cover with photo of Oscar and Valeria Martinez drowned in the Rio Grande; Captain Carola Rackete aboard Sea-Watch 3 in Malta 20190702 (author Paul Lovis Wagner / Sea-Watch.org); Pia Klemp as a speaker at the 19th Sunday demonstration in Vorarlberg. On 5.5.2019 in Bregenz. About 1000 people gathered for a demonstration (Asurnipal author); Dhaka_street_crowds (May 17, 2006 author Ahron de Leeuw from Amsterdam, Netherlands); Pedro_Sánchez_2019 (European Parliament author); Vista di Lampedusa (AG), the unica isola italiana in Africa and the comune più a south of Italia (author Andre86).
Ce blog décrit la préparation et la réalisation d'une expédition scientifique et pédagogique de cinq ans sur un grand voilier autour des deux Amériques, avec passage en Antarctique et en Arctique. This blog describe a scientific and educational expedition.
EXPEDITION TOUR DES DEUX AMERIQUES SOLIDAIRE EN VOILIER - OBJECTIFS ET ITINERAIRE
L'Expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier, membre d'Ocean & Climate Platform, consiste à envoyer un voilier et son équipage faire sur cinq ans le tour complet des Amériques, avec passage dans le Grand Sud et dans le Grand Nord. Durant tout ce voyage l’équipage et des scientifiques procéderont à des recherches sur les milieux polaires et océaniques, des observations (notamment en ce qui concerne les animaux marins et la pollution lumineuse) et des prélèvements : micro-algues, planctons, etc. Un second volet consistera à nouer des liens avec les habitants rencontrés, artistes, artisans, commerçants, etc. et les amener à parler librement de leur vie et de son évolution dans des interviews non-directifs. Un volet communication très important est prévu dans les 27 pays abordés : nous y tournerons des documentaires, alimenterons un blog de voyage, ferons des reportages, donnerons environ 400 conférences (une tous les quatre jours en moyenne), écrirons des livres avec des photos à partir du journal de bord, essayerons de faire publier des articles dans la presse locale et nationale des pays où nous serons, etc. Le but de cette communication est de sensibiliser les populations à la nécessité de protéger les milieux polaires et océaniques : la plupart des gens ignorent encore que l’oxygène qu’ils respirent est fourni pour moitié par les océans, que le climat dans lequel ils vivent est régulé par les grands courants océaniques, et que le CO2 qu’ils rejettent est absorbé en grande partie par les océans. Lorsque ces mécanismes s’interrompront, la vie humaine telle que nous la connaissons ne sera plus possible. L’itinéraire se fera dans le sens dextrogyre : depuis Gibraltar et la Méditerranée descente des côtes marocaines, puis transat vers le nord-est du Brésil, descente des côtes atlantiques de l’Amérique du sud, passage des canaux de la Patagonie d’est en ouest, descente vers le sud jusqu’à Déception Island (une des bases les plus au Nord de l’Antarctique), retour aux côtes pacifiques de l’Amérique du Sud, remontées de celles-ci, puis des côtes pacifiques de l’Amérique du Nord, passage du détroit de Behring, puis Passage du Nord-Ouest pour rejoindre la baie de Lancaster et la mer de Baffin, puis détour par Nuuk au sud du Groenland avant de rejoindre les côtes canadiennes et descendre les côtes atlantiques de l’Amérique du Nord pour finir notre périple dans les Caraïbes avant de prendre le chemin du retour par les Bermudes et les Açores. Hormis les transats aller et retour et le détour par Deception Island, il s’agira essentiellement de navigation côtière de port en port du fait des aspects humanistes de l’expédition. En attendant le départ, l'équipage s'entraîne en faisant des croisières en Méditerranée. Une vidéo de présentation est disponible sur Youtube : https://youtu.be/NxjYzmvqbCA
The Tour of the two Americas in solidarity in sailing boat (T2A Expedition) is to send a sailboat and its crew to make about five years the complete tour of the Americas, with passage in the Great South and in the Far North. During this voyage, the crew and scientists will carry out research on polar and ocean environments, observations (particularly concerning marine animals and light pollution) and samples: micro-algae, plankton, etc. A second part will be to establish links with the inhabitants encountered, artists, craftsmen, traders, etc. And lead them to speak freely about their lives and their evolution in non-directive interviews. A very important communication component is planned in the 27 countries covered: we will make documentaries, feed a travel blog, give about 400 conferences (one every four days on average), write books with photographs from the logbook, will try to publish articles in the local and national press of the countries where we will be, and so on. The aim of this communication is to raise awareness of the need to protect the polar and ocean environments. The itinerary will be in the dextrogyre direction: from Gibraltar and the Mediterranean descent of the Moroccan coasts, then transat to the northeast of Brazil, descent of the Atlantic coasts of South America, passage of the canals of the Patagonia of In the west, descending south to Deception Island (one of the most northern bases of Antarctica), returning to the peaceful coasts of South America, rising from these, then the Pacific coasts of the Antarctic, North America, crossing Behring Strait, then the Northwest Passage to Lancaster Bay and the Baffin Sea, then detour by Nuuk to southern Greenland before reaching the Canadian coasts and down the Atlantic coasts of the " North America to finish our trip in the Caribbean before taking the way back through Bermuda and the Azores. Apart from the two tansats and the detour by Deception Island, it will essentially be coastal shipping from port to port due to the humanistic aspects of the expedition. While waiting for the departure, the crew trains by making cruises in the Mediterranean.
A presentation video is available on Youtube: https://youtu.be/NxjYzmvqbCA
NOUS RECHERCHONS DES SPONSORS, ENTREPRISES ET ONG (GRATUIT POUR LES ONG) - WE ARE LOOKING FOR SPONSORS
Nous recherchons une ou plusieurs entreprises sponsors souhaitant voir la promotion de leurs produits/services durant cinq ans dans tous les ports abordés des deux Amériques, et dans les médias des 27 pays abordés (plus la France). Nous mettons aussi le bateau et son équipage au service de nos sponsors pour des croisières incentives destinées à leurs membres, clients, commerciaux, distributeurs, etc. Valeur marchande des opérations dont vous bénéficierez : entre 7.120.000 euros et dix millions d'euros. Les détails de cette très belle action de sponsoring avec l'itinéraire, le descriptif du bateau, de nombreuses photos et un chiffrage précis figurent dans un fichier de 77 pages. Ce fichier est directement accessible en faisant un copié-collé complet de ceci dans la barre d'adresse de votre navigateur : https://www.dropbox.com/scl/fi/0k5jmyexb5pikn5j47r85/Sponsoring-Presse-neutre-V109.pdf?rlkey=ny197fkpy6ut1sdpz071b2jsf&dl=0 Nous offrons aussi sans contrepartie financière les mêmes services (valeur entre 7.120.000 euros et 10 M€) à une ONG reconnue pour son action humanitaire au niveau international. Nous assurerons avec le concours de ses membres au niveau local la promotion de ses actions dans le monde et dans les pays concernés, et également d'autres services s'il y a lieu.
Pour toute demande, contactez Philippe Bensimon au +33 (0)6.81.34.65.31. We are looking for one or more sponsor companies wishing to see the promotion of their products / services for five years in all ports covered in the two Americas, and in the media of the 27 countries discussed (plus France). We also put the boat and its crew at the service of our sponsors for incentive cruises for their members, customers, salespeople, distributors, etc. Market value of the transactions you will receive: between 7,120,000 euros and 10 million euros. The details of this very nice sponsorship action with the itinerary, the description of the boat, many photos and accurate figures are in a file of 58 pages. This file is directly accessible by making a complete copy-pasted of this in the address bar of your browser: https://www.dropbox.com/s/ierwb3wxpe2q8j0/Sponsoring%20Press%20neutral%20V77%20b%20english.pdf?dl=0
We also offer the same services (value between € 7,120,000 and € 10 million) without any financial compensation to an NGO recognized for its international humanitarian work. We will, with the help of our local members, promote its actions in the world and in the countries concerned, as well as other services if necessary.
For any request, contact Philippe Bensimon at +33 (0) 6.81.34.65.31.
Formation : DEA de gestion (MATIS), DESS marketing, licence en droit, diplômé de l'ISPEC et de l'ICSV. Alpiniste, il a été le témoin privilégié du réchauffement climatique et de la fonte des glaciers des Alpes. Passionné par la mer, il est venu à la voile par le biais du 420. Après une carrière dans le monde de la communication et de la direction générale d’entreprises, habitué à tenir des conférences en public, il est à l’origine du volet pédagogique de l’expédition. Il applique désormais à la mer les techniques de la montagne et de la gestion de projet. Il sera l’interlocuteur privilégié de nos sponsors tout au long de cette aventure, et de celles qui suivront.
Franck Patay
Franck Patay est Breton, fils de marin et marin depuis son enfance. Spécialiste des moteurs Diesel, pêcheur, épicurien et excellent cuisinier, c’est le bricoleur de l’équipe, celui grâce à qui ce qui ne marche plus marche de nouveau. A également la cinquantaine, ce qui fait qu’ils ont ensemble des choses à se dire (Ah, le bon temps...). Toujours de bonne humeur, quelles que soient la force du vent et la hauteur des vagues, ce diplômé des Beaux-Arts a un excellent coup de crayon..
Mathilde Sandor
Mathilde Sandor est passionnée par la voile et la mer. A 21 ans, cette jeune femme sportive entame un cursus pour obtenir un BPJEPS monovalent voile, après lequel elle embarquera avec nous pour les six premiers mois de l'expédition ou plus. En attendant le départ, Mathilde va s'occuper de l'agenda des conférences, colloques et autres manifestations ayant trait aux océans et au climat, et également de nos relations avec les ambassades et les consulats des 27 pays que nous aborderons.
Kevin Correa
Kevin Correa est un passionné de l'environnement. Après avoir suivi une formation d'anthropologue à l'université de Nanterre, il a travaillé dans un collège durant trois ans, ce qui lui a permis de développer son approche pédagogique. Avant notre départ Kevin va s'occuper avec Evelyne du site internet de l'expédition, et aura pour charge de nouer des contacts en Amérique Latine avec des acteurs environnementaux et des écoles de cinq pays. Par la suite il participera aux volets anthropologique et pédagogique de l'expédition.
Noémie Catalano
Etudiante en droit et en économie, Noémie découvre notre expédition en décembre 2017 lors d'une rencontre avec Mathilde, et adhère à la démarche environnementale de T2A. Curieuse de tout et pratiquant le dessin, la photographie et des sports variés, cette monitrice de voile qui a déjà enseigné en Corse et au Maroc et visité l'Ouest américain travaille pour nous en priorité sur le sponsoring et la création d'outils collaboratifs. Noémie passera une année à bord de T2A, sous forme de périodes de trois mois.
Pierre-Paul Arend
A 4 ans, il est conquis par la mer et le ciel étoilé lors d'une traversée en cargo vers la Corse. Instructeur de Voile Croisière (CYA. Canada) et des sports de neige (Suisse), sa passion est la transmission des savoirs : 30 ans d’apprentissage par l’enseignement. Il a écrit L’Andragogie de la Voile ou comment transmettre la culture Voile selon la Tradition orale. A 50 ans, il devient Yachtmaster Offshore et Océan (RYA). Navigateur de l’expédition, il va préparer/planifier nos passages hauturiers et Océans. Son carnet de bord sera tenu à jour sur le net. Pierre-Paul est notre ambassadeur au Canada.
Romain Vilbois
A moins de 30 ans, Romain Vilbois connaît déjà une grande partie de l’Afrique. Amoureux de l’océan et des animaux qui l’habitent, il prépare une grande expédition aux quatre coins du monde sur six ans à la rencontre de tous les plus grands prédateurs de la planète. Il nous écrit : "Je suis impatient d’apporter ma pierre au Tour des Deux Amériques ! ". Très actif, Romain Vilbois crée en ce moment une ONG. Les Enfants du Mérite viendra en aide aux enfants défavorisés des pays pauvres sur des critères d'excellence scolaire.
Itzel Diaz
Itzel Diaz a 24 ans. Passionnée par la mer depuis l'enfance, elle découvre vraiment la voile à 22 ans lorsqu'elle décide de traverser l'Atlantique de Bretagne jusqu'aux Antilles. Après des études de théâtre à Paris, elle part pendant plusieurs mois découvrir le théâtre israëlo-palestinien. Habituée des grands voyages, elle a parcouru une grande partie de l'Amérique Latine où elle a développé une sensibilité pour la protection de l'environnement et du patrimoine latino-américain. Franco-mexicaine, elle parle couramment espagnol et sera notre ambassadrice au Mexique.
Thibault Depoux
En 2011, Thibault tombe amoureux du voyage en sillonnant les routes Equatoriennes. En 2012, il séjourne un an en Irlande pour compléter son diplôme d'ingénieur avec un Bachelor dans les énergies durables puis repart plusieurs fois à la découverte du monde, de nouvelles cultures. Son leitmotiv : « l’important ce n’est pas la destination, mais le voyage ! ». Conducteur de travaux dans l’éolien depuis 2016, il espère que le vent et son goût pour l’aventure le porteront outre-Atlantique… Sans carbone ! Il partage les objectifs de T2A et nous aidera notamment à trouver de nouveaux sponsors.
Après avoir obtenu en 2017 le diplôme d’une Ecole suisse, Noémie a décidé de voyager et d’explorer le monde en participant à des expéditions. Soucieuse de participer à la lutte pour la préservation de l’environnement, la jeune femme a choisi de rejoindre l’équipe de T2A et écrit : « pour moi l’impossible recule devant celui qui avance ! ». Une belle devise. Noémie, qui est basée à Versoix à proximité du lac Léman, devient la représentante en Suisse de l’expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier et va s’occuper de contacter les entreprises suisses intéressées par le sponsoring de l’expédition.
Pierre Mathey
Titulaire des brevets de Yachtman et de navigateur de yacht + le GMDSS, passionné d’histoire antique, Pierre enseigne aujourd’hui à l’école Polaris à Bruxelles où il donne des cours de manœuvres moteur (théorie et pratique) ainsi que les cours de loxodromie et orthodromie. Ce professionnel des ressources humaines skippe régulièrement des bateaux durant ses loisirs. Sa prochaine croisière est programmée avec nous en Grèce en avril ; il sera ensuite en Finlande fin juin. Il souhaite faire avec T2A la transat aller, et est intéressé par les canaux de la Patagonie ainsi que certaines parties de l’Amérique du sud.
Charlie Kergavarat
C'est après une transatlantique en 2017 et de nombreux voyages le long des côtes qu'il réalise les enjeux et le besoin d’agir pour la préservation des océans. Sa devise : “Caminante no hay camino, se hace camino al andar”. Avant le départ, Charlie aidera l’expédition T2A à trouver des sponsors et s’occupera de préparer le drone pour l’acquisition d’images pendant cette grande aventure. Il souhaite effectuer des sauts de puce pendant les cinq ans du projet. Géologue, chercheur rataché à l'université de Pau, il fait aussi partie du comité scientifique de l'expédition.
Philippe Fleury
Citoyen du monde, voyageur invétéré, plongeur dans l’âme, il a trempé ses palmes dans de multiples eaux…. mais souvent chaudes ! Enseignant à la retraite, il se consacre maintenant entièrement à la plongée et plus spécifiquement à la formation. La cause environnementale le concerne énormément et l’expédition T2A va lui servir de vecteur pour lui permettre d’apporter sa pierre à l’édifice. Son credo… humour, bonne humeur et optimisme. Il devient le conseiller technique "plongée" de l'expédition.
Ecolo dans l’âme, militante, multipliant les formations dans le développement durable pour partager ses compétences dans un but humanitaire. La passion de la mer est une histoire de famille : père, oncle, cousin, tous les Dellouci ont plongé en Méditerranée. Juriste, elle consacre beaucoup de sa vie à l'océan, dans « Les Surfeuses des îles » (mouvement de surfeuses pour la protection de la mer) et « For a sustainable life - pour une vie durable » (protection de l'environnement). L’expédition T2A lui permet de contribuer à la protection des océans. Polyvalente et pluridisciplinaire, elle sera une assistante à toute l’équipe à bord du voilier.
Tewfik Tahraoui
Médecin, master en anthropologie de la santé, pour Tewfik l’homme est tributaire de son environnement social, culturel, politique, économique et surtout biologique. Zoo-botaniste autodidacte, sympathisant de nombreuses associations de protection de l’environnement, Tewfik a grandi dans une ville côtière d’Algérie où au fil des années il a vu le désastre s’installer. Il apportera ses services de médecin à bord, et collaborera dans les différentes thématiques scientifiques. Polyglotte avec des compétences en pédagogie et en communication, il aidera au volet anthropologique de l’expédition et à la recherche de sponsors, notamment dans le secteur pharma qu’il connaît bien.
Manon Ricard
Après un an à sillonner les routes de Nouvelle Zélande, Manon Ricard souhaite parcourir les océans et devenir skipper. Elle obtient un certificat Matelot de pont à 22 ans et, fascinée par le milieu aquatique, pratique la plongée sous-marine en se profesisonnalisant dans le domaine. Toujours prête à partir pour une nouvelle aventure, elle embarquera avec T2A sur une longue période dans le but d’aller à la rencontre des cultures et d’éveiller les consciences sur les enjeux qui concernent notre planète.
Sara Diquelou
Sara Diquelou est graphiste et illustratrice. Passionnée de communication visuelle et d’échanges interculturels, elle a travaillé comme vidéaste dans le secteur de la musique avant de réaliser son rêve : passer une année autour du monde. Son goût de l'aventure l’a menée jusqu’aux portes de l’Alaska où elle a observé ses premières aurores boréales, puis dans des villages ethniques en Asie du Sud et en Océanie. Elle souhaite désormais s’investir pour la défense des océans et mettre ses compétences au service de cette expédition qui, selon elle, illustre bien les mots de Mark Twain : Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.
Alban Mounier
33 ans, en quête de savoir et de nouveauté. Passionné de voyages, de sport et ravi de partager de nouvelles expériences professionnelles et humaines. Toujours au contact de l’eau, Alban est passé de nageur en compétition à Maître-Nageur Sauveteur puis Instructeur de plongée Padi et SSI. Plongeur expérimenté passionné d’images, il s’est orienté vers la photo subaquatique et avec son appareil, il est prêt pour de nouvelles aventures. Ses nombreux séjours en Australie, Indonésie, Philippines, Mexique, lui ont permis de s’enrichir au contact de la population, de découvrir une faune et flore riche, variée mais fragile : rejoindre T2A est pour lui une évidence.
Paloma Olivares
D’origine espagnole et bilingue français-espagnol, Paloma a grandi à Montpellier proche de la mer où elle s’est initiée au 420. Elle a aussi vécu un an aux Etats-Unis et dix ans en Allemagne. A part ça, elle enseigne la sophrologie dans les collèges, et l’anglais et l’espagnol à des enfants. Elle aime tout ce qui touche de près ou de loin au vivant, naviguer, voyager, les échanges authentiques et l’ouverture d’esprit. Bref elle aime la vie !
Xavier Rossignol
En 2015, Xavier décide de vivre ses rêves plutôt que de continuer à rêver sa vie. Passionné de voile depuis toujours, il fait l’acquisition de son 3e bateau, un Sunrise, le premier capable de partir autour du monde. Avec son épouse et son fils de 3 ans ils partent un an en mer. Xavier nous écrit : « A peine l’aventure terminée, une seule envie, repartir. Mais cette fois-ci dans le cadre dans projet moins personnel et égoïste, dans le cadre d’un projet d’équipe, au service de l’intérêt général, au service de la mer. Lorsque j’ai entendu parler de T2A, il est devenu évident pour moi que c’était ce projet, qu’il fallait que je rejoigne l’équipe ».
Lionel Botta
A 46 ans, Lionel Botta est un plongeur confirmé. Après la Méditerranée où ce Toulonnais a passé son enfance, Lionel à plongé à Bali, en Mer Rouge, aux Philippines, etc. Détenteur du niveau 3 CMAS – FFESSM, il est aussi plongeur nitrox confirmé : « Grâce à mon ami Philippe Fleury, j’ai eu écho du projet T2A dont le programme m’a séduit immédiatement. L’idée de plonger, photographier, filmer pour ensuite témoigner auprès d’un grand nombre de personnes me semble être un axe fort de défense et de préservation de nos océans. »
Marie Dufresne
Elève ingénieur à l’ICAM de Lille, Marie Dufresne a décidé de s’accorder une pause de quelques mois. Alors qu’elle a vadrouillé en Inde les six derniers mois, elle rejoindra le voilier en Amérique du Sud. Elle aime les nouvelles technologies, et a toujours eu un attrait pour le développement durable. Bercée par la mer du Nord depuis son plus jeune âge, elle a des talents de photographe et de monteuse. Sa bonne humeur, son sourire aideront à maintenir une bonne ambiance en mer comme à terre. Ses maitres mots sont simplicité, dynamisme et bienveillance !
Eric Guischer.
Citoyen belge, Eric Guischer est passionné par la plongée qu’il pratique depuis vingt ans avec une petit faible pour les eaux froides ! Il trouve qu’il est urgent de faire prendre conscience au plus de monde possible que les océans ainsi que notre planète se meurent, et qu’il est temps de réagir car nous courons à la catastrophe. L’expédition T2A sera pour lui le meilleur moyen d’y apporter sa contribution. Il compte effectuer des séjours d’un mois. Il est intéressé par Deception Island ainsi que la mer de Baffin mais s’adaptera au planning.
Alain Meynadier
Alain Meynadier est « multi-casquettes » : plongeur de niveau 2, électrotechnicien avec une bonne connaissance informatique, mécanicien diéséliste avec une bonne connaissance de la mécanique marine (il est propriétaire d’un 35 pieds depuis 10 ans), soudeur arc et MIG, cuisinier en mer parlant anglais et espagnol, titulaire du permis mer, Alain à été durant trois ans de chef de bord. Il a également fait le tour de la Méditerranée en solitaire durant 15 mois. Ayant travaillé durant 20 ans comme pompier spécialisé dans la dépollution et les interventions en milieux périlleux, Alain est un défenseur passionné de la mer, membre de Friendsea world.
Chloé Desmarets
Chloé écrit : « J’ai soif de découvertes et ne tiens pas en place, d’où ma passion pour la voile, que j’enseigne l’été comme monitrice, les voyages et mes études en relations internationales. Après une dernière année en alternance dans les relations institutionnelles, j’ai décidé de quitter Paris pour voyager, de préférence poussée par le vent. La protection de l’environnement me tient à cœur, et il m’a alors semblé évident de participer à L’Expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier ». Chloé apportera à bord ses compétences en relations publiques, en rédaction, en cuisine végétarienne, et sa bonne humeur.
Virginie Duhamel
Après une carrière d’experte en pierres précieuses, Virginie s’est recentrée sur Genève, la Haute-Savoie et sa passion pour l’humain. Thérapeute, elle aide depuis 17 ans l'homme dans sa recherche d'équilibre. Ses outils sont la PNL, l’lA Re-information, le coaching, les techniques neurocognitives, l'hypnose. Un métier qui s’enrichit sans cesse. Virginie parraine une petite fille en Bolivie pour lui permettre de se scolariser et se construire dans son devenir. « L’humain est indissociable de sa planète : d'où mon investissement dans l’information du public concernant la protection des mers et le réchauffement climatique ».
Véronique Flament
Véronique Flament a une formation en gemmologie/ métaux précieux et en gestion commerciale. Après un détour dans la distribution, cette passionnée de brocantes et d’objets d’art a choisi de consacrer une partie de son temps à la cause environnementale. Polyvalente et autonome, avec des compétences en organisation, Véronique s’adapte à toutes les situations. Pugnace et perfectionniste, elle mène jusqu’au bout les tâches qu’elle entreprend.
Jean-Louis Palisse
A 16 ans novice pont puis mécanicien de bord, Jean-Louis Palisse passe le capitaine 200 UMS et le Brevet de Chef de Quart 500 UMS Marine Marchande. Il débute la voile à 28 ans et obtient le BPPV. Avec son Moody 346, il sera 10 ans président/ skipper d’une section voile : croisières, convoyages, régates. En 2016 il fait les Canaux de Patagonie et le Cap Horn, et la traversée Hobart-Ushuaia. 2017 sera l’année du Drake et de l’Antarctique (65 ° Sud). Il aime la glace qu’il a connue jeune : Norvège, Cap Nord, Spitzberg, Groenland, Alaska. A terre, il est passé par les RH et les achats. A 60 ans, il souhaite faire avec T2A la Patagonie, l’Antarctique, l’Alaska et le Passage du Nord-Ouest.
Alain Respini
Après onze années passées en tant que directeur commercial au sein de plusieurs laboratoires de cosmétologie, Alain Respini est devenu directeur général d’une structure basée sur la Côte d’Azur. Passionné par la voile - il skippe avec sa compagne leur propre voilier, un Aquila 28 basé en Méditerranée - Alain est un autodidacte. Apnéiste, ayant appris par lui-même la plongée, il a passé l’an dernier le niveau 2 PADI (plongée profonde). Pianiste, chanteur et auteur-compositeur, Alain a également monté des spectacles.
Laurence Bianchini
Titulaire du BTS secrétaire de direction, avec une expérience de plusieurs années dans la fonction, Laurence Bianchini aime voyager ; elle vit six mois par an sur un voilier de 28 pieds qui navigue entre la Corse et le continent. Volontaire, travailleuse et motivée, sensible à la gestion des déchets et au nettoyage des plages, Laurence prêtera main forte à bord dans les domaines suivants : gestion, achats, communication, organisation, reportages photos à terre et cuisine. Artiste, elle aime peindre des grands formats et parle espagnol.
Nicolas Coutable
Artiste photographe engagé pour les peuples d'Amérique depuis plusieurs années, ses travaux sur les friches et l'environnement ont été exposés à Paris, Budapest ou encore en 2017 à la Mairie de Lyon. À Bordeaux, où il a rencontré Sarah Diquelou, Nicolas a exposé ses photographies de Colombie ou encore d'Argentine. Médiateur culturel, il travaille à La Base sous-marine où il apporte également ses compétence en tant que Community Manager, après avoir travaillé plusieurs années au FRAC Nord Pas-de-Calais ou pour une exposition des Reporters Sans Frontières.
Kader Kouidri
Montagnard, alpiniste et accompagnateur en montagne (avec certification handisport), Kader Kouidri a découvert la voile sur les lacs de montagne en 470. Devenu moniteur voile croisière pour l'association des Glénans en 2016, il va consacrer l’année 2019 à passer le BPjeps Croisière. Depuis 1999 cet éducateur sportif qui touche aussi à la menuiserie, à la maçonnerie et à la cuisine garde en été le refuge d'Archiane dans le Vercors. Kader sera disponible pour rejoindre l’expédition à partir de février 2020.
Olivia Sportes
Un peu touche à tout, sportive, rêveuse, aventurière, curieuse, Olivia dit d’elle : “ce que j’aime par dessus tout, c’est prendre le temps de vivre. Après dix ans passés dans le marketing, en 2016, je pars à la découverte du monde. Treks, plongées et wwoofing m’ont rapprochés de la nature, mais j’y ai découvert une planète que nous détruisons à petit feu. De cette aventure, m’a vie a été transformée. Désormais végétarienne, j’essaie d’avoir un mode de vie qui se rapproche du zéro déchet. Tel un colibri qui fait sa part, l’aventure T2A c‘est pour moi l’opportunité de sensibiliser de nouveaux colibris, car « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». En plongée, Olivia Sportes est titulaire du niveau 2 ANMP.
Marion Cadiou
Artiste, aux Beaux-arts Marion Cadiou a questionné par sa pratique plastique les liens entre l’art et la science. Passionnée par le voyage, elle découvre, son sac sur le dos, l’Asie du Sud-Est en 2017. « Aujourd’hui photographe, j'écris aussi lors de mes voyages. Mes études d'art font de moi une personne créative et pleine d'idées au quotidien et les métiers de services que j’ai pu exercer m’ont donné un goût prononcé pour l’humain. Ex-scout, végétarienne, randonneuse et plongeuse, je suis très touchée par la question de l'environnement et les possibilités d'actions pour sa conservation ». Marion Cadiou a obtenu en 2016 l’Open water PADI.
Michele Barbieri
Depuis toujours, Michèle Barbieri est très sensible à ln protection de la nature. Un voyage en bateau-stop jusqu'en Polynésie lui a permis de voir la beauté de notre planète et de constater le peu de soin que les hommes en prennent. La voile est sa passion, découvrir, apprendre, voyager ses moteurs. Formée aux métiers de la voile (Brevet de Patron de plaisance à la voile), de la cuisine, elle est aujourd’hui Professeur des écoles. Grâce à son temps libre, elle fut aussi marcheuse, écovolontaire, conférencière. Intuitive, elle apportera à l'expédition son sens marin et son expérience.
Romuald Trinquier
Ingénieur en gestion de projets industriels et issu d’une formation scientifique, Romuald Trinquier écrit : « je suis un amoureux des océans et des grands espaces. Passionné de plongée sous-marine (niveau 3 CMAS) et de voile, je suis en quête de découverte et d’aventure, je voyage aussi souvent que possible. A travers mes différents voyages, j’ai pu constater les effets du changement climatique, montée des eaux, blanchiment des coraux… En tant que fervent défenseur des océans je souhaite prendre part à cette expédition afin de faire prendre conscience au monde qu’il faut agir maintenant ».
Sherilyne Darmon.
Jeune diplômée en économie et sociologie, elle est militante en faveur de la protection animale et de l'environnement. Grande voyageuse, elle a été plusieurs fois volontaire à l'étranger dans diverses associations afin de sensibiliser les populations à la cause animale ; elle rejoint T2A afin de faire de même mais cette fois pour l'océan et pour les hommes. Passionnée, motivée et bilingue anglophone, elle sera chargée de prendre des photos lors de l'expédition et de trouver de nouveaux sponsors.
Marielle Bernabeu
Marielle a grandi avec la nature, dans les hauts cantons du Languedoc. Elle ne découvre la voile que sur le tard, au chantier naval du Père Jaouen. Et c'est décidé : la mer ne la quittera plus ! Préoccupée par le devenir de l'environnement et de l'humain, l'expédition T2A est pour elle l'occasion de participer à une prise de conscience. Marin professionnel et touche à tout, elle est toujours d'humeur pour aider et pour transmettre sa joie de vivre. Elle appuiera l'équipe selon ses capacités, et apprendra vite ce qu'elle ne sait pas encore faire. Elle participera à la recherche de sponsors, aidera aux navigations selon les plannings et prendra part au volet pédagogique.
Marie Roosen
« S'il n'y a pas d'autre jeunesse que celle du cœur, des envies et de l’enthousiasme, alors je suis prête à continuer à vivre de manière aventureuse et intense. Prête aussi à m’engager pleinement pour des causes importantes, prête à apprendre, à découvrir. J’aime la mer passionnément. J’aime les rencontres et j'adore voyager ». Marie apportera à bord des compétences en animation, l’habitude de rédiger des articles et de communiquer sur place, son expérience de la gestion des groupes adultes ou enfants, et un sens relationnel développé. Petit plus, Marie ajoute : « Et si je ne sais pas naviguer : je sais cuisiner ! ».
Margaux Servant
Margaux, originaire de La Rochelle, est habituée à explorer et à s’interroger sur le monde qui l’entoure. C’est naturellement qu’elle souhaite le défendre en commençant par changer son quotidien. T2A apparait comme une suite logique dans sa démarche. Cette étudiante en médecine aime se rendre utile, ce qui l'a menée à participer à plusieurs associations. Curieuse, elle aime pratiquer de nombreuses activités : randonnée, photographie, couture, surf, aquarelle. En cas de mauvais jour sur le bateau, elle saura redonner le sourire grâce à son optimisme et sa persévérance.
Océane Lumay
Océane Lumay est en deuxième année de bachelier en information et communication à l'UCLouvain. Passionnée par le voyage et les langues, elle s’est lancée pour sa première aventure en solo au cours d’un PVT en Australie avant d'entamer son cursus universitaire. Elle parle français, anglais, néerlandais, se débrouille en espagnol et apprend en ce moment le portugais. Sa curiosité et sa motivation à lutter pour les hommes et le monde l’ont poussée à m’embarquer dans l’expédition T2A dans laquelle elle va appliquer ses connaissances communicationnelles.
Joana Zidane
D’origine française, Joana étudie les sciences politiques à Montréal. Elle est spécialisée en coopération internationale et est passionnée par les voyages. Partageant les valeurs de l’expédition, notamment pour l’impact du réchauffement climatique sur la santé mondiale, elle aidera le projet à trouver des sponsors avant le départ et à créer un premier contact avec certaines universités canadiennes. Du haut de ses vingt ans, Joana est curieuse et souriante et compte bien apporter de la bonne humeur à bord. Elle dispose d’un Niveau 1 PADI.
François Mas.
Originaire de la Corrèze, François grandit au plus près de la nature. Après des études de géographie à Toulouse, où il aborde les problématiques liées au changement climatique et aux diverses pollutions, il part faire le tour du monde en sac à dos. Il passe le niveau 1 PADI alors qu’il est en Indonésie, puis continue à pratiquer la plongée dans un club à son retour en France. Il s’initie à la navigation en Bretagne, et se découvre une passion. Il pourra aider activement l’équipage de T2A, notamment en tournant des vidéos sous-marines.
Alix Bayle
Passionée de voile, plongée et tout sport acrobatique et de glisse, l’embarquement sur le Tour des deux Amériques sera la première étape dans l’objectif d’Alix de remettre le voyage et la découverte au cœur de son projet de vie ; auquel vient se greffer le désir de mieux comprendre et connaître les écosystèmes marins et comment les préserver. Personne curieuse et engagée, Alix possède des compétences en communication et un niveau 2 de PADI, qui lui permettront de contribuer à la diffusion des problématiques de l environnement, de leurs solutions, et de l’engagement que chacun peut avoir.
Anna Brien
Anna participe au T2A car cela lie ses deux aspirations du moment, l’écologie et le voyage. Elle voyage depuis 2 ans avec Aymeric Dujardin pour leur projet « Le Journal Terre Native » à travers lequel ils rencontrent des acteurs de la transition écologique et spirituelle. « Je suis très enthousiaste à l’idée d’embarquer sur un voilier et d’en apprendre plus sur le monde de la mer tout en étant au service du projet » écrit Anna. Elle apportera à T2A ses connaissances en photographie, en cuisine, en communication, en prise de décision en groupe, et de l’écoute, de la méditation, du yoga ainsi qu’une bonne dose de bonne humeur.
Quentin Abeille
Quentin a 21 ans et est actuellement en école d’ingénieur à Toulouse. Passionné de voile depuis qu’il a 8 ans il a pratiqué ce sport en compétition sur de nombreux supports avant de se tourner vers l’habitable. C’est également un habitué des voyages et des destinations lointaines puisqu’il a vécu à Mayotte et à la Réunion avant de revenir en Bretagne. Il profitera d’une période de césure dans ses études pour rejoindre l’expédition pour laquelle il travaillera à la recherche de financements et de soutiens scientifique.
Lindsay Berruyer
Lyndsay écrit : « Amoureuse de la mer, passionnée de sports nautiques et curieuse de nature, cette expédition est pour moi une opportunité pour découvrir, partager, voyager et apprendre. Souriante, dynamique et positive, je saurai m’adapter et participer pleinement à la vie à bord ». Titulaire d’un master environnement et d’un BPJEPS voile, ses connaissances scientifiques, nautiques, son aptitude au travail en équipe, à la vulgarisation des connaissances et à s’exprimer en public serviront au sein de l’expédition. Pour Lindsay, « C’est une expérience rêvée pour concilier la voile et la science ».
Jordan Doumengeux
Jordan sillonne les routes d’Amérique centrale et du continent nord américain depuis 2016. Après des études de Gestion à Rimouski il décide de partir seul et sans argent, avide de rencontrer les gens et la beauté que les paysages ont à offrir sur son chemin. Arrivé en Amérique centrale il décide de monter un projet de récolte de fonds pour aider les plus démunis. L’idée de contribuer à l’aventure de T2A est pour lui une suite logique dans son envie de concilier joie de vivre et soucis des autres et de la nature.
Emeline Frambourg
Emeline Frambourg, 26 ans, est protectrice de la nature. Diplômée d'un BTS Gestion et protection de la nature puis d'une licence en Médiation scientifique et éducation à l'environnement, Emeline travaille dans des planétariums avant de prendre goût aux voyages : elle s'immerge 3 mois en Norvège en 2017, à la rencontre de la culture nordique ten traversant le pays. Depuis, elle continue sac à dos à l'autre bout du monde tout en vivant ses passions de la montagne, de la photographie et de l'écriture. Emeline aidera à la recherche de sponsors, au développement de la partie pédagogique de l'expédition et à l'organisation des conférences.
Claire Mounier
Claire a toujours eu une grande soif d'aventures et de découvertes. Après avoir travaillé plusieurs années au Vietnam dans le domaine de la préservation du patrimoine, elle a passé un an à sillonner le Canada, où ses pérégrinations l'ont menée jusqu'au Yukon et en Alaska. Aujourd'hui, elle travaille dans l'édition, se passionne pour le voyage, l'illustration et la céramique, et s'engage dans différents projets associatifs. Polyvalente, curieuse et touche-à-tout, elle veut s’engager au service de l'environnement et dans l'aventure scientifique et humaine de l'expédition T2A.
Michael Dzokoto
A 32 ans Michael est papa d'une fillette de 3 ans 1/2. Amoureux de l’océan et de la voile, il a passé le permis côtier et prépare le hauturier. Il possède un niveau professionnel de plongée (accompagnateur de palanquée "Dive Master"). Passionné par les grands voyages, là où on a le temps de prendre ses marques, d'échanger, créer des liens, il suit une formation en anglais pour passer le "TOEIC". Persévérant, bouillonnant d'idées, ce jurassien a créé son entreprise à Besançon, spécialisée dans l'expédition de colis internationaux. Il aime relever les défis et sollicitera ses réseaux pour que T2A soit une réussite.
Pia Mathias
Pia Mathias est une jeune Lilloise de 21 ans exilée à Toulouse pour des études d’ingénieur en aéronautique et spatial. Passionnée par le ciel mais aussi par la mer, elle pratique la voile légère depuis de nombreuses années et rêve depuis toujours de dépasser les côtes et prendre le large. Sportive et habituée des voyages, elle profite d’une césure dans ces études pour rejoindre T2A, et s’engager dans un projet qui lui tient à cœur. Elle apportera la légendaire bonne humeur chti à bord de l’expédition et participera à la recherche de sponsor en plus de la navigation.
Axel Paillard
Nantais, formé 3 ans en hôtellerie-restauration, Axel part à 19 ans en l'Argentine, pays dont il tombe vite amoureux. Découverte de l'Amérique Latine puis des Caraïbes où il découvre la voile, des îles du Pacifique, de la Nouvelle Zélande, l'Australie et l'Asie. A 23 ans, il partage les préoccupations de T2A pour la planète, et l’idée d’agir par des conférences. Le volet anthropologique et les contacts locaux sont primordiaux pour lui. A bord, il va apprendre sur l’océan, le réchauffement et la navigation. Il apportera son expérience des moments difficiles, sa bonne humeur, ses compétences de cuisinier, sa connaissance du terrain et de l’espagnol.
Camille Josseaux
Camille est une jeune Rémoise de 24 ans en poste comme ingénieur Recherche & Developpement logistique à Buenos-Aires en Argentine. Passionnée de nature, de voile et de navigation, elle désire en apprendre plus sur nos océans et comprendre comment l’homme interagit avec son environnement. Ayant étudié auparavant les sciences politiques et sociales, Camille a autant d’interét pour l’humain que pour l’environnement. Elle souhaite mettre àprofit son sens de l’organisation et de la communication, sa résilience et son énergie pour s’impliquer dans le T2A.
Charlotte Kerjean
A 31 ans, Charlotte habite Whitehorse (Yukon, Canada). D'origine normande (racines viking), elle passe sa maîtrise d'enseignement des sports de plein air en Norvège, puis guide des groupes sur les glaciers islandais et néo-zéalandais et constate la fonte des glaces. En 2015, elle passe 2 ½ mois à bord du voilier Infinity aux îles Tonga & Samoa. L’eau est son élément. Elle pratique tous les jours la natation, a une formation de sauveteur en mer (SNSM) et plusieurs saisons sur les plages à son actif. « A l'équipage, j'apporterai mon énergie, et dynamisme, joie de vivre, et bons petits plats ».
Tom Ruault
Tom sera diplômé ingénieur ICAM dans deux ans. Avant cela il va mener un projet écologique et solidaire durant lequel il voyagera 10 mois. La transition écologique n’est plus seulement une perspective pour sa carrière, c’est devenu une obligation. Il souhaite faire partie de l’équipage quelques temps afin d’apporter sa pierre à l’édifice, tout en apprenant énormément de cette expérience. Agé de 20 ans il apportera une implication sérieuse et motivée ainsi que sa joie de vivre pour l’expédition.
Xavier Menguy
Elève ingénieur à l’ICAM de Nantes, Xavier est passionné d’écologie et d’humanitaire et voudrait travailler pour ces causes au sein d’ONG. Membre de l’association du développement durable de son école, il adore voyager et réaliser de nouvelles expériences. Après avoir réalisé des actions humanitaires en Tanzanie, parcouru le Canada et l’Alaska et étudié en Pologne, Xavier a décidé de faire une pause dans ses études pour réaliser un tour écologique et solidaire de l’Amérique du Sud. Il apportera son dynamisme et ses compétences au sein du projet.
Paul Tervel
Paul a 24 ans. Après une licence en fac de sport, ce Bisontin obtient un master MEEF (Métiers de l’Education de l’Enseignement et de la Formation) et devient cinq mois professeur des écoles. Titulaire du BAFA, Paul est capable d’animer des activités à visée pédagogique auprès d’un jeune public. Après un voyage en solitaire en Nouvelle-Zélande pour améliorer son anglais, Paul désire désormais voyager par mer de port en port. Ce jeune homme déterminé à acquis l’habitude du travail en équipe, à la fois lors de ses pratiques sportives, et lors de ses jobs d’été.
Lilian Ferret
Lilian Ferret est animateur nature. Il interviendra lors des conférences et de travaux de recherche en sciences participatives. Ex-étudiant en Gestion & Protection de la Nature, Lilian a déjà pu faire un stage de deux mois en réserve marine. Titulaire du bac Littéraire Cinéma, ses compétences de rédaction et réalisation seront utilisées au cours de l’expédition, notamment lors des interviews, photographies, etc. Lilian a également l’habitude de filmer au drone. Plongeur niveau 1, chanteur/guitariste, il fera partager partager ses ondes musicales aux autres membres de l’équipage !
July Brouard-Faure
July se définit comme "une simple terrienne qui cherche à s'éloigner des sentiers battus, en continuant l'apprentissage d'une existence toujours plus ethique". Son admiration et son respect pour l'environnement génèrent l'ambition de rejoindre le crew T2A. Amoureuse de la Mer, elle a soif des connaissances qui s'y rapportent. Autant un boute-en-train plein d'autodérision que calme et discrète, July est un couteau suisse aux tendances perfectionnistes. Elle apprend vite et aime les défis. Un peu autodidacte, complètement curieuse et adaptable, elle apportera son aide dans tous les domaines où elle sera utile.
Mathilde Legras
Mathilde a grandi dans la nature normande et corse et veut la protéger. A 25 ans, diplômée en politiques publiques, spécialisée en gestion de l'environnement, elle connaît les enjeux et a déjà participé à des projets de protection des forêts en Inde et au Népal ; elle a animé des débats sur des sujets actuels proches de ceux de T2A. Elle veut aujourd'hui éveiller les consciences à la sauvegarde des océans et de leur biodiversité, autre poumon de la planète. Passionnée de voyages, elle sillonne début 2019 la Patagonie à pied, puis le reste de l'Amérique latine. Mathilde apportera à bord sa connaissance de la région et sa bonne volonté.
Fanette Germain
Originaire de Bretagne, Fanette a grandi au contact de la nature. La lutte pour l'environnement est au centre de ses préoccupations depuis longtemps. Voyageuse invétérée, elle est adepte du vélo, et a traversé la France et la Suisse en pédalant pour rejoindre l'Italie. Elle aime aller à la rencontre des gens. Actuellement professeure de français, elle mettra ses compétences en matière de pédagogie et de rédaction au service de l'expédition, mais aussi ses talents de cuisinière végétarienne, et sa bonne humeur !
Mathias Taisne
Passionné par l’environnement et le milieu marin, Mathias possède un diplôme d’ingénieur dans l’agroécologie et veut participer à leur protection en passant à l’action. A 27 ans, ce sportif qui a découvert la voile aux Glénans est motivé par le projet T2A, dans lequel il voit « une aventure collective pour apprendre, se découvrir et surtout découvrir les autres ». il partagera ses connaissances scientifiques et sa joie de vivre sur le bateau. Aventurier dans l’âme, c’est en voyageant en Amérique du Sud qu’il réalise les problèmes de pollution, les besoins de gestion des déchets et de sensibilisation.
Emmeline Mingam
Bretonne, cette orthophoniste de 27 ans qui vit à Brest est passionnée par la mer et la voile depuis son enfance. Sensible à l’écologie et à l’environnement, Emmeline soutient T2A et apportera son aide en trouvant des nouveaux sponsors. « Emerveillée par la liberté que procure la voile sur l’eau », dotée de compétences en voile acquises dans le Golfe du Morbihan, elle aidera à la navigation autour des Amériques. Cette végétarienne qui aime cuisiner pourra également concocter des bons petits plats. Kenavo ar wech all !
Victoria Gourong
Victoria vient de l’île de Groix (Bretagne). A 17 ans elle part un an au Brésil réaliser plusieurs actions humanitaires. Respectueuse de la nature et de l’homme, elle voit T2A « comme une excellente occasion de sensibiliser les personnes au plus près, de favoriser la recherche de solutions et de vivre de beaux échanges culturels ». Ses études en tourisme, ses expériences professionnelles, sa maîtrise du portugais du Brésil, de l’anglais et de l’espagnol lui permettront d’aider T2A dans l’organisation de conférences, la recherche de sponsors et les interview des populations locales. Ses stages aux Glénans sont un « plus ».
Bastien Couvreux
Plongeur expérimenté (niveau 3 CMAS), Bastien a plongé en eaux froides au début de l'hiver dans le Saint-Laurent. Moniteur de voile légère, titulaire du Bafa et d’une licence en Administration Economie Sociale, Bastien est parti passer son Bachelor en Business Administration au Canada, avant de revenir en France faire une Licence Pro Animation Gestion et Organisation des Activités de Pleine Nature. Cycliste amateur de défis, il a récemment traversé l'Europe à vélo. Ce sportif habitué des voyages au long cours apportera son dynamisme, sa bonne humeur, ses compétences pour les plongées, la navigation et la recherche de sponsors.
Mathilde Pied Diplômée de Neoma Business School en marketing touristique, Mathilde a pris conscience de l’urgence d’agir pour sauver la planète en découvrant la fonte des glaciers andins lors d’une traversée de l’Amérique Latine en sac à dos, la mort de la biodiversité dans l’étang de Thau en y pratiquant la voile et la mort des coraux philippins lors de plongées. Forte de nombreuses expériences professionnelles en vente, marketing et communication, trilingue français, anglais et espagnol, Mathilde apportera à T2A son aide sur le volet pédagogique et sa pratique de la navigation.
Clémence Wadoux
Clémence (23 ans) connaît déjà les Canaries, les îles du Cap Vert, les Antilles et la Colombie où elle est allée depuis Caen sur un voilier de 12,5m. Issue de la Toulouse Business School, Clémence veut s’engager face à la situation écologique et aidera à trouver des sponsors en parallèle de son travail de chargée de développement dans une start-up de l’ESS. Elle participera à bord aux volets pédagogique et anthropologique de l’expédition, et à la rédaction des communiqués. Plongeuse, elle détient un niveau 1 PADI. Elle parle anglais et espagnol.
Michelle Trarbach
Architecte franco canadienne (26 ans), Michelle est l'auteur d’un mémoire sur l’architecture d’urgence (reconstruction après un tsunami). Pour elle, l’importance de l’architecture face aux contraintes du réchauffement climatique est considérable : hausse du niveau des océans, disparition de territoires, préservation des espaces littoraux, gestion des déchets de la construction, baisse des GES des bâtiments : « Aujourd’hui, il faut repenser nos villes et nos territoi-res ». Créative, passionnée par les voyages, Michelle maîtrise l'anglais et l'espagnol. Elle connaît le Mexique, l’Amérique centrale, les USA et le Quebec.
Louise Branlard
Louise Branlard est étudiante au Danemark. Cette licenciée en Physique appliquée à l'Astrophysique et à la Météorologie y passe un master en Changement climatique : sciences naturelles et sociales combinées. Elle aime surfer, nager et randonner hors des sentiers battus. Peu faite pour la vie citadine, Louise a continuellement soif de voyage. Fascinée par ce qui fait les différences culturelles entre les hommes, et persuadée que l’échange fait de nous des êtres meilleurs, elle apportera son esprit critique, sa capacité d’écoute et son désir de justice sociale et environnementale.
Lisa Brugheat
Bientôt diplômée d’école de commerce, Lisa Brugheat souhaite quitter la France pour partir sillonner l’Amérique du Sud tout en respectant ses idéaux écologiques. C’est en cherchant à rejoindre un voilier pour une transatlantique qu’elle découvre l’expédition Tour des deux Amériques. Elle apportera ses compétences en communication et en démarchage ainsi que toute sa bonne humeur sur le bateau. Directrice artistique dans une agence de communication, elle a voyagé en Indonésie et pratique le ski, le yoga et la randonnée. Elle aime les sports en pleine nature et rejoindra le Groupe plongée à bord de l'expédition.
Nicolas Grist
Issu d'une filière Management du Sport, Nicolas Gristi (24 ans) a décidé de se lancer un défi : celui, à partir du 1er mai 2019, de voyager uniquement à l'aide de ses jambes et de son vélo enfin d’avoir le moins d'impact possible sur l'environnement. Soucieux des petites actions (ramasser des déchets, faire attention à ce qu'il mange et ce qu'il consomme comme énergie), ce lecteur d’Isabelle Hoareau (“Des îles à l'horizon”) possède le Bafa, et des bases de Yoga et de communication qu'il mettra en œuvre à bord. Ses études lui ont fourni des connaissances dans l'organisation événementielle et il aidera à l'organisation des conférences.
François van den Berghe
François van den Berghe (30 ans), est chef de projets photovoltaïque et éolien en France et à l’étranger. François est diplômé d’un master dans l’environnement et il a toujours été passionné par le développement durable et les voyages. Des missions humanitaires (Madagascar dans le médical ; Haïti et le Laos avec Electriciens Sans Frontières), des voyages d’études (Afrique du Sud et Malte), une expatriation et de nombreux voyages à l’étranger l’ont habitué à évoluer dans un milieu multiculturel. Il est titulaire du niveau 1 de plongée FFESSM (il va passer bientôt le niveau 2) et d’un permis côtier.
Cloë Nicolas
A 27 ans, originaire du pays basque, Cloë Nicolas est depuis toujours proche de la nature : escalade, surf, plongée (niveau 1 Padi), randonnées, etc. Après deux années de licence en science de l'information et de la communication, elle poursuit des études en anthropologie, spécialisées sur les pédagogies alternatives, puis réalise de nombreux projets pédagogiques (associations, centres autogérés, colonies, stages d'éducation populaires, etc.). Passionnée par les voyages et les rencontres, elle parle français, espagnol (bilingue), anglais et comprend bien le portugais.
Lucille Picard
Lucille Picard est passionnée par l’océan. Elle a étudié l’océanographie à Valence (Espagne) et vient de finir des études d’ingénieur en agronomie tropicale. A 23 ans, elle a déjà travaillé sur l'influence du réchauffement climatique sur le lac Titicaca (Pérou/Bolivie), et sur une étude d'impact pour Ifremer à Tahiti. Persuadéee que le changement se trouve dans les petites actions et les échanges interculturels, elle s’enrichit de chaque moment vécu lors de ses voyages en Amérique centrale, sur les routes andines, en Asie ou au milieu du Pacifique. Musicienne, elle apportera son dynamisme et sa joie de vivre à bord.
Julie Degas
Julie a 22 ans. Après un DUT Tech de Co, elle décroche un Bachelor Responsable opérationnel international (spécialisation humanitaire et développement) et devient major de sa promo à l'ESCD 3A de Lyon. Habituée par son père à la vie sur un bateau, elle a déjà voyagé au Népal, en Indonésie, au Mozambique, avec des objectifs solidaires ou de recherche scientifique. Julie a créé en 2017 l'association L'Abeille, qui s'occupe de trouver pour les étudiants des stages dans l'humanitaire. Elle parle portugais, espagnol, anglais et italien, adore les animaux et apportera avec elle sa guitare et ses chants. A bord, elle s'occupera de médiation et de recherche de fonds.
Yves Veron
Comme les grands malouins Yves Veron a deux passions : la voile et les voyages. Du dériveur aux croisières, il navigue depuis 2013 sur un catamaran de 60 pieds avec des personnes en souffrance. Après une carrière commerciale sur les cinq continents essentiellement axée sur la construction navale et les équipements de sécurité maritime, il est trilingue anglais-espagnol, rompu à la recherche de contacts. Aujourd’hui retraité, il voyage autrement : quatre mois au Pérou et Equateur dans les écoles des bidonvilles. D’un contact facile, enthousiaste, il garde la même envie de découverte et de partage.
Thomas Soulier
Thomas sera diplômé en décembre d’un master à Toulouse Business School, puis travaillera à Londres dès mars 2020. Il souhaite mettre ce temps libre à profit pour servir une cause qui lui est chère : l’écologie. Ses voyages en voilier en Polynésie Française, en Sardaigne, en Croatie et en Corse lui ont fait réaliser l’importance d’une action rapide pour la planète. Ayant vécu à Londres et Milan, et fort de ses origines andalouses, Thomas parle l’espagnol, l'anglais et l’italien. Il sait naviguer, manipuler un drone, plonger, et est détenteur du PSC1 ; des compétences utiles pour l'expédition.
Philippe Larribaut
Pyrénéen, adepte des courses en montagne, Philippe Larribaut est venu tardivement à la voile après avoir traversé l'Islande en VTT et la Laponie l'hiver en autonomie. En 2008, il part quatorze mois avec sa femme et ses deux enfants sur un voilier avec transat aller-retour. Musicien dans un groupe pop-rock, sa guitare n'est jamais loin. Cadre retraité de la SNCF, passé par la conduite puis spécialisé dans la sécurité ferroviaire, très sensible à l'écologie et conscient des échéances, il apportera au projet sa disponibilité rigoureuse, sa bonne humeur et son sens de l'organisation.
Marine Jezequel
A 23 ans, Marine Jezequel vit en Australie. Issue de parents bretons, passionnée de nature, préoccupée par l’environnement et sa sauvegarde, elle conçoit son engagement dans la lutte active en faveur de la planète et du ‘’vivant’’. Monitrice d’équitation, elle connait la pédagogie, l’importance et le plaisir de la transmission des connaissances. Suite à un voyage en OZ elle est frappée par l’urgence à protéger les océans. Membre du MENSA France, elle offre sa créativité, ses qualités humaines et sa détermination pour s’investir dans une cause planétaire, et vitale. Elle détient un diplôme de premiers secours et a travailé dans la restauration.
Coralie Salaün
A 7 ans Coralie Salaün traverse l'Atlantique en famille et apprend à lire à bord du voilier Belle étoile. Aujourd’hui auteur-photographe, elle réalise des projets avec le soutien d’institutions, de galeries et de ministères et enseigne la photographie en milieu scolaire et pénitencier. En 2019, elle donne une conférence sur son travail en Chine, mobilise des photographes à travers le monde pour soutenir le mouvement des enfants qui réclament une justice climatique et arpente le Limpopo en sac à dos. Désireuse de mettre ses compétences au service d'une équipe et de la préservation des océans, elle rejoint l'expédition T2A et espère, avant le départ, passer son niveau 1 de plongée.
Hélène Gira
Hélène, 27 ans, est licienciée en biologie et détient un master en ergonomie. Compétente en gestion de projet, elle souhaite s’engager dans le tour des deux Amériques afin de participer à l’enrichissement de la recherche scientifique et à la vulgarisation des données liées à la biodiversité marine et au réchauffement climatique. Son bagage universitaire lui donne une capacité à suivre rigoureusement des protocoles de recueil de données à visée scientifique ou anthropologique. Son goût pour la nature et les voyages en font une équipière avide de découvrir des cultures, des environnements et des personnes de différents horizons.
Laura Humbert
Laura est graphiste-webdesigner. Passionnée de nature et d’écologie, elle tient depuis 3 ans un blog qui parle de zéro déchet et de nouvelles façons de consommer. Après avoir arpenté l’Amé-rique du Sud en sac à dos, elle est tombée amoureuse de ce continent, et décide de s’engager activement pour la prévention du réchauffement climatique et des dégâts du plastique dans l’océan en rejoignant T2A. Curieuse, touche à tout, elle aidera à la communication, la gestion des ré-seaux sociaux et la création du site avant le départ et pendant l’expédition.
Karine Mahi
Ingénieur en informatique dans le Sud de la France, à 33 ans Karine Mahi décide qu’il est temps de réaliser une césure dans sa vie professionnelle pour défendre une cause qui lui tient à cœur. Habituée des grands espaces, elle pratique escalade et alpinisme, elle s’enthousiasme pour le projet T2A qui allie aventure au grand air et défense de l’environnement. Karine a découvert la voile en 2015 grâce à l’association des Glénans, depuis elle navigue régulièrement en Méditerranée et participe à des régates sur différents supports.
Marie Zion
Diplômée d’un double master en biologie et océanographie, Marie poursuit sa passion pour l’océan en obtenant 2 niveaux de plongée (PA 20 et PE40) et 3 certifications de conservation marine sur la replantation des coraux Thaïlandais. Sauveteuse sur les plages landaises depuis 10 ans (titulaire du BNSSA), c’est aussi le secourisme, la cohésion d’équipe et l’adrénaline des interventions qui l’animent. Voyager, découvrir et informer les populations sur l’avenir de la planète est pour elle devenu une priorité. Son anglais est courant et elle détient le permis côtier.
Marion Martinez
Marion est dotée d'une énergie communicative, qui l'aide à embarquer son entourage professionnel et personnel dans ses projets. Toujours positive, profondément engagée, elle travaille depuis plusieurs années dans la RSE, et consacre beaucoup de son temps libre à la protection des océans, notamment avec l'association Sea Shepherd dont elle est bénévole depuis 2018. Conférencière, trois fois marathonienne, boxeuse depuis 2010, Marion est une battante qui se dépasse dans le sport, pour le climat, et pour les animaux. A bord, sa bonne humeur, sa débrouillardise et sa curiosité seront ses principales qualités.
Guillaume Chero
Originaire de Bretagne, il a grandi au bord de la mer, et navigue sur des bateaux depuis toujours. Il a étudié l’océanographie lors de sa licence au Canada, puis la reproduction des baleines à bosses en Nouvelle-Calédonie lors de son master. Doctorant au sein d’un institut de recherche à Berlin (IZW), il s’intéresse aux effets du changement climatique sur les populations animales d’un point de vue théorique. Plongeur titulaire du niveau 3 Padi, et amateur de vidéo naturaliste, il partage depuis 2014 ses aventures en vidéos afin de faire découvrir la biodiversité à un large publique.
Léo Béroud
Léo (20 ans) a décidé de suivre une école de montagne pour faire de cette passion son métier, et passe en parallèle un bac dans l'environnement. Lors de cette formation il se passionne pour l'écologie et réalise vite l'urgence à lutter contre le changement du climat. Pisteur-secouriste, grimpeur, il est habitué à la prise de décision en milieu naturel dangereux. En résonnance avec la montagne, il découvre la mer en Polynésie à bord du First 35 "Oula La", où il affrontera plusieurs situations de crise en tant qu'équipier second, lors d'une navigation totale de 4.000 milles.
Gauthier Heronneau
Diplômé d’un Master de Droit Maritime (CDMO de Nantes), Gauthier s’est ensuite dirigé vers sa passion première, le monde de la mer et de la voile, pour devenir Responsable technique d’une base de location de voiliers en Corse. Que ce soit à bord d’un 420 ou d’un catamaran de croisière, il est toujours prêt à hisser les voiles. Moniteur fédéral de plongée (MF1), moniteur pour les permis côtiers et hauturiers, à bord Gauthier pourra apporter ses connaissances techniques, pédagogiques et son énergie pour préserver l'environnement marin.
Rémy Gourhand
Rémy a travaillé en 2015 et 2016 à l'association Tillandsia, sur l'apprentissage de la réalisation de documentaires à visée anthropologique. Plongeur, Rémy détient un diplôme Padi niveau 1. Grimpeur, alpiniste débutant, Rémy après un bac Sciences et technologies du management s'est orienté vers LEA (Bordeaux), puis une licence et un Master 1 en Anthropologie (Lyon 2). Il détient aussi un certificat d'Opérateur de parcours acrobatique en hauteur, ce qui en fera le candidat désigné d'office aux travaux dans la mâture du bateau et au volet anthropologique de l'expédition.
Sophie Mami
Sophie est passionnée par la mer, les voyages (New-York, Californie, Espagne, etc.) et les grands espaces. Elle détient un master en commerce international, et se spécialise dans le Droit maritime, les transits, les formalités douanières et les services à la grandeplaisance après un cursus à l'Institut national des transports internationaux et des ports. Elle possède le permis côtier. Sensible à l’environnement et à la biodiversité, elle a géré le ramassage des déchets sur la côtehyèroise. Sportive, curieuse et autodidacte elle apportera son aide dans divers domaines : photographie, contacts avec les populations, etc.
Aurélien Maillot
Après un bac scientifique avec mention Très bien, Aurélien obtient un Master en Science et Technologies du vivant à L'Ecole polytechnique de Lausanne. Cet ingénieur biomédical qui travaille au développement de programmes d'intelligence artificielle œuvre aussi dans la médiation au Service de Promotion des Sciences de l'EPFL (publics de 8 à 14 ans). Plongeur N4 CMAS (longeur autonome jusqu’à 60m et guide de palanquée jusqu’à 40m), en 2019 il est auteur et co-auteur de plusieurs publications scientifiques dans des revues en langue anglaise.
Léo Marron
Après un Master Pro Géosciences, Exploration et Risques à l’Université Joseph Fourier (UJF), Grenoble 1, précédé d'une licence STE (Sciences de la Terre et de l’Environnement) à l’UJF, Léo est devenu auto-entrepreneur dans l'évènementiel. A 27 ans, pilote de drone professionnel, diplômé de l'Aviation civile pour le pilotage de drone en prises de vue et inspections, il filmera la nature à bord de l'expédition. Ses compétences en vidéographie, montage, prise de son, musique, infographie et retouche photo seront utilisées à bord.
Antoine Van Oost
Antoine Van Oost est belge et a 21 ans. Il a voyagé par ses propres moyens pendant un an dans un van en Australie. Il a accompagné des scientifiques sur le terrain en Afrique du sud, spécialisés sur le grand requin blanc, et étudie actuellement la biologie marine à l’Université Laval au Canada. Il est Padi Diver Advanced, et a navigué dans les îles grecques et autour de la Corse. Antoine a joué un sport d’équipe à haut niveau et partage ses connaissances en entrainant des enfants. L’expédition compte sur ses connaissances du milieu marin, sa pédagogie et son énergie à trouver des sponsors.
Emma Schoepp
Titulaire d'un DEA de Littérature comparée, cette agrégée de lettres modernes a enseigné en université et en lycée, en France et en Afrique. Parlant 7 langues dont l'anglais, l'espagnol, et le portugais, Emma est une plongeuse N4 qui pourra encadrer des palanquées en exploration et faire des initiations à la plongée. Skipper, elle possède deux petits bateau de 6 m et 7 m, et détient le Yachtmaster Coastal du RYA, la certification CFBS-STCW 95, et un diplôme de Chef de cuisine embarqué HAACP (prévention, hygiène, sécurité et premiers secours). Enjouée, le moral au beau fixe, à l’aise en mer par petit et gros temps, elle s’intégrera à l’équipe dès août 2020.
Roman Delperier
Originaire de Bordeaux, Roman, après des études en information et communication s’oriente vers la musicologie, passe le Capes et l’enseigne en collèges et lycées. Sa connaissance du jeune public servira les conférences de T2A. Un premier voyage en volontariat pour la protection de l’environnement (avec American Conservation Experience) dans le grand canyon lui apprend le travail en équipe. Ses voyages en Europe du Nord, Asie et Australie confirment son envie de s’investir dans une cause environnementale, notamment concernant la survie des océans. Il connaît déjà les USA et le Canada.
Jean-Baptiste Crocquet
Jean-Baptiste étudie actuellement en master à l’ESSEC après trois ans de prépa littéraire. Depuis l'âge de dix ans il navigue dans les eaux marseillaises à bord du voilier familial, un Elan impression 35. Joueur de rugby énergique, il a visité la Toscane à vélo, la Bavière à pied ainsi que le Rajasthan. A vingt-et-un ans, il a décidé de mettre son énergie et son temps au service de la défense des océans. Ses qualités en matière de rédaction et de communication serviront l’expédition à se faire connaître davantage et à obtenir des fonds.
Arthur Lyonnet
Arthur est interne en médecine, en psychiatrie. Il profite de ses moments de temps libres pour naviguer : une transatlantique (2012), et plusieurs croisières en Bretagne, Ecosse, Irlande. Padi Niveau 1, il profite d'une année de disposition pour s'impliquer dans des projets en lien avec la mer : association de voilerie en Bretagne, passer un certificat matelot de pont et s'intéresser au fret à la voile et à l'expédition T2A. Il a pratiqué plusieurs activités en lien avec la nature : escalade, course à pied, et travaillé sur des chantiers participatifs.
David Thiaw
A 19 ans, après un bac scientifique mention très bien, David Thiaw a intégré l’Ecole des Mines de Lille Douai. Il a déjà accompli plusieurs road trips, de la Croatie au Portugal, en passant par la Norvège, et à travaillé dans la gestion de projet dans le traitement de l'eau. Il est président et professeur de son association de danse rock, au sein de son école d'ingénieurs. Dans la vie de tous les jours, David est inspiré par la philosophie stoïcienne et recherche le bonheur au travers des rencontres. Il affectionne les réflexions relatives à la société, qu'il veut rendre plus juste et plus respectueuse de la nature.
Gaspard de Pessemier
Licencié en information et communication et étudiant en master 2 Marque et Management de l'Innovation, Gaspard détient également le Bafa et le diplôme PSC-1. Aimant voyager, il a passé un mois en Thaïlande, un mois aux Philippines et un mois au Brésil. C’est en Asie qu’il passe son Open water PADI et découvre son intérêt pour la plongée. A l’aise en Espagnol et en anglais, il aime échanger en langues étrangères. Organisateur d’évènements pour le loisir à Paris, il est habitué à préparer et réaliser des conférences et d'autres évènements. Il détient également une expérience dans le crowdfnding.
Gaëlle Canonne
Gaëlle (25 ans) est Bretonne et Montpzllieraine. Ayant toujours vécu près de la côte, elle pratique le surf et planche à voile, et s'intéresse à la protection des océans. Après un master de Lettres elle s'oriente vers l’agriculture et l’éco-construction avec des volontariats associatifs au Pérou, Portugal et Palestine. Elle vit à Lille et travaille pour une association d’éducation et de sensibilisation au développement durable, migrations et égalité de genre. Ses voyages lui ont appris à s’adapter. Curieuse et engagée, elle milite en France pour plusieurs collectifs de protection de l’environnement.
Mathieu Jaillet
Matthieu est professeur des écoles, à mi-temps annualisé, ce qui lui permet de prendre le temps de découvrir le monde (en voyageant notamment en auto-stop à travers le monde), de partager la vie courante et la culture de personnes très variées dans des lieu diversifiés, et également de s'investir dans certaines associations et bénévolats. De cette manière il a pu voyager dans vingt-cinq pays différents, intervenir et enseigner dans des écoles/collèges/lycées de différents pays (En Europe, Afrique et Asie) et aider pour d’autres tâches (dans les champs, créer une bibliothèque, etc.).
Guillaume Daudon
Guillaume Daudon découvre la voile à l'âge de six ans sur un Optimist et obtient son diplôme de moniteur de voile légère dix ans plus tard. Il réalise des études d'ingénieur à l'INSA de Lyon où il se spécialise en mécanique des fluides puis travaille deux ans en laboratoire de recherche sur la protection contre le froid en milieux aquatique. Au cours d'un voyage à vélo d'un an à travers le continent eurasiatique, il découvre une passion pour la vidéo et la photo. Il mettra au service de l’équipe ses connaissances pour documenter l'expédition ainsi que ses compétences en matière de site web.
Claude Lurmin
Art thérapeute et psychothérapeute. Ses expériences de la navigation en tant qu’équipier en Méditerranée (Corse, Maroc, Croatie, Iles d'or et les côtes de Perpignan à Nice) et au Sénégal lui ont permis de vivre ce partage humain, solidaire et de constater la pollution maritime. Organisateur et animateur de stages il a accompagné un grand nombre de personne (mer, montagne). Il est conférencier sur les thèmes de la vie. Il est parti plusieurs semaines marcher en solitaire en montagne, puis a relaté cette expérience dans un ouvrage intitulé « Enquête d'elle, en Quête d'Aile ».
Félix Jubard
Passionné par la nature, le surf et le ski, Félix a intégré en 2019 le mouvement Extinction Rebellion, et participé à Londres aux actions réclamant la justice climatique pour tous. Ce Breton a rejoint Paris pour préparer le bac dans un lycée autogéré. Il pratique le théâtre, a été aide-moniteur dans une colonie de vacances de sports d'hver, et a effectué un stage au Fablab du Ponant à Brest. Félix (18 ans en décembre) a déjà parcouru la Grande-Bretagne en stop et sans argent, et vécu un été dans une famille à Taïwan. Il parle anglais et va approfondir ses notions d'espagnol.
Morgane Breugnot
Morgane, 31 ans, installée à Sète, a voyagé dans plus de trente-cinq pays autour du monde. Elle est également passionnée de sports outdoor, de photographie et d’écriture. Elle enseigne en tant que monitrice de voile depuis deux ans en parallèle de son autre métier de cœur : chef de produits Voyages qu’elle exerce en freelance. Elle est également membre actif au sein de l’association « Cap au large », dédiée à la voile pour tous (handicapés moteurs, publics Jamo, etc.). Elle parle l’anglais couramment, a obtenu son niveau 1 plongée Padi lors d’un voyage en Afrique du Sud et à également son permis côtier.
Frédéric Blanc
Skipper professionnel, détenteur du Yachtmaster Offshore, Frédéric est passionné par les sports de glisse aquatique et par l’informatique. Proche de la nature et des arts, ce père d’une petite fille qui vit en Australie a déjà visité de nombreux pays : USA, Canada, Antilles, Brésil, Maroc, Tunisie, Espagne, Portugal, Italie, Grêce, Autriche, Suisse, Indonésie, Japon, Vietnam, Australie, Tahiti. Il a à son actif plusieurs traversées transatlantiques via les Açores et les Canaries. Plongeur, il détient le niveau II Padi (Advanced). Vivant dans les Landes, il y a constaté l’importance du changement climatique, de la montée des eaux et le recul des dunes de sable.
Chloé Carfagno
Diplômée d’une licence en Gestion hôtelière obtenue à la Taylor's University de Kuala Lumpur, Chloé Carfagno parle anglais et espagnol. Ayant grandi à Toulon au bord de la Méditerranée, elle pratique la plongée au niveau Advanced Padi et détient le permis côtier. Passionnée de voyage, elle a visité le Japon, le Costa Rica, la Colombie, etc. En 2019, elle a entrepris un tour de l’Asie du Sud-Est en solitaire. Férue de cuisine, passionnée par le futur des océans, elle a travaillé à la gestion et mise à jour des réseaux sociaux du groupe Accor à Cuba, et comme Superviseur en hébergement pour DoubleTree by Hilton à Montréal.
Benjamin Grosjean
Titulaire d’un master Biodiversité, écologie, évolution, parcours environnement-droit de l’Observatoire des sciences de l'Univers, UR1 Rennes, ce professeur d’histoire-géographie détient également une licence en Anthropologie, ethnologie et une licence en Géographie, aménagement, environnement délivrées par l’Université Toulouse 2, ainsi qu’une licence en Droit et Science politique de l’Université Toulouse 1. Plongeur, il détient la double certification Padi et FFESSM niveau 2 et a déjà effectué plusieurs grands voyages en voilier
Maxime Derbois
Maxime est ingénieur en informatique issu de l'INSA de Toulouse. Rugbyman depuis petit, il pratique la plongée (Padi niveau 1), la voile, le parapente, la randonnée et le vélo. Maxime vit en Suisse depuis 2014 ; passionné par la nature, il s'engage récemment pour l'environnement dans l’association militante Extinction Rebellion. Passionné par les voyages, il connaît déjà le Canada, les Etats-Unis, la Suède, la Corée du Sud, la Nouvelle-Zélande et la Turquie. Ses études l'ont amené à travailler avec le Royal Institute of Technology de Stockholm et avec l'université d'Auckland.
Antoine Molin
Amoureux des grands espaces, Antoine Molin étudie actuellement la médiation et les pratiques sociologiques dans le cadre d'un DEUST Médiation citoyenne : Environnement, Culture, Education à la Faculté des Sciences sociales de Strasbourg. Après quelques excursions, bivouacs et un voyage de deux mois en Asie pour étudier la relation des ethnies minoritaires avec la nature, Antoine découvre T2A et décide de se joindre au projet. Parlant anglais et espagnol, il apportera son aide au volet anthropologique de l'expédition.
Julie Leclerc
A 19 ans, Julie Leclerc est en licence d’anthropologie, et ses compétences seront utiles au volet anthropologique de l’expédition. Elle a l’habitude des voyages, et a visitéde nombreux pays européens (Espagne, Italie, Allemagne, Portugal, République Tchèque) et Asie (Thaïlande, Laos). Parlant anglais, Julie apprend actuellement l’arabe et s’apprête à découvrir l’espagnol. Sportive, elle a déjà travaillé pour une association humanitaire à Toulouse.
Quentin Suzanne
Quentin possède une licence de scienes de la vie parcours écosystèmes marins. Passionné par la mer et les organismes qui y vivent, il pratique la voile en régate et a pu participer au championnat de France universitaire sur des J80 en tant que numéro 1. Il possède un niveau 2 de plongée (FFESSM). Il a voyagé dans de nombreux pays comme les États-Unis le Maroc ou encore au Myanmar. Il ambitionne de devenir biologiste marin pour se spécialiser dans l’écologie trophique des prédateurs marins et plus particulièrement les requins.
Lilia Guillet
Lilia Guillet est étudiante en sciences halieutiques à Agro Campus Ouest (formation d'ingénieurs agronomes) et poursuivra sa formation par un doctorat en biologie marine. Nageuse depuis l’enfance, elle pratique la plongée (open water Padi) depuis un voyage en solitaire à Madagascar, le volley, la photographie et est férue de cuisine. Elle profitera de son année de césure pour s’investir avec l'expédition T2A dans la protection des milieux marins. Parlant anglais et espagnol, elle fera partie à bord du groupe plongée ; à terre, elle contribuera essentiellement à la recherche de sponsors.
Julie Tressel
Après une préparation militaire marine, Julie Tressel obtient un bachelor Coordinateur en environnement à UniLaSalle (-EME) et poursuit actuellement en master Géographie, aménagement, environnement et développement à l’université d’Orléans. Elle a travaillé dans la gestion des déchets et la lutte contre le gaspillage alimentaire ainsi que dans la coordination et l'animation d'évènements climatiques à Rennes. Durant quelques mois, elle a participé au développement d’activités agricoles écologiques et éducatives au Pérou. Présidente de l’Association des masters de géographie d’Orléans, elle a voyagé en Europe, au Maghreb, en Asie ; elle maîtrise l’anglais et l’espagnol.
André Ariotti
Cadre de l'action publique sociale en retraite, titulaire d'un master 2, IEP Grenoble, André a managé des services associatifs, de collectvités territoriales, accompagné des décideurs publics. Il a assuré des fonctions de pilotage, d’animation, d'insertion (RSA), participant à celles de solidarité (Burkina Faso, Pérou) et d’interculturalité (rencontres, débats, musiques). Formateur pour des fonctionnaires territoriaux et membre de jury. André a visité plusieurs pays, Europe, Amérique latine (Mexique, Argentine, Pérou), Canada, Maroc. Il parle anglais, espagnol et pratique la randonnée et la natation.
Anne Bérêts
Anne est une documentariste de 30 ans. Intéressée par l’interconnexion entre politiques et environnement, elle a fait des études dans ce domaine avant de se spécialiser dans le cinéma documentaire. Son premier court-métrage, « A voix d’eau », traite de la question de la qualité de l’eau en Amazonie. Formée en éducation populaire, Anne anime également des ateliers ayant pour but de réfléchir collectivement à des questions qui traversent notresociété. Passionnée par la voile depuis plusieurs années, elle navigue régulièrement sur les eaux de la Méditerranée.
Pierre Garrivier
A 25 ans, Pierre est ingénieur ENSTIB. Il a réalisé sa formation en apprentissage au sein d'un bureau d'études structures bois. Son diplôme en poche, il décide de parcourir l'Europe à vélo. Au cours de ce voyage, il participe à deux croisières d’entraînement le long des côtes croates avec Philippe Bensimon. Dynamique et manuel, il a montré sa capacité à s’adapter à toutes les situations. Pierre souhaite s'engager de façon concrète pour l'environnement, rejoindre l'expédition a été une évidence pour lui. Au sein de T2A, il apportera une aide globale (navigation, logistique, etc.) ainsi que son expertise sur la construction durable.
Yves Nelien
Passionné par le concept d’imagination, Yves, 28 ans, en a fait la ressource clé de l’entreprise qu’il a fondée il y a 6 ans ainsi que l’objet de ses voyages à travers l’Eurasie (de la Sibérie à l’Inde en passant par le Vietnam). Selon lui, l’imagination est un puissant levier autant pour appréhender les réalités que pour transmettre du savoir ou des messages. Aujourd’hui écrivain de contes éducatifs pour enfants, Yves apportera à T2A sa capacité d’encoder le savoir scientifique et les cultures dans des histoires ludiques qui questionnent la condition de l’espèce humaine face au défi du réchauffement climatique.
Léa Ovet
Léa Ovet découvre T2A en naviguant à leurs côtés pendant une semaine en Croatie et au Monténégro. A 23 ans, elle est bientôt diplômée par la grande école d’ingénieurs agronomes AgroParisTech dans laquelle elle s’est spécialisée dans l’environnement. Elle a fait un Erasmus à Cordoue et parle couramment espagnol et anglais. Léa dédie son année de césure à la lutte contre le réchauffement climatique en étant à la tête de l'association Clim'adapt qui parcourt le bassin méditerranéen sans avion et en sensibilisant enfants et adultes via des ateliers fresque du climat.
Victor Hamelin
Breton d’origine et Rochelais d’adoption, Victor Hamelin pratique la voile légère depuis son enfance. A 18 ans, il débute une double licence géographie-histoire à l'université de La Rochelle, qui lui permet d’enrichir ses connaissances sur les questions climatiques. Pédagogue, il a déjà formé des jeunes de sept à douze ans en Irlande en tant qu’éducateur dans des stages d’éducation marine. Victor parle couramment anglais et maîtrise correctement l'espagno. Sportif, il pratique le BMX en compétition.
Salvatore Iannello
Issu de la Business school de l’université de Liège, Salvatore Iannello devient consultant indépendant puis propriétaire et PDG des produits Galler. Il a principalement été actif dans le secteur alimentaire et plus précisément dans le chocolat. Aujourd’hui, il développe une entreprise de 170 personnes à raison d’être, respectueuse de l’homme et de la planète. En 2020 le jury du concours « Corporate Social Responsability Professional of the year » a nominé Salvatore Iannello, CEO de la chocolaterie Galler, parmi les trois finalistes francophones. Dans une autre vie, Salvatore (53 ans) a été skipper au long cours sur le voilier Alexeo II (Beneteau 62, 2012-2017).
Léonard Iannello
Après avoir fait le MSc International Business et l’école de commerce de l’université de Maastricht (Pays-Bas) et passé un an à l’université de Brighton (UK), Léonard Iannello (27 ans) a consacré six mois à parcourir l’Amérique du Sud, entre la Patagonie et Carthagène (Colombie). Revenu en Europe, il s’est investi dans le mode de l’entreprise et a lancé avec des amis Soles Mundi, une société de type coopératif dans le domaine de la science et de la biologie humaine dont il est aujourd’hui fondateur et CEO. Marin depuis l’enfance, guitariste, il a l’ambition de devenir à son niveau un acteur du changement dans un monde en transition.
Luca Sammartino
Luca Sammartino est un jeune homme de 26 ans. Diplômé en chimie appliquée de l’Institut de Technologie de Liège (Belgique), Luca Sammartino est aujourd’hui gérant – responsable production et R&D de Soles Mundi à Fleurus, une société de type coopératif dans le domaine de la science de la biologie humaine qu’il a fondée avec des amis.
Evelyse Syne
Munie d’un master en marketing & intelligence stratégique à HEC (Liège, Belgique) et un diplôme de comptabilité-gestion, Evelyse Syne (29 ans) collabore aujourd’hui au développement de la Chocolaterie indépendante, une entreprise basée à Liège qui se veut respectueuse de l’humain et de la planète dans le domaine du chocolat. En dehors de son travail, ses passions sont l’écriture et les voyages.
François Duchesnes
Bio-Ingénieur en Sciences et Technologies de l’Environnement, François Duchesnes (26 ans) travaille actuellement pour une exploitation apicole. Après un mémoire sur l’étude des contaminations des sols (Gemloux Agro-BioTech, Belgique), il étudie au Cambodge l’utilisation des drones dans le management des schémas d’irrigation, puis fait un stage au sein de SOS Faim (ONG, Bruxelles), Il a travaillé en 2019-2020 comme analyste GIS chez Optagri. Il a également suivi des formations en coopération au développement et en cartographie des sols. En parallèle, il retape un petit voilier de 29 pieds. Il détient le permis hauturier belge et le short range certificate.
Gilles Daniel
Après avoir réalisé plus de 1.000 plongées dans les fonds marins français, de la Mer Rouge, des Caraïbes et de l’océan Indien, Gilles Daniel est devenu moniteur de plongée CMAS 2** et formateur Nitrox. Ce breton de 57 ans a formé des centaines de plongeurs niveaux 1 à 4**** CMAS, Nitrox et moniteur CMAS 1*. En 2013, il co-fonde le club associatif de plongée de Savenay ou il organise une vingtaine de séjours plongée pour ses adhérents en Méditerranée et en Bretagne. Sur terre il parcourt avec son sac à dos l’Inde, l’Indonésie et la Turquie, et se rend à son travail à vélo, parcourant chaque jour plus de 40 km.
Clément Chevreau
Ingénieur de formation (SIGMA-Clermont - Ex IFMA, institut associé Mines Télécom), Clément Chevreau a travaillé deux ans sur de la gestion de projet pour Altran s/c Airbus Toulouse. Amoureux des grands espaces, il a passé beaucoup de temps en montagne. Aujourd'hui, il est en formation en Espagne pour devenir guide de montagne. Sportif (il a été joueur et coach à Chemillé BasketBall), il souhaite connaitre le monde marin pour son futur métier de sensibilisation aux espaces naturels. Il consacrera son année 2021 à la navigation à la voile et à la plongée. Il dispose d'une formation SST de secourisme et parle anglais et espagnol.
Christine Marpot
Nageuse depuis son enfance, Christine découvre la voile en optimist et en 420. Diplômée en Education physique et sportive (EPS), elle a enseigné la natation, participé à l'encadrement d'un camp de voile, et récemment traversé la Méditerranée sur un petit monocoque. Elle pratique le dessin, manie les outils et apprend le piano. Parallèlement, elle voyage au Brésil et en Argentine, puis durant un an parcourt l'Inde, la Thaïlande, la Malaisie, l'Indonésie, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle-Calédonie, Tahiti et l'ouest des Etats-Unis. Aujourd'hui professeur des écoles, elle participera aux volets pédagogique et artistique de T2A.
Maria-del-Mar Sarmiento
Archéologue franco-colombienne, spécialiste de l’Amérique Latine et l’art mégalithique, Maria-del-Mar Sarmiento a été rattachée aux laboratoires Archam et Lara. Elle a également travaillé en laboratoire en archéozoologie, dans le but d’identifier et référencer un corpus d’espèces à travers leurs ossements. Elle a ensuite intégré l’unité Lac (Unesco), et ainsi contribué à la préservation de biens culturels et naturels. Son temps libre est partagé entre diverses activités, allant de l’escalade à la broderie, et sa passion pour le thé.
Marion Guemas
29 ans, Bretonne d'origine, Marion Guemas est diplomée d'un master sociologie du web. Elle commence cette année une formation qui relie la psychologie et au design (UX design). Elle a voyagé dans une trentaine de pays. Ses hobbies sont la photographie et la découverte de nouvelles cultures. Webdesigner et graphiste de métier, elle travaille aujourd'hui dans une entreprise écologique spécialisée dans la gestion forestière, et est également free-lance à ses heures perdues. Novice dans l'univers de la mer et de la voile, elle participe en tant qu'équipière à un convoyage des Sables d'Olonnes à Bodrum en juillet 2020 et une transatlantique Corse-Martinique en octobre 2020.
Gloria Spighi
Gloria Spighi est d'origine italienne. Elle a un master en chimie et aujourd'hui elle crée et fabrique des bijoux à la main à Paris. Elle a commencé sa formation à Rome, à l'Accademia delle arti orafe, et après obtenu le CAP bijouterie-joaillerie à Paris. Bilingue français et italien, elle parle aussi un peu d’anglais. Une croisière autour de la Bretagne lui a permis de reprendre son apprentissage de la voile, commencé dans son petit village au bord de la mer en Toscane, et interrompu à son départ pour Paris.
Christine Delord
Ingénieur en mécanique et énergétique de formation, Christine Delord travaille au développement des énergies renouvelables. Entre développement de projets éoliens, recherches et enseignement en solaire thermique, elle a passé dix ans dans ce domaine. Elle a contribué pendant deux ans au développement d’une filière de l’économie circulaire pour valoriser les skis, déchet emblématique des Alpes. Aujourd’hui, elle s’oriente vers une reconversion en matelot dans l’idée de faire le lien entre la transition énergétique et sociétale et le métier de marin.
Estelle Fillaud
Ses six ans d'études tournent autour du droit des réfugiés et des migrants, du droit des femmes et des enfants, de l'éthique notamment animale, de l'éthologie et de la transition écologique. En paralléle, elle étudie dix mois à Vilnius en Lituanie côtoyant de nombreuses nationalités. Elle travaille également huit mois à New Delhi (Inde) pour les associations locales Swechha et Edible Routes. Elle part ensuite vers les Gorges du Verdon et devient bergère. Après une transat en voilier, elle sera dès 2022 en Amérique latine, où elle va continuer à apprendre de nouvelles cultures et découvrir des systèmes agricoles résilients via le woofing.
Marianne Ranson
Après une licence de philosophie et un master de géographie développement durable, Marianne souhaite agir concrètement pour l’environnement avec l’expédition T2A. Marianne parle anglais, en 2019 elle part 2 mois à travers le Royaume-Uni en woofing. En 2021, elle effectue un stage de 6 mois sur le thème de la cohabitation entre l’humain et le sauvage dans trois communes françaises. Elle pense qu’avec une vision moins anthropocentrée l’humain serait capable de vivre en harmonie avec la nature et pourrait jouer un rôle primordial dans sa protection. Elle se passionne pour le sport et le théâtre.
Kevin Dupont
Sportif, Kevin Dupont a descendu les gorges de l’Ardèche à la nage, puis le Rhône en canoë de Lyon jusqu’à la mer. Il a son niveau 2 de plongée et pratique l’escalade, la slackline, l’apnée et la voile. Après un bac pro en Maurienne et un IUT à Grenoble, il termine un diplôme d’ingénieur à l’INSA de Lyon. Dans le même temps, grâce à un accord de double diplôme avec polytechnique Montréal, Kevin est parti au Canada pour obtenir une maîtrise. Il a déjà effectué un convoyage de voilier du sud Morbihan jusqu’aux Îles Baléares, et profité de ses vacances pour aller en stop visiter les fjords de Norvège.
Thomas Grisard
Belge, 26 ans, il voyage dès l'enfance. Doté d'un bâchelier en psychologie (université de Liège, bac+3), il s’investit en recherche en neurosciences parallèlement à sa vocation : la charpente/couverture. En 2014, il fait sa première traversée en voilier en Méditerranée et réalise son premier grand voyage solidaire au Nicaragua, où il travaille la terre. En 2018, il apprend l'espagnol lors d'un Erasmus à Grenade. En 2020 il part en France sur des chantiers participatifs où il découvre l’éco-construction. Habitué à cuisiner, il est capable de naviguer, travailler en équipe et analyser des données.
Laura Châteauneuf
Après 5 ans à Sciences Po Lyon, Laura Châteauneuf travaille 3 ans pour une coopérative de l’alimentation durable tout en étant bénévole dans des associations environnementales. Attirée par le monde de la mer, elle travaille quelques mois pour une compagnie de théâtre canadienne qui crée des spectacles à fort message environnemental et dont la scène est un grand voilier. Elle apportera à l'expédition son expérience de la gestion de projet, de l'organisation événementielle, et l'animation, et aussi de la communication et de la recherche de fonds.
Matthieu Taymans
Matthieu Taymans (Scientific Programm Officer at Royal Belgian Institute of Natural Sciences) est environnementaliste et ingénieur, spécialisé dans la modélisation et la télédétection des écosystèmes terrestres et côtiers. Il étudie les systèmes naturels et leur dynamique spatio-temporelle, en combinant des données de terrain et des images satellitaires, optique ou radar, à différentes résolutions spatiales, temporelles et spectrales. Il contribue à travers les outils qu’il développe à renforcer la résilience et à améliorer la gestion de différents systèmes tels que la Grande Barrière de Corail, les pêcheries béninoises ou l’agriculture africaine et européenne.
Amandine Bourdry
Amandine, 26 ans, chef de projet événementiel, passionnée de sport outdoor (elle a travaillé en tant que bénévole à l'organisation de trails et de marathons) et de voyage. Elle connaît l'Australie et a visité avec son sac à dos la Thaïlande, le Népal et l'Inde. C’est là qu’elle a pris conscience des disparités en terme d’éducation au réchauffement climatique et surtout du manque de prise de conscience des populations. Après un Bachelor Chef de projet évènementiel à L'Isefac (Lyon, 2017) et quelques années d'expérience du métier, Amandine vit aujourd’hui au Canada.
Emilie Baldassarre
Emilie (26 ans) est une kinésithérapeuthe belge. Après avoir obtenu son diplôme, elle part backpacker au Vietnam et au Laos en solitaire avant de s’installer en Australie pendant deux ans, où elle vit aux quatre coins de ce pays. Elle y découvre le besoin d’avoir un impact écologique plus important que les seules actions personnelles et y passe ses deux premiers niveaux de plongée sur la Grande barrière de corail. Elle pratique la randonnée en montagne, la plongée, nage depuis son enfance, parle anglais couramment et se débrouille en espagnol.
Tania Buijtenhuijs
Née près d’Arcachon, Tania (20 ans) réalise en 2019 des projets européens Erasmus+ (Madrid,Tenerife) basés sur le gaspillage alimentaire et l’environnement. Elle part en bateau avec la LPO pour observer les baleines et les dauphins, obtient le bac espagnol au lycée international François Magendie à Bordeaux, yacquiert le goût de la culture et des langues sud-américaines, et poursuit à l’université de La Sorbonne. Elle va ensuite seule en Indonésie, Maroc, Russie, et en Australie où elle passe en ce moment ses niveaux Padi 1 et 2. Passionnée de photographie (2021, stage en galerie d'art), elle parle espagnol (C1), anglais et russe (langue maternelle).
Nathan Masnada
Nathan, 23 ans, grandit dans les Alpes françaises où il apprend à pratiquer l’escalade, le ski de randonnée, le parapente et l’alpinisme. Il réalise des études d’ingénieur à l’école Polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse), et se spécialise dans le management des énergies et la transition énergétique. Il souhaite plus tard travailler pour développer des solutions énergétiques plus respectueuses de l’environnement. Il parle couramment anglais et maîtrise l’espagnol suite à une année d’étude effectuée à Madrid.
Alice Renault
Dès le plus jeune âge, Alice parcourt le désert marocain, navigue en Méditerranée, visite le Japon. Elle partira plus tard traverser le Chili et Madagascar en sac à dos. Tous ces voyages lui ont permis de développer son anglais et son espagnol. Kinésithérapeute spécialisée dans le sport, elle a soigné des sportifs de tous horizons : coureurs, boxeurs, skippers, rugbymen internationaux, etc. Lors de ses études, elle organise le congrès des étudiants en kinésithérapie et porte la parole des étudiants toulousains. Aujourd'hui, au sein de son quartier, elle s’investit dans la réduction des déchets.
Marc Savel
Ingénieur Supaéro et docteur en mathématiques appliquées, Mars Savel est spécialisé en automatique et en simulation numérique. En quête d’un métier riche de sens et de relations humaines, il se tourne rapidement vers l’enseignement. Ayant grandi sur les côtes normandes, Marc se passiuonne pour la mer et est rapidement sensiilisé aux problèmes de surpêche et de pollution des océans. Au sein de l’expédition, il prendra part à la communication.
Alexis Boisselet
Alexis Boisselet a vécu 9 mois au Mexique à l'âge de 19 ans. A 21 ans, il effectue un stage de cartographie des risques pour le Canal du Panama. Il voyage ensuite un an en stop et en bateau, du Mexique à l’Argentine. A 23 ans, il devient ingénieur géologue (UniLasalle, Beauvais) et obtient un master en Energies renouvelables (Barcelone). A 24 ans, il est cofondateur de l’association environnementale des Vents de la Récolte. Un an plus tard il parcourt avec son chien 9.000 km de la France à la Turquie, en vélo et à cheval, en s’arrêtant pour développer des projets d’agriculture raisonnée. Plongeur de niveau 2, il parle couramment anglais et espagnol, et possède un niveau intermédiaire en portugais.
Richard Parpaillon
Richard Parpaillon, ingénieur de 27 ans, quitte son travail dans les énergies renouvelables pour rejoindre l’expédition T2A. Il a déjà vécu en Bolivie et au Cambodge, est habitué aux milieux naturels (randonnées itinérantes, pratique de l’escalade, du parapente et du surf) et s’est engagé avec notamment Alternatiba, le Lowtech-Lab ou l’entreprise Soge. Animateur BAFA, habitué à discuter avec des élus et administrations et parlant anglais et espagnol, il apportera son expérience en médiation, tout comme sa passion de la photo et sa connaissance de l’énergie solaire.
Marine Le Coustomer
À 21 ans, Marine Le Coustumer est en double-master droits humains (Université Paris Nanterre) et sociologie de la santé (EHESS). Passionnée par les dynamiques socio-politiques en Amérique latine et militante pour la santé et les droits sexuels et reproductifs, elle joue aussi du piano et a pour objectif de nager dans tous les océans (bretonne oblige). Bientôt détentrice de son permis bateau côtier, elle parle couramment anglais, espagnol et italien. Elle connaît déjà le Canal Beagle (ci-dessus) et a pu voir le Fitz Roy.
Térence Coqueret
Térence (20 ans) est détenteur d'une licence de biologie mention comportement animal, plongeur Padi niveau 2 (Advanced open water diver, plongée à 30 m autorisée, plongées en Thaïlande, Mexique (cave et insulaire), Célèbes, Mer Rouge) et un adepte de la navigation à la voile légère depuis ses huit ans. Formé aux Glénans à la navigation sur quillard, se destinant à une carrière dans la marine marchande et ancien président d'association étudiante, il a voyagé trois fois en Asie, deux fois sur le continent américain, et a visité le sud de l'Europe. Ancien membre d'une association étudiante à but dépolluant, il parle anglais couramment (970/990 au TOEIC).
Ophélie Kresay-Lamousse
Ophélie Kresay-Lamousse possède un BTS Design d'espace et un Bachelor Stylisme modélisme obtenu à la Haute école Fransisco Ferrer de Bruxelles. Après six mois comme assistante de création pour une marque éco-responsable, Ophélie travaille dans l’économie circulaire, puis est animatrice et éducatrice auprès d’enfants et adolescents. Elle passe ses vacances en montagne à retaper une maison d’alpage. Elle occupe son temps libre entre activités sportives, couture up-cycling et dessins de ce qui l’entoure. Elle parle anglais. Son expérience de community manager pour La Réserve des arts lui permettra de rempir cette fonction dans l'ONG T2A (réseaux sociaux, news letter).
Emilie Morin
Emilie Morin est ingénieur en BTP. A 26 ans, elle a travaillé comme conductrice de travaux en rénovation, et comme animatrice auprès d’enfants. Elle parle couramment anglais (950 – TOEIC) et espagnol (C1 – DELE). Elle a étudié à l'Universidad Federica Técnica Santa Maria au Chili lors d’un échange universitaire. Elle a ensuite traversé l’Amérique du Sud jusqu'à l'Équateur en s’impliquant dans des associations locales de sensibilisation à l’environnement comme Ecodunas à Huacachina au Pérou. Originaire du Jura, elle a aussi parcouru l’Europe, du Portugal à la Finlande.
Idir Oudelha
Diplômé d’une licence Économie-Gestion parcours Affaires internationales, Idir Oudelha, Marseillais de 25 ans, est bilingue anglais et espagnol. Après un voyage en solitaire en Australie, il a effectué un volontariat de sept mois à Athènes auprès de réfugiés. Fasciné par les modes de vie en autonomie, il se passionne pour la permaculture. Cet adepte des sports de glisse (ski, snowboard, wakeboard) pratique aussi la photo portrait et nature. Il prépare un projet de documentaire photo-audio qu’il pourra expérimenter lors d’un prochain voyage en Amérique Latine avant d'embarquer à bord de l’expédition T2A.
Léa Bouchu
Passionnée par la biodiversité et bénévole au WWF France depuis plus de 3 ans, Léa met en place et anime des ateliers de sensibilisation à destination du grand public. Elle participe aussi à des chantiers ou à des médiations sur le terrain (Programme Entre Chien et Loup – WWF). En parallèle, elle a souhaité s’engager sur la lutte contre le dérèglement climatique, en dispensant un atelier inspiré des rapports du GIEC ou en participant à l’organisation de mobilisations citoyennes avec Alternatiba. Elle parle couramment anglais après des études à Grenoble EM.
Olivier Hullot
Actuellement en doctorat sur la réhabilitation des sols agricoles contaminés à travers une approche d’agroécologie, Olivier Hullot a acquis pendant son parcours universitaire de solides connaissances sur les enjeux environnementaux et leurs impacts sur la biodiversité continentale et marine. A travers ses engagements associatifs, il est impliqué dans de nombreux projets autour de la biodiversité, notamment en ville. Il souhaite aujourd’hui s’engager pleinement dans la préservation des milieux naturels et la lutte contre le dérèglement climatique.
Hugo Lépine
A 21 ans, Hugo Lépine est pâtissier/chocolatier/glacier/confiseur. En 2021, il obtient en étant major de promotion, son Brevet Technique des Métiers au sein de l’association ouvrière LES COMPAGNONS DU DEVOIR. Voulant découvrir le monde, il met entre parenthèses sa carrière pour voyager au Canada puis traverse la France et le Royaume-Uni à vélo où il constate les effets du dérèglement climatique. Sensible à cela, il souhaite contribuer à la protection du vivant en prenant part à l'expédition. Il parle couramment l’anglais.
Morgane Desplat
Ingénieur écologue naturaliste, spécialisée dans l'Ingénierie Écologique et la Gestion de la Biodiversité (IEGB) Morgane Desplat aime se baigner dans les trous de la banquise hivernale du Québec, escalader les grands arbres de la canopé de la forêt du Congo et parcourir 3.000 km en stop lors d'un été dans le BC Canadien. Elle a travaillé pour l'association Terre Marine, Andromède Océanologie, le Centre d'écologie fonctionelle et évolutive de Montpellier (CNRS), la Station de baguage de Forillon (Québec), et le Laboratoire informatique robotique et microélectronique de Montpellier (LIRMM). Elle détient un niveau 2 de plongée et le permis côtier français.
Laurette Vourgère
Photographe spécialisée dans les moments de vie, poétesse, après des études de géographie, Laurette Vourgère obtient en 2016 un diplôme d'Animateur en tourisme local. Elle tra- vaille ensuite dans l'hôtellerie, le téléconseil (en France et à l'étran- ger) puis devient assistante d'éducation. Elle a passé deux ans au URoyaume-Uni, et quatre mois en Andalousie. Ses centres d'intérêt tournent autour de l'économie et des sociétés.
Ugo Demay
Ugo Demay, 29 ans vit à Paris. Après l’ébénisterie, il est designer chez Essilor suite à un master Design. Il a créé le projet « Voyage aveugle » avec lequel il est parti dans le désert avec des aveugles. Il a voyagé en Turquie, Kenya, Tanzanie, Panama, et 1 an en Italie, Croatie et Grèce en camping-car. Il a travaillé 4 mois à Zagreb pour le collectif de designers Oaza. Il pratique le dessin, la guitare, l’écriture de poèmes/chansons. Inscrit dans une AMAP il cuisine beaucoup de légumes de saison. Il fait du tennis, de l’esca- lade en bloc, du théâtre et aime la voile et les vélos.
Maohi Labarrère
Réunionnaise, Maohi Labarrère a grandi en Polynésie-Française. Surfeuse, randonneuse, elle est diplômée en kinésithérapie après avoir étudiée 5 ans au Portugal. Maohi parle anglais, espagnol, et couramment le Portugais. Née de parents voyageurs qui l’ont fait voyager et découvrir des cultures diverses, pendant ses voyages elle a habité quatre ans en Nouvelle-Calédonie et sept ans en Polynésie-Française, ou elle a réalisé plusieurs traversées en catamaran et voilier. Elle détient le permis côtier.
Thierry Franquet est retraité. Il a commencé à travailler très jeune dans l'agriculture, puis après une formation hôtelière dans le service et une carrière de quinze ans dans la restauration, il est passé dans l'univers de la vente de services (dépannage de portes et portails automatiques). Il navigue depuis quelques années. Sportif, il pratique également la gymnastique, l'assouplissement, l'endurance et s'initie au yoga
Cécile Mispoulet
Cécile Mispoulet, 25 ans, ingénieur matériaux (Sea Tech Toulon, puis CNAM de Paris), toulousaine. Née à bord d'un voilier, elle a traversé l'Atlantique et vécu quatre ans aux Caraïbes sur un Romanée. Elle a travaillé sur les bétons bio-sourcés, et contribué à la création de fiches pédagogiques renseignant le grand public sur le fonctionnement de la forêt, l'économie circulaire et le réchauffement climatique. Présidente de BDE, elle connaît l'organisation d'évènements et la recherche de sponsors. Elle parle anglais et espagnol.
Quentin Bruyat
Quentin a 33 ans. Originaire de Saint Étienne, il possède une licence en marketing international et une seconde licence en marketing & management touristique. Il a vécu en Irlande, au Canada, au Portugal et en Allemagne; visité de nombreux pays d'Europe et arpenté les sentiers de l'Himalaya, le sommet du mont Fuji et les profondeurs de l'Indonésie. Amateur dre sports de montagne, il vit aujourd'hui à Annecy où il pratique le trail, le triathlon, le ski etc. Il parle couramment anglais et pratique l'espagnol. II compte intégrer prochainement le groupe plongée de l'expédition.
Killian Manac'h
Breton, Killian Manac'h est étudiant en dernière année à l’Isae-Supaéro pour devenir ingénieur Energie, environnement et transport. Il est animateur de l’atelier « 2tonnes ». Footballeur espoir de haut niveau dans sa jeunesse, il pratique aujourd’hui également la randonnée et le parachutisme. Il a voyagé sur les côtes Est et Ouest des USA, en Espagne et au Mexique. Il a créé et préside un club de débat hebdomadaire sur les actualités politiques et environnementales. Il accompagne bénévolement des lycéens de ZEP pour les aider dans la préparation du baccalauréat.
Camille Thomas
A 26 ans Camille Thomas détient le CAP Composite plastique chaudronné, le CAP Réparation, entretien d'embarcations de plaisance, un bac pro Maintenance mautique (gelcoat, électronque, réparations moteur et un BP JEPS Monovalent surf. Très investi dans la mer et l'écologie, il a en projet de passer un BTS Protection de la nature (avec un an d'études en distanciel), puis ensuite le Certificat de matelot de pont. Il parle anglais et espagnol, ayant passé les hivers de ces trois dernières années au Pérou, Chili, Mexique, Guatemala, Bolivie et Brésil. Il a un 420, et pratique le surf et la voile habitable sur le voilier (14 m) d'un ami.
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L'EXPEDITION T2A EST MEMBRE DE :
NOS PARTENAIRES ET SOUTIENS :
Les conseillers techniques de l'expédition :
- François Lepage, photographe d'expédition, conseiller technique photo de T2A
- Stéphane Dugast, grand reporter, secrétaire de la Société des explorateurs français, conseiller technique édition de T2A
- Alain Connan, commandant de 20e classe, refondateur de Greenpeace France et fondateur de Friendship, conseiller technique mer et architecture navale de T2A
- Philippe Fleury, plongeur et formateur de plongeurs, conseiller technique plongée de T2A
- Léo Marron, pilote professionnel de drones, réalisateur et conseiller technique drone de T2A
Les ambassadeurs de l'expédition :
- Kevin Correa, ambassadeur itinérant en Amérique du Sud
- Pierre-Paul Arend, ambassadeur permanent au Canada
- Bernard Martinez, ambassadeur permanent au Brésil
- Itzel Diaz, ambassadrice au Mexique
- Fabien Faure et Julie Brouard-Faure, ambassadeurs aux Canaries
Le comité scientifique de l'expédition :
- Gilles Reverdin, océanologue, spécialiste des liens entre climat et courants océaniques
- Pierre Thomas, géologue, responsable du site Planet-Terre
- Paolo Cavallini, zoologue, expert en Systèmes d'information géographique
- Charlie Kergavarat, géologue, spécialiste des interactions entre déformation des roches et sédimentation
- Laure Thierry de Ville d'Avray, spécialiste des services écosystémiques fournis par les habitats coralligènes
- Tristan Hatin, paléo-océanographe, spécialiste des diatomées et micro-fossiles de plancton
- Véronique Boyer, virologue, habilitée direction de recherches
- Basile Chartier, juriste, spécialisé en droit international public
- Matthieu Taymans, environnementaliste, spécialisé dans la modélisation et la télédétection des écosystèmes terrestres et côtiers
- Franck Touratier, océanographe, spécialiste de l'acidification de l'océan
- Marc Savel, mathématicien, spécialiste des mathématiques appliquées notamment en dynamique des fluides.
Ils nous soutiennent :
- François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire
- Jean Jouzel, climatologue, médaille d'or du CNRS, vice-président du Giec de 2002 à 2015 (Prix Nobel de la Paix 2007).
- Anne-France Brunet, député de Loire-Atlantique, Conseil supérieur de l'énergie
- Jérôme Bignon, sénateur de la Somme, Commission du développement durable
Le bateau : on a besoin de votre aide pour le financer
Bateau type :
Quillard de préférence
Coque acier de préférence ou à la rigueur alu. Renfort d’étrave prévu.
Longueur HT : 16-18m est un minimum, 22-24m est l'idéal.
Largeur : 4,5 m et plus (on recherche l’habitabilité et les volumes, pas les performances).
Cabines : 3 minimum (quatre serait mieux) + une couchette navigateur + un atelier ou une cabine transformable en atelier
Gréement : ketch ou goëlette de préférence, mais on se contentera d’un sloop…
Réservoir diesel : très grand !
Protection de l'hélice : prévue.
Etai largable : oui
Timonerie intérieure : oui
Rangements : nombreux
Chauffage : oui - s’il n’y en a pas il faudra en installer un (poële Reflex). Climatisation : idem
Alternateur d’arbre : oui - s’il n’y en a pas il faudra en installer un
Eolienne et panneaux solaires.
Electronique : sondeur, speedo, anémomètre, GPS intérieur/extérieur, radar, AIS, VHF ASN fixe + 2 VHF portables, etc. Plusieurs ordinateurs portables, deux iPads, deux iPhones, téléphone par satellite Iridium avec kit de connexion internet.
Dès que le budget le permettra nous remplacerons le moteur thermique par un moteur électrique alimenté par l'énergie solaire et des voiles rigides (avec l'aide de l'équipe du projet Bagaille Moon Fou), le principe étant de réduire au maximum l'empreinte carbone de l'expédition et de tendre vers le zéro déchet.
Cartographie électronique compatible avec OpenCPN.
Convertisseurs 220 V (2).
Boîte eaux noires : oui
Plomberie : arrivée eau douce et eau de mer à l’évier
Dessalinisateur
Batteries servitude et moteur : récentes – sinon seront changées. Parc servitude : au moins trois fois la consommation journalière
Survie : validée pour 8 personnes, et révisée récemment. Sinon sera révisée.
Pack de sécurité
Balise de détresse
Combinaisons de survie : 3 au minimum.
Filets de filières
Annexes : une petite gonflable pour 4 personnes, en bon état. Plus une grande annexe semi-rigide avec fond alu ou hypalu.
Moteurs des annexes : 2,3 CV Honda refroidissement par air, plus un 15/20 CV pour la grande annexe.
Cloison étanche + crash box à l’avant
Groupe électrogène. Matériel de soudure au gaz.
Prix : le plus doux possible !
C’est le bateau « idéal »… On sait déjà qu’il faudra faire des compromis…
Vous avez un bateau à vendre, à donner ou à prêter qui ressemble déjà un peu à ça ? Contactez-nous au +33 (0)6 81 34 65 31
Il meurt lentement
Il meurt lentement
Celui qui ne voyage pas, Celui qui ne lit pas, Celui qui n’écoute pas de musique, Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement Celui qui détruit son amour-propre, Celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement Celui qui devient esclave de l’habitude Refaisant tous les jours les mêmes chemins, Celui qui ne change jamais de repère, Ne se risque jamais à changer la couleur De ses vêtements Ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement Celui qui évite la passion Et son tourbillon d’émotions Celles qui redonnent la lumière dans les yeux Et réparent les cœurs blessés.
Il meurt lentement Celui qui ne change pas de cap Lorsqu’il est malheureux Au travail ou en amour, Celui qui ne prend pas de risques Pour réaliser ses rêves, Celui qui, pas une seule fois dans sa vie, N’a fui les conseils sensés.
Vis maintenant
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d’être heureux !
Martha Medeiros
NOUS CONTACTER :
Expédition Tour des deux Amériques solidaire en voilier Membre d'Ocean & Climate Platform Tel fixe : +33 (0)9 77 95 94 54 Tel mobile : +33 (0)6 81 34 65 31 Courriel : contact@ameriquesvoilier-expeditions.org Blog : www.ameriquesvoilier.expeditions.org Site internet : https://t2aexpedition.wordpress.com Vidéo de présentation : https://www.youtube.com/watch?v=yK5bbYbzUL8 Dossier de presse : https://www.dropbox.com/scl/fi/0k5jmyexb5pikn5j47r85/Sponsoring-Presse-neutre-V109.pdf?rlkey=ny197fkpy6ut1sdpz071b2jsf&dl=0
Association Tour des deux Amériques solidaire en voilier Association reconnue d'intérêt général Membre de la plate-forme Océan & Climat et du Comité France Océan Siège opérationnel : 27 Grande rue 39190 Cousance RNA : W441002325 Siret : 839 015 617 00013 Faire un don et bénéficier d'un avoir fiscal de 66 % de la valeur de votre don, dans la limite de la règlementation en vigueur : https://www.helloasso.com/associations/association-tour-des-deux-ameriques-solidaire-en-voilier/formulaires/2/widget